C'est aujourd'hui que le métier d'éthologue me ferait rêver Evidemment, je n'en avais jamais entendu parler étant enfant. Enfant, pour le contact avec les animaux, je ne connaissais que vétériniare, et outre le fait que ça me semblait très difficile, je ne me sentais pas capable de gérer la souffrance animale.

Mais mon métier actuel me plaît pas mal quand même, et je me sens "utile de loin" (c'est un métier de la culture, mais je ne sauve pas des vies, quoi). J'ai beaucoup de chance de l'exercer, pourvu que ça dure l'éthologie sera (peut-être !) pour une autre vie

Quand j'étais petite, je rêvais d'être chômeuse parce que mes parents m'avaient vaguement répondu quand on regardait le journal télé, que ça parlait de chômage et que moi je les dérangeais avec mes "mais c'est quoi le chômage ? c'est quoi un chômeur ?" : "quelqu'un qui ne travaille pas et à qui on donne de l'argent". Ca me paraissait le plan idéal. J'ai réalisé mon rêve, c'était pas du tout l'éclate ! Maintenant, je suis de l'autre côté du bureau !

Sinon en grandissant un peu, genre durant l'adolescence, je voulais vraiment un métier en lien avec la justice/la loi : policière (pendant deeeees années !), détective privée, avocate... J'ai voulu le journalisme aussi. 

Et le sacro-saint "poète". Pas écrivaine, non : poète. Je voulais être Baudelaire, Hugo, de Maupassant, Rimbaud... Je voulais voyager comme eux, rencontrer des intellectuels avec qui créer un mouvement culturel aussi grandiose que le romantisme, collectionner les histoires d'amour malheureuses pour avoir de la matière à écrire, être publiée et reconnue comme le génie de mon temps (rien que ça...). Dans la même veine, peut-être plus 'actuelle' ou moderne si je puis dire, j'ai voulu longtemps être parolière. Je savais bien que le temps des poètes n'existait plus et que mon rêve était irréalisable, mais je me suis dit qu'il y avait moyen de côtoyer ces idéaux avec mon siècle en écrivant des chansons comme Sia par exemple et voir mes textes chanter dans le monde entier.

Toute petite je voulais être vendeuse de glaces (pour pouvoir les manger ) , puis "vendeuse de légumes dans la grand rue" . Par la suite infirmière (ça aurait pu être chirurgienne mais comme mon chirurgien était un homme je n'y avais pas pensé).
Au lycée j'étais perdue, médecin m'attirait et en fait j'avais envie de voyager et parler anglais, être à l'extérieur et j'ai fait un autre chemin qui m'a bien amenée à tout ça.
J'aime bien mon métier / domaine d'expertise.
Parfois je me demande si j'aurais osé suivre un rêve inavoué si j'avais été mauvaise à l'école : faire de la danse ma carrière (j'en faisais pas mal d'heures au lycée)...

J'ai voulu d'abord être Archéologue, parce que j'ai eu ma période dinos et momies ^^   après y'a eu véto, auxillière puer, avocat, juge des enfants. Traductrice, parce que les langues c'est mon truc. Ecrivaine. Bosser dans l'informatique aussi, je kifferai.
Mon métier de rêve : Libraire, particulièrement dans les livres jeunesses. J'avoue que ces derniers mois m'ont bien découragée d'entreprendre ce rêve.
Actuellement je ne fais ... ben pas grand chose : / il y a une infinité de possibilités, mais je n'ai pas confiance en moi..

J'ai longtemps rêvé sur traductrice pour le côté autonome du métier et puis parce que j'aime bien l'exercice de la traduction, je vois ça comme un jeu. Bibliothécaire ça m'attire beaucoup aussi, mais comme traductrice, je suis dissuadée par la précarité.

Sinon scénariste pour séries télé ça me fait rêver depuis longtemps. J'imagine ça comme un travail créatif en équipe. Travailler sur une émission de télé réalité aussi, mais je n'ai aucune idée des conditions de travail, donc il y a sûrement un fossé entre l'image que j'en ai et la réalité. Globalement, j'ai l'impression que les industries du divertissement, du loisir et du plaisir sont assez rudes et maltraitantes envers les travailleurs (genre le cinéma, la télé, la restauration, l'événementiel, etc.). Ce sont des secteurs qui font rêver mais où on s'use à faire plaisir aux autres.

En ce moment je pense très sérieusement à m'orienter vers la psychologie, mais j'ai besoin de bien mûrir mon projet. Je veux être sûre que ça répond à une envie profonde et que c'est pas uniquement une réaction au mal-être que je ressens dans mon boulot actuel. C'est une carrière que j'ai déjà envisagée plusieurs fois, mais les échos sur la précarité m'ont aussi refroidie. De toute façon, dans la vingtaine je n'aurais pas eu la maturité nécessaire et je me serais sans doute plantée. Je pense que je suis maintenant beaucoup mieux armée pour réussir les études et que je m'éclaterais, mais je ne sais pas si je pourrais exercer comme thérapeute. J'ai peur de ne pas avoir la patience ni la diplomatie, même si je pense avoir pas mal d'empathie. Par contre j'aime beaucoup analyser les gens, donc peut-être qu'il faudrait que j'aille vers une branche de la psycho où on évalue, fait passer des tests, établit des profils psychologiques ou des bilans cognitifs...

Au bilan j'ai exclu beaucoup de carrières par crainte de la précarité, mais ironiquement je me retrouve quand même dans une branche ultra précaire et ingrate. A l'heure actuelle j'ai un CDI, mais avant de le décrocher j'ai mangé ma ration de pain noir. Je sais ce que c'est de vivre en dessous du SMIC et de ne pas avoir de visibilité au-delà d'un an, donc ça me fait peur de retomber là dedans si je change de voie.

Bref. Je suis en plein questionnement en ce moment. C'est flippant mais c'est aussi pas mal excitant !

Quand j'étais petite,je rêvais d'être Sydney Fox, à la fois pour le côté découverte de reliques archéologiques (et magiques, il faut bien le dire), et parce qu'elle est badass et gagne toujours contre les méchants (en général des hommes). Après j'ai appris que les archéologues passaient plutôt leur temps à genoux à fouiller la terre et qu'il y a beaucoup plus de chances de trouver des tessons que des bijoux en or, donc flemme.
Je me suis rabattue sur l'histoire, j'ai donc fait des études d'histoire qui m'ont passionnée, et maintenant mon boulot que j'adore n'a absolument rien à voir, mais j'aime toujours beaucoup l'histoire.

Moi quand j était petite j avait plusieurs métiers qui me faisait rêver
Je voulais être vétérinaire pour soigner les animaux comme j aimé déjà les animaux c était le métier qui me faisait rêver .

Ensuite je voulais être danseuse comme j adoré danser danser devant tout le monde c était un rêve .

Je voulais être footballeuse professionnelle jouer dans des stades pleins que tout le monde me regarde et gagner la coupe du Monde sauf que a l époque y avait pas de coupe du monde féminine c est ma mère qui m avait dit ça j était pas contente .

Quand j avait 13 ans j ai voulu être mannequin comme j adore la mode les défilés avec ma cousine ont voulais faire ça , sauf que je me suis rendue a l évidence je faisais 1m60 je pouvais pas .

Ensuite je voulais être infirmière soigner les gens les sauver c est très important , je me suis dit c est le métier que j ai envie de faire comme c est très important de sauver des gens finalement j ai fait un métier qui ressemble aide soignante a aucun moment j était déçu de faire se métier je suis tellement contente d avoir fait se métier.

Petite, je voulais etre paléontologue. Ca m'a tenu jusqu'à ce que je sois rattrapée par le principe de réalité, à savoir les études qu'il faut faire et l'absence de débouchés   Sinon, mon reve reste d'etre écrivaine, meme si je ne sais pas si en vivre me plairait vraiment.

Moi je voulais être avocate dans les droits de l'homme quand j'étais petite.
Puis en fin de primaires, dans mon carnet de classe, c'était aventurière (punaise, ça aurait été bien ça), réalisatrice de films ou avocate toujours.
Et à un moment je disais aussi "femme d'affaires"
A la fin des humanités, j'ai hésité entre plein de trucs: archi, bioingénieur, droit et je crois physique à un moment (spoiler: j'aurais jamais eu le niveau).

Ajd, la kiné me fait rêver (je trouve que les kinés sont des gens sains d'esprit ), ou journaliste (même si je vois bien la réalité compliquée du métier) ou commissaire de police. Et dans les jours où je rêve de tranquillité, je m'imagine bibliothécaire ou chercheuse en anthropologie dans un bureau oublié au fond d'un couloir (pour lire des essais comme ceux d'Edward T. Hall tranquillement en buvant des tasses du thé à gogo ).

ne restera pas

Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent voir ce contenu.

@Hurray J'ai effleuré l'idée d'etre bibliothécaire aussi, mais le concours m'a refroidie... Pourtant, ça reste encore dans un coin de ma tete...

J'ai voulu être vétérinaire jusqu'à 11-12 ans mais quand j'ai réalisé qu'il fallait être plutôt à l'aise avec les matières scientifiques j'ai vite lâché l'affaire 
Comme je dessinais beaucoup, que je faisais de la musique, des photos...pendant très longtemps (même prendant mes études)je me disais que je voulais avoir un boulot alimentaire pour payer le loyer, et que j'aurai un atelier pour avoir le temps et l'espace de faire mes trucs artistiques à côté.
Mais pareil, quand j'ai commencé à faire des boulots "alimentaires" j'ai vite compris que ça laissait assez peu d'espace mental et physique pour créer à côté  

Comme je suis de nature plutôt empathique, qu'on se confie facilement à moi et que j'aime être à l'écoute et avoir l'impression d'apaiser un peu les gens, j'ai longtemps pensé à faire un métier dans le social (educ spé, assistante sociale, voire même psy) mais je ne pense ne pas avoir les épaules pour ça. 
J'ai l'impression - mais peut-être que je me trompe - que pour exercer dans ces milieux là il faut être sacrément solide psychologiquement et un minimum équilibré psychiquement. On ne peut pas vraiment dire que c'est mon cas   

Au milieu de tout ce bordel me voilà au chômage maintenant. 



 

Pas sûre que je dirai la tranquillité pour bibliothécaire en vrai mais ça reste le meilleur métier du monde !

Petite je voulais devenir pilote de chasse pour conduire des avions super rapides! Plus tard je me suis rendue compte que c'était peu compatible avec mes opinions pacifistes et libertaires

J'ai ensuite hésité entre bibliothécaire (aussi ) et artiste (en avançant dans les études j'allais vers dessinatrice pour le dessin animé) mais dire qu'il y a de la concurrence dans cette branche est un euphémisme.

Je n'ai pas totalement laissé tombé pour la bibliothèque puisque je prévois de monter une biblio-ludothèque associative dans quelques années. Ça restera du bénévolat mais je pourrais enfin avoir l'impression que la bibliothèque est ma maison (après de nombreuses années à faire de ma maison une bibliothèque )

Hello ,

C’est pas vraiment un métier, mais en ce moment j’aime beaucoup apprendre, donc je me verrais bien éternelle étudiante en études slaves et / ou Histoire de l’art.


(En attendant je l’écoute des podcasts de France Inter en passant l’aspirateur. )