), que ça me donne un peu le même effet que me replonger dans un dessin animé ou un livre des Moomins ou de la Comtesse de Ségur 
Un peu dans le même univers enchanteur, vivant, avec des persos hauts en couleur et avec autant de qualités que de défauts qui les rendent vrais et attachants, je ne sais pas si tu connais mais tu devrais aimer les Naomi Novik, si tu n'as pas encore essayé.
@Asteraceae tu viendras nous dire ce que tu as pensé de la suite ? J'ai trouvé que le Parabole du Semeur se suffisait à lui-même de mon côté, j'ai entendu dire que les suites sont pas géniales, je me demande si ça vaut la peine...
Je relis La cloche de détresse de Sylvia Plath, j'ai trouvé une très jolie version illustrée du passage du figuier, cet extrait a longtemps résonné très fort en moi.
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. J'ai beaucoup aimé l'humour et les traits de dessin. Par contre c'est glauque. Tu te demandes vraiment s'ils avaient pas un pet au casque 
)
J'avais adoré Extremement fort et incroyablement près qui m'avait fait pleurer comme un bébé donc j'étais très (trop ?) enthousiaste pour celui là mais je crois que je suis passée à côté. Grosso modo on suit une famille juive américaine qui subit une crise et en parallèle Israel est en crise aussi, j'imagine que les deux devaient être un miroir l'une de l'autre mais j'ai pas trop compris comment ? Les personnages m'ont pas mal agacée, leur motivations sont assez peu claires, les enfants du couple sont bien trop intelligents pour leur âge, les dialogues étaient cryptiques genre 6 niveaux de métaphores et sens cachés et ca m'est vraiment passé au dessus. 
Y'a quelques passages où j'ai accroché mais j'aurais préféré que le livre se concentre sur la crise en Israel et les implications pour les juifs qui ne vivent pas là bas, c'était bien plus intéressants à mes yeux que les problèmes de couple. 
Je pense encore une fois que je suis pas faite pour les livres avec un gros sens caché, je comprends jamais où l'auteur veut en venir. 
C'est l'histoire d'une épidémie où les gens s'endorment et personne n'arrive à les réveiller. J'en suis qu'au début donc je sais pas trop où ca va nous mener mais j'aime beaucoup les personnages, j'espère que leur histoires vont se rejoindre. Ca me fait beaucoup penser à du Emily St John Mandel mais comme j'ai acheté le livre parce qu'il y avait sa recommendation sur la couverture, j'imagine que c'est pas étonnant comme comparaison. 
).
Je m'attendais à une écriture douce mais pleine de verve, engagée tout de même (le personnage Taubira pour moi quoi), et je me force vraiment à aller jusqu'au bout de chaque récit qui me semble in - ter - mi - nable. Il ne se dit pas grand chose au final, et je sature vraiment de ce name-dropping de références culturelles gratuites à chaque paragraphe. Chaque nouvelle est portée par un nouveau narrateur et les tentatives de leur donner une voix singulière ne sont absolument pas convaincantes, le tout sonne si faux que j'ai l'impression parfois de lire une longue parodie. Il ne m'en reste plus qu'un gros tiers à lire...
Tu en as pour un moment 
Très poétique comme Station Eleven, y'a plein de passages qui ont beaucoup résonné en moi. C'est pas un roman à lire si vous êtes intéressé.e.s par le côté science fiction de la pandémie, le focus n'est vraiment pas sur la science des choses mais sur les personnages et la réponse humaine. 
Si quelqu'un.e connait des auteurs/autrices du style, je prends. 
), j'ai vraiment accroché à la narration en plusieurs récits. Ça s'est un peu tassé avec la Chute mais là je m'y remets avec entrain avec le passage mystérieux de Duré dans les labyrinthes, que j'avais complètement oublié. Je ne suis pas sûre de pouvoir regarder l'adaptation, il y a des passages sanglants que je suis contente de ne pas trop visualiser.
Je serais super contente de connaitre votre avis si vous le lisez aussi. 
