je viens de terminer pour la 3e fois la lecture de le chat qui sauvait les livres. eh bien il y aura une quatrième lecture dans deux ans. j'aime toujours autant, malgré la pauvreté des personnages féminins

@yoruichi

C'est celui que je suis en train de lire en ce moment même !

@Soulsight 

ca va pas du tout, je passe trop de temps en bibliothèque! ou alors, la médiathèque municipale ne renouvelle pas suffisamment ses collections: j'ai emprunté plein de bouquins lesquels je ne me souvenais plus d'avoir lu, et m'en rends compte au moment de les mettre dans mon challenge goodreads. les deux derniers ne m'avaient pas enthousiasmée plus que ca, donc pas sûre de les relire. on verra si je me trouve désoeuvrée à la fin du weekend. j'en ai plus que dix avec moi, dont les deux tiers sont déjà bien entamés. heureusement qu'il y en a un allemand, je maîtrise beaucoup moins cette langue, et ca me prend des plombes à avancer. c'est un livre sur la guerre de 30 ans de herrfried münkler. un beau bébé d'ailleurs.

sinon, j'ai fini du pacôme thiellement (le secret de la société). agréable à lire, mais comme dans ses vidéos, ca part un peu dans tous les sens. j'ai adoré la parabole des talents, d'octavia butler, alors que je n'avais pas du tout aimé la parabole du semeur. je me demande s'il vaudrait la peine de relire le premier tome d'ici quelques années. j'ai encore quelques dystopies sur le feu.

 

Je lis Impossibles adieux de Han Kang.
Comme un long songe d’hiver, ce nouveau roman de Han Kang nous fait voyager entre la Corée du Sud contemporaine et sa douloureuse histoire.
J'aime beaucoup le style poétique qui rajoute du pathos sans tomber dans le côté voyeuriste.

J'ai lu La cuisinière de Mary Beth Keane.

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Xixili a écrit : ↑04 mai 2025, 19:05 J'ai fini le tome 2.
Je l'ai trouvé plus fluide dans la lecture par rapport au 1er.
Mais je reste un peu déçue

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Ça manquaient de développement sur la technologie des enluminures qui m'avaient tant plu dans le 1er tome.

J'ai bien entamé le 3e tome mais ça a l'air de partir sur le même principe. Je reste malgré tout curieuse de voir comment tout va être résolu

J'ai fini le tome 3 des enlumineurs. Je suis mitigée sur la fin. En négatif :

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Par contre, j'ai apprécié de connaître l'histoire de Clef (qui est un perso que j'aime beaucoup) même si j'avais deviné la fin. Par rapport au tome 2, j'ai trouvé que les perso subissaient moins et étaient plus actif.
Le principe des trois sortes d'enluminures était bien vu aussi.

En conclusion, le tome 1 est vraiment chouette ! Mais la suite beaucoup moins car le principe des enluminures est moins exploité à mon sens. J'ai aussi eu un peu l'impression que le livre à les mêmes défauts qu'un manga de baston. Comme les héros deviennent de plus en plus fort, on passe de casser un caillou à main nu à exploser des planètes (mon souvenir de Dragon Ball Z).

 

Je ne suis qu'à la page 200 de Silo mais   Je trouve ça ouf d'avoir réussi à garder un rythme de suspense pareil après autant de pages. Mais j'ai l'impression de pas avancer  (il en fait 650).

@Xixili Je me souviens avoir dévoré le tome 3 des Maîtres enlumineurs, et avoir plus galéré sur le 2. J'avais bien aimé me fait que le système de magie/technologie soit poussé jusqu'à ses dernières limites, au point que ça soit difficile à suivre pour l'esprit humain à la fin.

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J'ai commencé Harrow la neuvième, tome 2 du Tombeau Scellé de Tamsyn Muir. C'est bien barré et gothique jusqu'à l'absurde. Je me dis que ce n'est pas trop grave si je suis larguée dans l'intrigue et les personnages, ça doit être voulu. L'humour est très noir, j'aime bien. La magie autour des os devient assez spectaculaire (et douloureuse j'imagine).
En parallèle, je lis Pachinko de Min Jin Lee, dont j'ai eu de bons échos ici ou ailleurs.

Je viens de finir La vie invisible d'Addie Larue, qui était dans ma PAL depuis plusieurs années, et c'est un vrai coup de cœur 
Je l'ai trouvé en livre audio parce que j'avais un peu peur des longueurs. Il faisait quand même plus de 17 heures dans ce format, mais du coup j'ai été un peu obligée de le déguster, et je ne regrette pas !
Je me sens un peu bête parce qu'une amie m'avait tannée avec pendant des mois il y a quelques années, et j'avais peur qu'elle me l'ait trop vendue et d'être déçue

Résumé

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Qu'est-ce qu'un homme sans moustache d'Ante Tomic

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Juste avant j'ai abandonné Cette nuit je l'ai vue de Drago Jancar après 20 pagesw j'accrochais pas du tout.

@Octavienne le tome 3est dans un tout autre délire. perso, j'ai moins accroché qu'aux deux premiers tomes

J'ai fini Le goût du bonheur T.3 Florent de Marie Laberge.

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Je lis le journal d'Agnès Buzyn qui date de janvier à juin 2020, en plein Covid.
Il est technique mais intéressant sur la gestion de crise du Covid, notamment sur l'Oms et l'Union européenne qui n'ont pas pris à temps l'ampleur de la pandémie. Elle explique que les médias ont repris une phrase tronquée de sa première conférence de presse, entre autres.
Elle décrit son inquiétude, nous fait part de souvenirs touchants lorsqu'elle était interne, de ses journées marathons en tant que ministre de la Santé et des Solidarités où elle n'a pas le temps de manger. Ils lui ont assigné un garde du corps pour lui rappeler d'aller aux toilettes. Elle raconte une anecdote de Chirac à ce sujet qui m'a fait rire.
De toute façon, je ne peux pas être impartiale vis à vis d'elle car j'ai rencontré son père et que son oncle du côté maternel est un ami proche de la famille.
J'émets une réserve sur l'absence de Glossaire des abréviations, sigles, anacronymes. La France en raffole et des fois je ne me souvenais plus à quoi correspondent les initiales, surtout des personnes qui l'entourent.

Du thé pour les fantômes, Chris Vuklisevic

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Boudicca, de Jean-Laurent Del Soccoro.

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je m'éparpille trop. je n'arrive pas à avancer dans mes 12 bouquins en parallèle. néanmoins, j'aime beaucoup the enlightenment tha failed de jonathan israel. un beau bébé sur l'histoire des différents sous-courants des lumières et comment ils traitaient de question de justice sociale. la page 764 va vous étonner.

le dernier meurtre sur mars, qui est de la sf de qualité. toute ressemblance avec des bezos et musk est totalement fortuite dans la genèse de colonies ultracapitalistes faites par par des milliardaires parce que la terre ne ressemble plus à rien. je me rends compte qu de plus en plus de bouquins que je lis parlent d'effondrement, et ca me fait flipper.

j'ai fini pour la 2e fois le livre des soeurs, d'amélie nothomb. de l'amour pur.

sky without stars de jessica brody a un début prometteur, dans un univers steampunk.

chats sur ordonnance, de Ishida Syou est sympa, mais répétitif. on y suit les aventures de gus dont la vie part à vau l'eau et qui sont sauvées par une clinique psy qui prescrit des chats remettant leur vie sur les bons rails.

fashion, the definitive history of costume est un beau livre passionnant: petite et grande histoire y sont liés et on en apprend beaucoup sur l'histoire du vêtement dans toutes les classes, pas que pour le snobles ou bourgeois. c'est très agréable, mais case lit lentement. déjà, le bousin pèse presque 3kg, ce qui tire sur mes cicatrices. pas le timing le plus adapté pour sa lecture, donc. mais je vais devoir le rendre bientôt. autant le finir avant.


 

Ce genre de petites choses, Claire Keegan

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Maintenant j'ai un choix à faire pour le premier livre de la liste géniale proposée par les belettes sur conseille moi un livre

Je viens de finir "kodak Everest pocket" de Nicolas Le Nen.
Le personnage principal est assez désagréable.
Mais j'ai aimé cette histoire romancée sur la disparition de Mallory et Irvine sur l'Everest en 1924.
Je me suis laissée embarquer par cette énigme.

Assistant to the villain de Hannah Nicole Maehrer

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Je lis Insolations de Meryem Alqamar.

Avec Insolations, la poétesse Meryem Alqamar signe un premier roman intime et lumineux, écrit dans une langue claire et sans détour. Une jeune femme y entame une correspondance à sens unique avec sa thérapeute, au cours de laquelle elle revisite son enfance et ce qui fait l'imbrication complexe des attachements teintés de violence qui l'ont marquée. L'Algérie, son père, les femmes de sa famille et celles de sa vie s'y croisent et dessinent peu à peu l'autoportrait habité, ému et émouvant qui émerge de ce texte. Une façon de se dire franche et complexe, une réaffirmation de sa place au monde sans négocier ni chercher à se cacher.