@Portnawak je me sens visée. Mea Culpa. J’ai encore du boulot pour me défaire de certains biais classistes. 
Par contre, je m’interroge sur te réflexion sur l’auto-édition. Pour moi, mais je n’ai aucune source pour vérifier, ça reste quelque chose d’hyper marginal, qui ne remonte pas à aujourd’hui. À part si tu entends l’auto-édition en ligne via des plateformes dédiées de type Whatpad ou autre et pas uniquement l’édition papier. Et là s’ajoute le problème des vrais éditeurs qui sont à l’affût des succès et qui les éditent en version papier par la suite avec tout l'essor de la Dark Romance par ce-biais. Je suis là encore en train de fustiger un genre de littérature, je sais. Mais quand on voit que les éditeurs ciblent des filles très jeunes avec ce type de romans, on ne peut pas dire que tout est bon à lire. 

@Bernie tu n'es pas la seule, quelqu'un a parlé aussi de vrai lttérature. On oublie que certains romans maintenant considérés comme des classiques de la littérature ont été mal accueillis et rabaissés à leur sortie.
A mon tour de faire mea culpa je n'ai pas précisé que je parlais de l'auto-édition à grande échelle, pas seulement Whatpad mais aussi Amazon. Tout le monde peut publier via ces plateformes, j'ai vu passer des extraits tellement mal écrits, bourrés de fautes ou à peine compréhensibles à voix haute, ou qui ne sont que des copies d'autres livres sans aucune imagination (sans être du plagiat pour autant mais juste la même idée reprise encore et encore sans rien apporter de neuf)

Je te rejoins sur la Dark romance, les maisons d'édition devraient mettre plus d'avertissement genre PEGI16 (au moins), vu que c'est en accès trop facile pour un public trop jeune. 

@Portnawak je ne savais pas qu’on pouvait s’auto-éditer sur Amazon 

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Après, il y a aussi l’auto-édition militante, le fanzinat … et c’est encore autre chose.

@Bernie Si si, Amazon permet l'auto-edition, à la fois en papier et en ebook. Il y a beaucoup d'auteurs.ices qui passent par ce biais là maintenant effectivement (j'en connais personnellement une). Pour vendre, ce n'est pas forcément SuperU, mais il y a beaucoup de salons du livre, généralistes ou dédiés à un type de roman, donc oui stands sur les salons. Et évidemment, vente et promotion sur les réseaux sociaux, Instagram, TikTok, il y a des influenceuses dédiées avec le #booktok, c'est vraiment une grosse tendance (sur un public assez ciblé quand même, enfin j'ai du mal à savoir ce que ça représente vraiment, mais la fille que je connais qui fait tout ça ben ya quand même un gros effet réseau avec pas mal de lectrices (principalement, dans son cas, elle fait de la romance)). J'avais pas conscience de tout ça avant de la rencontrer.
Instagram me propose aussi pas mal de posts de ce milieux en ce moment d'ailleurs, je ne sais pas pourquoi et je ne clique pas dessus sauf par erreur/mal vu le sujet, mais soit des comptes avec des conseils d'écritures, soit des comptes qui en parle tout court, avec des posts du type "les tropes clichés que je n'aime plus du tout", etc et dans les commentaires rebondissent dessus pour faire leur auto-promo

Je déteste quand les adultes font des distinctions claires entres des enfants d'une même famille, entre le préféré et les autres

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@Armus Je comprends que ça t'énerve, c'est super malsain.

Je réagis un demi-siècle plus tard mais je suis tellement d'accord avec toi @Portnawak ! J'ai beaucoup de mal avec la hiérarchisation entre les romans de gare et les livres qui ont reçu un prix, la bonne et la mauvaise musique, les films oscarisés et les autres ... C'est sûr qu'il y a beaucoup de snobisme et de classisme derrière. Ça fait bien d'avoir meilleur goût que la plèbe et de le clamer haut et fort .
(Mais pour le coup @Bernie je n'ai jamais cette impression quand je te lis .)

Les artistes et les œuvres qui nous touchent, c'est vraiment propre à chacun (et d'ailleurs j'adore poser la question aux gens que je rencontre, ça fait partie des petits détails qui en disent beaucoup je trouve !). Mais forcément il y a aussi des paramètres qui entrent en jeu comme le milieu social, notre capacité de compréhension et ce qu'on attend de l'art. Est-ce qu'on veut qu'il nous divertisse et qu'il nous parle de ce qu'on connaît ou alors qu'il nous ouvre d'autres horizons, qu'il nous bouscule un peu ? Ça dépend beaucoup des gens et de notre humeur du moment, et pour moi toutes les réponses sont valables.

Dans le léger, je déteste vraiment quand les gens s'arrêtent au milieu de l'escalier ou du trottoir (de préférence étroit) pour scroller sur leur téléphone quand il y a foule (quand il n'y a pas foule aussi, mais c'est moins dérangeant). Gens, si tu veux rester sur ton téléphone, c'est ton choix, mais mets-toi sur le côté, regarde le monde qui t'entoure (et qui se cogne à toi), zutain ! Ma seule tolérance, c'est si tu es perdu et que tu cherches ton chemin, mais même là, tu peux essayer au moins de te mettre sur le côté, merci.
(voilà, c'était la minute "j'habite en Ile de France et c'est ma joie")

Je déteste les moucherons, ces engeances qui se précipitent chez toi en profitant de la moindre ouverture, qui te font bzz dans les oreilles ou sous le nez, qui se posent sur toi ou sur ta nourriture, et qui vont pondre dans la poubelle si bien que si tu n'es pas attentif

TW dégueu

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@Portnawak Et qui se baladent sur ton écran.

Je déteste les personnes qui se parfument fort par ces chaleurs, dans les transports en commun.
Même quand le parfum sent bon, l'odeur est amplifiée et ça porte au coeur. Je sais pas, c'est pas possible d'avoir la main légère quand il fait 33 degrés et qu'on est dans un wagon sans clim, collés les uns aux autres?
édit: non seulement ça me donne la migraine mais en plus, ça risque de se finir en galette sur les chaussures ca ça me crame l'estomac aussi.