@Soulsight Je compatis à fond !
Je suis aussi dans le médical et je me rends compte que j'ai la tendance à utiliser des mots médicaux dans la vie de tous les jours dans un contexte pas tjs parfait ^^ genre mon copain a bcp ri quand je lui disais qu'il devait "métaboliser" une nouvelle ^^

Je suis paramédical et j'ai deux déformations professionnelles principales : rien ne me dégoute, je peux parler de trucs dégueus pendant un repas sans aucun problème, et je n'ai jamais été très inquiète des "bobos" de mes proches (je me rappelle la fois où mon ex était mourant sur le canapé, ça me gonflait tellement que je l'ai emmené chez le toubib, c'était la grippe... Oups  )

Quand je croise des gens avec des bonnets/capuches à l'intérieur, je dois lutter contre mon réflexe de prof' qui veut leur dire de les retirer. 

@Agnies Pareil avec les lacets défaits et l'envie de crier "fais tes lacets !".

Appeler les potes "mon grand" quand tu leur parles.

Faire « chuuttt » quand des ados font du bruit dans les transports en commun.

Devoir me retenir de dire à quelqu'un d'enlever sa casquette en intérieur. 

@Merlu Anim pour ma part aha!

Pas moi mais mon mari : je lui dis que le père de notre voisin est en soins palliatifs et qu'il faudra présenter des condoléances le moment venu. Le nez sur son ordi, il m'a répondu "oui, il faut préparer des éléments..." Il s'est arrêté avant d'ajouter "de langage" mais c'était trop bien parti pour que je ne tique pas !