Je me demande
- Merlu
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@Francesca Je trouve un peu injuste de l'accuser d'être autocentré. Ce qu'il dit dans la vidéo, il ne le sort pas de son chapeau, toutes ses sources sont dans la description. Et puis, si le DSM a abandonné l'ancienne classification, ce n'est pas pour rien.
Si ton tonton tond un chasseur sachant chasser sans son chien, les chaussettes de l'archiduchesse se dépetibotdebeurreriseront.
- Merlu
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@Francesca Est-ce que ce que tu dis se base sur des données solides ou bien c'est juste ton point de vue ? Parce que j'ai vu tellement d'infos contradictoires sur le sujet, ce qui a pas mal retardé ma démarche de diagnostic, donc je préfère m'en tenir aux sources solides.
Si ton tonton tond un chasseur sachant chasser sans son chien, les chaussettes de l'archiduchesse se dépetibotdebeurreriseront.
- Merlu
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Je me demande pourquoi les chiffres sur le nombre de manifestants donnés par les organisateurs/syndicats sont systématiquement différents de ceux donnés par la police. À laquelle des deux sources faut-il se fier ?
Si ton tonton tond un chasseur sachant chasser sans son chien, les chaussettes de l'archiduchesse se dépetibotdebeurreriseront.
@Merlu Les chiffres sont surtout de la propagande pour dire que la manifestation est un succès (manifestants), ou un échec (autorités).
Aucune des deux source n'est fiable. Il faut se dire que c'est une enveloppe.
D'ailleurs c'est assez difficile de compter les manifestants. Il y déjà le delta des riverains présents dans la rue mais qui ne manifeste pas forcément. Ensuite, il y a le comptage soit au sol, soit depuis des photos terrestres ou aériennes.
On pourrait peut être utiliser des méthodes de haute technologie avec des drones à reconnaissance faciale pour plus de précision, mais se serait très incompatible avec la protection de la vie privée donc heureusement qu'on ne le fait pas (encore ?).
Les cortèges ne sont pas homogènes, il y a parfois des manifestants en groupes très denses et des quasi-trous. Il y a des gens qui font toute la manifestation, des autres le début, et certains la fin.
Quand il y a peu de monde une technique consiste a espacer les manifestant pour occuper plus de surface.
La seule chose qui est sûr ce que lorsqu'un chiffre annonce plus de 4 personne par mètre carré, on est sûr qu'il est surévalué (ça correspond à un bus ou un métro chargé normalement).
Aucune des deux source n'est fiable. Il faut se dire que c'est une enveloppe.
D'ailleurs c'est assez difficile de compter les manifestants. Il y déjà le delta des riverains présents dans la rue mais qui ne manifeste pas forcément. Ensuite, il y a le comptage soit au sol, soit depuis des photos terrestres ou aériennes.
On pourrait peut être utiliser des méthodes de haute technologie avec des drones à reconnaissance faciale pour plus de précision, mais se serait très incompatible avec la protection de la vie privée donc heureusement qu'on ne le fait pas (encore ?).
Les cortèges ne sont pas homogènes, il y a parfois des manifestants en groupes très denses et des quasi-trous. Il y a des gens qui font toute la manifestation, des autres le début, et certains la fin.
Quand il y a peu de monde une technique consiste a espacer les manifestant pour occuper plus de surface.
La seule chose qui est sûr ce que lorsqu'un chiffre annonce plus de 4 personne par mètre carré, on est sûr qu'il est surévalué (ça correspond à un bus ou un métro chargé normalement).
- Merlu
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@Chocovore Très intéressant, mais ça m'amène à une autre question: mettre au sein d'un même article deux chiffres manipulés pour des raisons opposées n'empêche-t-il pas l'effet recherché ?
Si ton tonton tond un chasseur sachant chasser sans son chien, les chaussettes de l'archiduchesse se dépetibotdebeurreriseront.
pour défendre mollement les organisateurs, une multitude de personnes donne vite une impression de plein. je me souviens de quand le hall du cinéma où je travaillais été plein à craquer, il n'y avait que la moitié de la capacité de la salle, soit 12 places. 6 personnes, ca paraît déjà énorme, alors plusieurs centaines de milliers, d'autant plus. plus c'est dense, plus l'impression du nombre est grande.
- Merlu
- Localisation : Devant ton nez
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Je me demande si ça a encore du sens de commémorer les deux guerres mondiales. Si le but était d'éviter de reproduire tout ce qui nous y avait conduits, on peut clairement dire que c'est un fiasco, qui trouve sa parfaite illustration dans le fait que l'extrême-droite a le culot d'y prendre part (sur les RS en tout cas). Je me rappelle d'une commémoration à laquelle j'ai assisté en tant que zicos, où l'échevine concernée disait à demi-mot -mais sans le dire explicitement- que cette dernière ne servait plus à rien. Je brûlais de lui demander ce qu'on foutait là du coup.
Si ton tonton tond un chasseur sachant chasser sans son chien, les chaussettes de l'archiduchesse se dépetibotdebeurreriseront.
- Clémentiine
- Bébétincelle
@Merlu quand je lis des témoignages je suis convaincue que oui, cela me semble plus que nécessaire de continuer à se souvenir de ce qu'il s'est passé (je viens de finir La carte postale de Anne Berest, je te le conseille) ne serait ce que pour s'interroger sur comment ils en sont arrivés à avoir des comportements qui nous semblent hors sol aujourd'hui (aller jusqu'à dénoncer ses voisins, ne pas vouloir voir que des familles sont séparées et assassinées, ...). Mine de rien ça doit bien permettre de ralentir la progression de certains courants de pensées et je trouve que ça permet de conserver un semblant d'esprit critique sur les dirigeants actuels qui se lancent dans l'extermination d'un peuple, on les compare à Hitler et on est (en général) d'accord pour dire que ce sont des fous. Ca "oblige" peut être les dirigeants des autres pays à aider le peuple en question.
« Ils sont où les semi-croustillants ? Ils sont souus la Bretagne ! »
- Merlu
- Localisation : Devant ton nez
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@Clémentiine Justement, je vois tous les jours des éléments qui me confortent dans l'idée que ce devoir de mémoire n'a servi à rien:
-On se retrouve à nouveau dans le schéma "crise=montée du fascisme".
-À cause du lissage du discours de certaines extrêmes-droites et de la dissonance cognitive, les gens qui y adhèrent croient que ce sont eux qui sont dans le camp de la liberté et du devoir de mémoire.
-L'extrême-droite a même réussi à faire croire à ses propres victimes qu'elle était leur alliée.
-Les idées reçues sur l'histoire se portent bien et empêche de faire des parallèles pertinents entre aujourd'hui et le passé ou de prendre au sérieux les discours liés au devoir de mémoire.
La leçon à retenir est que peu importent les gardes fous mis en place pour éviter de répéter les erreurs de l'histoire, si ils n'incluent pas de mécanisme pour empêcher une crise de ce déclencher, ils seront inopérants dès la suivante.
-On se retrouve à nouveau dans le schéma "crise=montée du fascisme".
-À cause du lissage du discours de certaines extrêmes-droites et de la dissonance cognitive, les gens qui y adhèrent croient que ce sont eux qui sont dans le camp de la liberté et du devoir de mémoire.
-L'extrême-droite a même réussi à faire croire à ses propres victimes qu'elle était leur alliée.
-Les idées reçues sur l'histoire se portent bien et empêche de faire des parallèles pertinents entre aujourd'hui et le passé ou de prendre au sérieux les discours liés au devoir de mémoire.
La leçon à retenir est que peu importent les gardes fous mis en place pour éviter de répéter les erreurs de l'histoire, si ils n'incluent pas de mécanisme pour empêcher une crise de ce déclencher, ils seront inopérants dès la suivante.
Si ton tonton tond un chasseur sachant chasser sans son chien, les chaussettes de l'archiduchesse se dépetibotdebeurreriseront.
- Merlu
- Localisation : Devant ton nez
- Pronoms : il
Je me demande pourquoi Disney a produit tellement de films progressistes ces dernières années. Sortir de tels films en pleine renaissance du fascisme un peu partout dans le monde est plus suicidaire qu'autre chose, d'autant que pratiquement tous les films concernés ont fait un flop, ce qui disqualifie d'ailleurs l'hypothèse d'un bad buzz prémédité. Surtout que ça conforte la posture "anti-système" de l'extrême-droite, qui s'en servent comme preuve que l'industrie du divertissement est "woke".
Si ton tonton tond un chasseur sachant chasser sans son chien, les chaussettes de l'archiduchesse se dépetibotdebeurreriseront.
Ah ben moi Le matou revient m'a complètement traumatisée, même encore aujourd'hui
C’est marrant car je connaissais que la reprise et adaptation d’Aldebert et du coup je viens de lire les paroles d’origine et
Mon dieu
C’est HORRIBLE.
Déjà dans la version d’Aldebert j’étais pas sereine car c’est le chat qui morfle (mais qui revient ) mais là c’est l’angoisse.
Mon dieu
C’est HORRIBLE.
Déjà dans la version d’Aldebert j’étais pas sereine car c’est le chat qui morfle (mais qui revient ) mais là c’est l’angoisse.
- Soulsight
- Localisation : A côté de sa hache
Ah mais je m'étais toujours demandé, en pleine adolescence, d'où je sortais l'air du Matou revient. Sorti de nulle part, un jour, je chantonnais ça.
Donc, vous dîtes qu'on apprends ça à l'école ? Je n'en ai aucun souvenir ! Juste du refrain et de l'air. Ça aurait pu être ma grand-mère qui le chantait au milieu de son Temps des Cerise que cela ne me surprendrait pas Oui, ma grand-mère aimait chanter !
J'ai donc relu les paroles pour l'occasion, et wow, ça vaut son pesant de cacahuètes !
Dans le genre traumatisant, je me souviens plutôt de Il était une Bergère, qui tue son chaton à coup de bâton et qui embrasse un curé pour se faire pardonner A cet âge-là, je n'imaginais pas approcher mon visage de mon curé, c'était le trauma total !
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Donc, vous dîtes qu'on apprends ça à l'école ? Je n'en ai aucun souvenir ! Juste du refrain et de l'air. Ça aurait pu être ma grand-mère qui le chantait au milieu de son Temps des Cerise que cela ne me surprendrait pas Oui, ma grand-mère aimait chanter !
J'ai donc relu les paroles pour l'occasion, et wow, ça vaut son pesant de cacahuètes !
Dans le genre traumatisant, je me souviens plutôt de Il était une Bergère, qui tue son chaton à coup de bâton et qui embrasse un curé pour se faire pardonner A cet âge-là, je n'imaginais pas approcher mon visage de mon curé, c'était le trauma total !
Stewball m'a traumatisée.
Et vous vous souvenez de la comptine du petit singe sur un cocotier qui battait sa femme ?
Et vous vous souvenez de la comptine du petit singe sur un cocotier qui battait sa femme ?
Dans les chansons traumatisantes à l’école des années 90 :
- Il était un petit navire avec le matelot qui se fait manger
- Le petit cheval
- Les boeufs : Dans le refrain, le chanteur dit qu’il préférait que sa femme meurt que ses boeufs (une chanson anti-spéciste avant l’heure)
- Le chant des partisans (j’étais à l’école primaire lors du cinquantenaire de la seconde guerre mondiale)
- La marche de Sacco et Vanzetti / Here’s to you Nicola and Bart : une fois que j’ai compris que la chanson parlait de leur exécution…
- Les roses blanches : au début ça fait chanson de fête des mères mais juste au début,... (@AcarusSiro l’interprète la plus célèbre est Berthe Sylva la chanteuse de l’enfant de la misère et c'est dans la même ambiance )
- Une chanson dont je ne me rappelle plus le titre mais qui parlait d’un petit garçon A invité chez son voisin B. Et B regarde A jouer, mais c’est parce qu’en fait, il est agonisant et à la fin de la chanson il meurt.
Quand je regarde le cahier de chants et poésies de mon fils, il n’y a pas ce genre de textes, souvent des chansons récentes (Zaz) ou des classiques pour enfants comme “la maison citrouille” (d’ailleurs j’ai découvert “Qui était cet homme” de Pierre Chêne assez récemment et qu’elle était apprise dans des écoles ou des colonies de vacances, alors qu’elle parle de la torture et de l’assassinat de Victor Jara )
- Il était un petit navire avec le matelot qui se fait manger
- Le petit cheval
- Les boeufs : Dans le refrain, le chanteur dit qu’il préférait que sa femme meurt que ses boeufs (une chanson anti-spéciste avant l’heure)
- Le chant des partisans (j’étais à l’école primaire lors du cinquantenaire de la seconde guerre mondiale)
- La marche de Sacco et Vanzetti / Here’s to you Nicola and Bart : une fois que j’ai compris que la chanson parlait de leur exécution…
- Les roses blanches : au début ça fait chanson de fête des mères mais juste au début,... (@AcarusSiro l’interprète la plus célèbre est Berthe Sylva la chanteuse de l’enfant de la misère et c'est dans la même ambiance )
- Une chanson dont je ne me rappelle plus le titre mais qui parlait d’un petit garçon A invité chez son voisin B. Et B regarde A jouer, mais c’est parce qu’en fait, il est agonisant et à la fin de la chanson il meurt.
Quand je regarde le cahier de chants et poésies de mon fils, il n’y a pas ce genre de textes, souvent des chansons récentes (Zaz) ou des classiques pour enfants comme “la maison citrouille” (d’ailleurs j’ai découvert “Qui était cet homme” de Pierre Chêne assez récemment et qu’elle était apprise dans des écoles ou des colonies de vacances, alors qu’elle parle de la torture et de l’assassinat de Victor Jara )
- Merlu
- Localisation : Devant ton nez
- Pronoms : il
Mais le pire, c'est que pour Le matou revient, j'avais la version de Steve Waring, qui y ajoute sa touche perso, du genre décrire de façon désinvolte la "pluie de petits morceaux d'homme" ou imiter les cris du chat pendant qu'il se fait trancher vivant.
Si ton tonton tond un chasseur sachant chasser sans son chien, les chaussettes de l'archiduchesse se dépetibotdebeurreriseront.
@Chocovore oui je n'ai pas cité les roses blanches mais on y avait droit aussi
Aussi Ne pleure pas Céline me rendait toujours triste, cette femme qui s'était sacrifiée pour prendre soin de ses frères et sœurs (enfin dans mon souvenir c'est ça le thème)
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Aussi Ne pleure pas Céline me rendait toujours triste, cette femme qui s'était sacrifiée pour prendre soin de ses frères et sœurs (enfin dans mon souvenir c'est ça le thème)
Ne pas me citer, merci