J'ai emprunté un roman graphique / grosse BD   à la bibliothèque :
le garçon sorcière

résumé

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C'est clairement un ouvrage qui déconstruit les clichés de genre et je me suis demandée s'il y avait un petit coté trans

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Et le coté chouette, c'est que c'est annoncé dès 9 ans, donc LutinCoquin va pouvoir le lire

En ce moment je lis 22 11 1963 de Stephen King.
Le livre est un pavé mais c'est très plaisant. Premier livre de cet auteur. J' aime beaucoup l'Histoire avec un grand h. Ça fait plaisir de lire une histoire inspirée de faits réel.

@triste-songe Je l’ai lu cet automne, j’avais beaucoup aimé. Il se lit bien.

Qui n'est pas raciste ici? d'Akli Tadjer
"C'est la première question qui m'est venue lorsque j'ai rencontré les élèves d'un lycée de province qui avait refusé de lire Le porteur de cartable, dont le héros s'appelle Messaoud."
Les échanges avec les élèves sont révélateurs d'un inconscient collectif non-dit.
Les réflexions de l'auteur sont instructives et avec pédagogie, ils les invitent à une reflexion sur eux-même pour mieux comprendre les autres.
Un livre très surprenant et touchant, qui fait peur et qui rassure en même temps !
 

Je viens de terminer Mémoires sauvées de l'eau de Nina Léger

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Je commence Hors d'atteinte de Marci Burnier

Je viens de finir De si bons voisins, un petit polar que j'ai bien aimé, alors que c'est par forcément mon genre préféré.

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J'ai bien aimé l'alternance des points de vue entre tous les personnages, et il y a eu quelques rebondissements que je n'avais pas du tout vu venir !
Le suspense est moins sur l'identité du coupable que sur la manière dont la mort s'est produite. On se demande si les personnages impliqués vont s'en sortir, si les inspecteurs vont découvrir leur identité...
Bref, j'ai bien aimé, le début était un peu lent, mais j'ai dévoré la deuxième moitié.

Nuageuse a écrit : ↑23 mars 2025, 21:14 Je lis Si c'est un homme de Primo Levi.
Un témoignage sur la Shoah.

C'est un livre très poignant, la lecture m'a été difiicile...

Puis en faisant des recherches, j'ai découvert l'épisode de La retirada de Josep Bartoli.
En 1939, la France crée un "camp de concentration" (ce sont les termes du ministre de l'intérieur de l'époque) à Argelès, pour gérer l'afflux de réfugiés républicains espagnols ayant franchi les pyrénées, fuyant le franquisme... on parle de 500 000 personnes sur 15 camps ! (dont Saint-cyprien, Agde, Rivesaltes, Barcarès, Bram entre autres). Ces resistants sont pourtant regardés par les autorités françaises avec mépris, comme une canaille marxiste, une "horde rouge et des bandits de grand chemin". Mais leur choix est fait : elles n'accueilleront que femmes, bébés et blessés. Les valides seront rejetés à la frontière.
Voilà comment la pays des droits de l'homme traite les combattants de la liberté (les brigades internationales). Sans savoir que, quelques mois plus tard, l'allemagne réservera le meme sort aux français.
Le livre est un témoignage direct de Josep Batoli, dessinateur barcelonais qui a clandestinement anoté tout ce qu'il a vu et entendu : racisme, deshumanisation, humiliations, violences...ce qu'on lit habituellement dans les camps nazis.
Cette découverte a été pour moi un séisme car je ne pensais vraiment pas que la france avait également été capable de créer des camps dans ses frontières.
Aurel a réalisé un très bel animé en s'inspirant du livre de Bartoli :  Josep

DP .
Merci @Tchalette pour ces précisions .

@Tchalette
C'est très intéressant, je ne sais pas si je réussirai à le lire...

Récemment, je lisais un article du Monde qui disait que les jeunes générations ne savaient rien du Franquisme et de ses conséquences...
Et je me rends compte que c'est vrai : j'ai abordé le franquisme en lisant les romans de Boro, dont un tome est consacré à la guerre civile espagnole et récemment les Tiroirs aux couleurs d'Olivia Ruiz où elle raconte l'exil de sa grand-mère et de ses grandes-tantes en France ... Où on découvre l'accueil terrible fait par la France à ces réfugiés

Au lycée on avait étudié le franquisme et la guerre civile espagnole et en tant que grande passionnée d'histoire j'avais fait des recherches en plus, regardé des reportages historiques.

En cours d'espagnol, on avait abordé le sujet à travers l'art: Guernica de Picasso. Puis la poésie: Pablo Neruda.

En cours d'histoire, on a abordé la période post-franquiste je crois.

@Weena88 J'avoue que je ne connais pas du tout cette part de l'histoire de l'Europe (je n'ai pas appris l'espagnol donc encore moins entendu parler de cette guerre et dictature).

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@Obrigada si on aime les romans de reporter de guerre, la série de Boro, est très intéressante, (et déprimante ?) : il traverse toutes les turpitudes du vieux contient pendant le XXième siècle, de 1933 et la montée du fascisme, la révolution espagnole, puis la résistance pendant le régime de vichy, la création dans la douleur de l'état d'Israël, puis la guerre froide ...

Je me suis lancée dans les contes interdits (y'a une quarantaine de tomes, pas sûre d'aller jusqu'au bout).

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@Soulsight j'en ai lu quelques-uns aussi !

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@Suspiria 

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J'ai fini Marcia Burnier

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J'ai fait un petit tour en librairie pour trouver des auteurs.trices d'Europe orientale, j'ai fait une bonne récolte, mais j'ai aussi pris Vacataires de Thomas Porcher, qui casse pas 3 pattes à un canard, mais se lit très vite et a l'avantage de parler efficacement de la précarité enseignante à l'université (2/3 des cours sont assurés par des vacataires aujourd'hui - des gens qui sont payés tous les 6 mois et encore, 42€ de l'heure, sans cotiser au chômage ni à la retraite). Il saisit bien les hiérarchies universitaires aussi, certains moments un peu mesquins m'ont fait du bien

Je lis maintenant une autrice Croate wesh pas du tout elle est bosniaque Sladjana Nina Perkovic, Dans le fossé. Pour le moment c'est plutôt drôle !

J'ai acheté Résister de Salomé Saqué aussi sait on jamais si ça peut me donner de l'espoir.

J'ai commencé Le règne du vivant d'Alice Ferney.

Aiguillonné par la curiosité, et très vite porté par l'admiration, un journaliste norvégien s'embarque sur l'Arrowhead avec une poignée de militants s'opposant activement à la pêche illégale en zone protégée. À leur tête, Magnus Wallace, figure héroïque et charismatique qui lutte avec des moyens dérisoires — mais un redoutable sens de la communication — contre le pillage organisé des richesses de la mer et le massacre de la faune.
Retraçant les étapes de cette insurrection singulière, témoignant des discours et des valeurs qui la fondent, Alice Ferney s'empare d'un sujet aussi urgent qu'universel pour célébrer la beauté souveraine du monde marin et les vertus de l'engagement. Alors que l'homme étend sur les océans son emprise prédatrice, Le Règne du vivant questionne le devenir de "cette Terre que nous empruntons à nos enfants" et rend hommage à la dissidence nécessaire, face au cynisme organisé.