Je ne veux pas travailler

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MamzelleOups
Localisation : Au pays des korrigans et de l'Ankou...

@kaliémis C'est difficile effectivement cette notion d'orgueil. Je suis actuellement maman au foyer, mi par obligation (burn-out, perte de mon emploi suivant, grosse questions existentielles, peur du monde du travail, zone rurale, pas de système de garde autour pour le bébé à venir etc.), mi par choix (choix de ne pas persister dans la recherche d'emploi, d'accorder du temps à la petite enfance de mes enfants...). J'ai encore des moments où je culpabilise de ne pas travailler, d'être dans le schéma genre "papa au travail, maman à la maison". Là je n'ai plus aucune aide pour quelques temps, j'oscille entre la peur de manquer et le "soulagement" de ne rien devoir a personne (sauf à mon mari). Mais le fait que nos 2 mamans aient arrêté le travail (voir pas commencé avant 30 ans pour ma mère) pour nous élever et d'en avoir beaucoup parlé avec mon mari qui accepte mon choix m'aident à être un peu plus en paix avec ça. Et on a aussi la chance d'avoir un train de vie qui nous permettent de vivre sur un seul salaire (bon le coup de pouce des allocations familiales n'est pas de trop, on ne va pas se mentir!).
Mon profil Vinted (surtout des vêtements bébé et des romans). Dites-moi si vous êtes une belette :happy:
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kaliémis

@MamzelleOups ce n'est pas du tout la même configuration et le même état d'esprit je crois bien ;) ... Moi aussi j'ai des aides, et pas qu'un peu, avec trois enfants.. Mon conjoint a été plus de 2 ans au chômage... On était bien contents d'avoir des allocations et je suis profondément attaché à cette solidarité et ce système qui permet (devrait permettre) à tous et toutes se vivre dignement. C'est différent de finir par faire "le choix" de faire une pause pour soit faire des enfants soit monter d'autres projets et de revendiquer la volonté de ne pas travailler parce qu'on n'a pas envie.
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Izanami
Pronoms : Elle

@kaliémis 
Je n'ai pas d'enfants et n'en veux pas, donc ça va grandement influencer ma remarque, mais j'avoue que j'ai du mal à saisir pourquoi ce serait plus correct de faire le choix de ne pas travailler pour élever des enfants que de faire le choix de ne pas travailler parce qu'on en n'a pas envie. Dans les deux cas, on considère juste qu'il y a des choses dans la vie qui sont plus importantes que le travail. 

Par ailleurs, il est très difficile de ne pas travailler. Afficher ça comme une simple décision à prendre qui permettrait de "profiter" des aides sociales (bien qu'une telle chose n'existe pas selon moi), c'est oublier que ces aides ne sont largement pas suffisantes pour avoir une vie décente dans la société actuelle. Demander de l'aide à ses proches, c'est aussi se rendre dépendants d'eux, et s'inscrire dans une certaine précarité (et si les proches sont assez riches pour donner de l'aide et qu'ils peuvent prendre cette décision en pleine conscience, bah pourquoi pas. Ils sont assez grands pour dire non, si ça leur paraît aberrant.)

S'inscrire en faux par rapport au monde du travail et à la société capitaliste, ça veut souvent dire s'ostraciser. Ne pas travailler, ça signifie souvent repenser tout son mode de vie, avec beaucoup moins de confort, afin qu'il puisse s'adapter à des revenus très faibles. C'est un travail en soi, et des sacrifices à faire. Moi j'adorerais ne pas travailler juste parce que, effectivement, "travailler ça me saoule", et j'ai pas de honte à le dire. Le monde du travail est violent et me cause (comme à beaucoup de gens) énormément de stress et de problèmes de santé mentale et physique. Pour autant, j'ai conscience que vivre sans revenus (ou les seules aides sociales) m'obligerait à adopter un mode de vie que je suis pas prête à adopter parce qu'il contiendrait beaucoup trop de sacrifices à faire pour moi, et donc je me plie à la loi du travail, vu que ce sont les deux seules options existantes pour quelqu'un de mon niveau social. 

Un autre fait est qu'il n'y a juste pas assez de travail pour tout le monde. Fin 2021, il y avait 13 fois plus de chômeurs que d'emplois vacants en France (et encore, le calcul du nombre de chômeurs est discutable pour tout un tas de raisons que je ne vais pas évoquer ici, donc l'écart est en réalité un peu plus élevé que ça). Donc, de toute façon, les personnes qui font le choix de ne pas rechercher de travail n'aggravent pas le système, vu qu'il est déjà mille fois défaillant. 

En fait, c'est juste que je vois pas bien l'intérêt d'être critique en vers les gens qui choisissent de ne pas travailler, quelle qu'en soit la raison. S'il faut être critique, c'est en vers tout le système capitaliste, qui fait qu'une poignée gagne plus en 1 mois que toute une famille de classe moyenne en 10 ans. Si on répartissait mieux les richesses, personne n'aurait à travailler plus de quelques heures par semaine tout en touchant un salaire décent. 

Edit : je crois qu'en définitive, ce que je voudrais dire c'est que personnellement je ne peux/veux pas arrêter de travailler, mais que je comprends les gens qui font ce choix et que je suis hyper heureuse pour elleux si ça leur convient et les rend plus heureux·ses, et que je ne peux qu'appuyer une démarche qui consiste à envoyer valser la sacro-sainte valeur travail, quand bien même j'en chie de mon côté avec le boulot. J'en chierais pas moins s'ils se mettaient à bosser. 
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kaliémis

@Izanami je partage bien que mes précédents messages ne le laissaient pas paraître beaucoup de tes points de vue. J'ai aussi des amis qui ne travaillent pas "au sens du salariat" parce qu'ils ont d'autres projets, associatifs, artistiques etc... (Et dans mon message j'ai bien dit pour élever des enfants ou autres projets )... Et qui vivent dans une démarche de décroissance, d'autosuffisance, avec des jardins, de l'auto construction etc... Je trouve cette démarche intéressante.
Et bien entendu, je ne pense pas que les aides suffisent à vivre une vie fastueuse.
Le côté "je n'ai pas envie de travailler" me semble un peu facile... C'est plus intéressant de dire "j'ai envie de monter d'autres projets incompatibles avec le monde du travail, le monde tel qu'il est en général" Ou alors de dire "je ne me sens pas capable de travailler, j'en ai peur, je n'ai pas l'énergie". Dans ces deux cas, il y a soit une démarche dynamique, soit un penchant dépressif (que je ne condamne pas, mais alors là il ne s'agit plus d'une envie, mais d'un état) qui vienne expliquer pourquoi cette décision de ne pas travailler.
Le côté de se reposer sur ses proches me semble quand même relever d'une forme d'inertie qui fait porter à d'autres la responsabilité de sa propre inactivité.
Je pense que je réagirais autrement si mon enfant m'annonçait qu'il ne souhaitait pas entrer dans le monde du travail selon qu'il :
- monte un projet artistique/humanitaire/personnel qui nécessite une coupure d'un ou deux ans
- cherche sa voie/ est jeune/se sent un peu perdu
- décide d'un mode de vie alternatif sans rien me demander, du coup, en assumant le coût et la frugalité de sa vie, après des recherches et une volonté de couper avec le capitalisme.
- me dise qu'il a pas envie de travailler, vive chez moi, trouve cela tout à fait acceptable et me demande de l'argent pour ses loisirs.
- soit dans un état pathologique (phobie sociale, toc, dépression) qui nécessite mes soins, ma patience, mon soutien, et bien sûr ma prise en charge matérielle.

Il y a plein de raisons de ne pas travailler mais elles ne sont pas toutes équivalentes, et mon regard n'est pas du tout le même en fonction des démarches. J'ai quelqu'un de très proche, qui vit au RSA, dans une très grande précarité, c'est à la fois un choix et un non choix, parce qu'elle fait plein de choses artistiques à côté et c'est carrément injuste qu'elle puisse pas en vivre alors que d'autres brassent des sommes avec des métiers "à la con". Il y a donc une forme de liberté à double tranchant. (Et elle est obligée aussi d'avoir recours à ses parents pour subvenir aux mois creux). En tant que parent je pense que tu ne dis jamais non, tu veux que ton enfant vive décemment. Moi si elle me taxait, je dirais non. (Enfin Oui si j'étais sa mère je pense)...

@Armus je crois surtout comme toi que ce n'est pratiquement jamais un réel choix (sauf dans les communautés auto-suffisantes) mais souvent le résultat d'une inadaptation sociale. Et cela je l'entends, je le respecte même. Comment être vraiment "adapté" à ce monde de "fous". Un mec carriériste qui bosse 15h/jour me fait bien plus flipper et je m'en sens bien plus loin que du mec qui se sent incapable de bosser. Mais se sentir inapte et dire " Je n'ai pas envie" sont deux différentes et ce que j'estime dans ma proche qui ne travaille pas est qu'elle dise "mais quand bien même je voudrais, je ne le pourrais pas, c'est peut-être pour ça que je ne veux plus." Elle a conscience que son monde à elle est loin du monde "normé", " Codé", régi par l'argent. L'important c'est pas l'activité salariée, c'est le projet.
C'est pour ça que j'étais pour le revenu universel... Pour pouvoir donner du temps et laisser la liberté à chacun de trouver quelque chose dans quoi s'épanouir, même si cela ne produit pas de richesse (surtout, même).

Je pense que le message initial était un peu provoc, et ma réponse l'était aussi un peu.
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Illusions
Mémétincelle
Mémétincelle

Je suis dans un groupe d'une fondation qui aide à trouver un emploi selon nos désirs et nos possibilités (temps plein ou temps partiel).
Les discussions sont intéressantes sur l'image que l'on doit donner à un recruteur par exemple et pourquoi l'on travaille.
La première chose qui ressort est évidemment l'argent. On a besoin d'argent pour vivre, payer son loyer, faire ses courses, payer ses charges.
Pour le revenu universel, je l' ai trouvé utopique car il y a une différence de prix entre les différentes villes, finalement il y aura toujours une inégalité entre ceux qui vont le recevoir et pourront économiser et ceux pour qui il partira dans toutes les dépenses quotidiennes. Il faudrait aligner les prix pour tous les loyers par exemple et pas sûr que ça plaise à tout le monde.
Dans mon monde idéal, je suis pour un travail où chacun serait épanoui. Malheureusement, cela ne peut pas se faire pour diverses raisons (besoin de bras dans la société, manque de compétences à cause de l'éducation, enfant puis adolescent qui rejette l'école en bloc).
A part avoir beaucoup d'argent par un héritage, je ne vois pas comment l'on pourrait s'arrêter de travailler pour vivre décemment. A moins d'être un ascète dans son ermitage :hesite:. Je ne juge pas ceux qui ne travaillent pas par choix. Juste que ce n'est pas ma vocation et que je veux aussi me sentir indépendante financièrement.
Le télé-travail n'est pas fait pour moi. J'ai besoin d'un cadre, de sortir de chez moi pour aller bosser, de me nourrir des autres physiquement.
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triste-songe

Bonsoir, sujet très intéressant.
N'ayant pas d'activité salarié, je vient apporter ma pierre à l'édifice.
Par où commencer?
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Et la mandoline jase
Parmi les frissons de brise...
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Iscambe
Localisation : Toulouse
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Moi j'ai une idée très claire et très simple sur la question. Polémique, mais simple.

Je ne supporte pas l'hypocrisie cachée derrière une excuse du type "je ne travaille pas par choix parce que le monde du travail d'aujourd'hui me dégoûte/m'horripile/va contre mes valeurs/je ne veux pas cautionner/blablabla, mais par contre je suis pour toucher des aides qui sont directement ponctionnées sur le salaire de personnes qui, potentiellement, souffrent dans ce même monde du travail lolilol". En gros, moi souffrir non mais les autres ok pour subvenir à mes besoins ??? Mais bien sûr... Soit tu assumes à 100% de rejeter le modèle et tu trouves d'autres solutions, soit tu ne le rejettes pas et dans ce cas j'estime que tu dois participer à l'effort dans la mesure de tes moyens. Et dans ce cadre-là, pour moi, arrêter de travailler plus ou moins longtemps pour élever des enfants, ça peut faire partie de l'effort collectif. C'est bien les générations suivantes sur lesquelles on compte pour a) assurer nos retraites à tous ou b) enclencher la révolution complète qu'on a tous trop peur de lancer. Les enfants, mais aussi les projets créatifs ou culturels, l'innovation, l'associatif, les médecines douces, la perma, et encore bien d'autres choses qui sont assez peu valorisées encore aujourd'hui (souvent à tort !). Tout ça, pour moi, c'est participer à l'effort, c'est contribuer. Différemment, mais contribuer quand même. 

Ce qui n'empêche pas de dire que le système est effectivement extrêmement moisi, que les richesses sont prises en otage par ceux qui les génèrent le moins, et que si ça changeait drastiquement, ce serait merveilleux. Je ne défends pas le système, et je serais la première à lever le pied au boulot si je pouvais. 

J'exclus dans ce schéma bien sûr les personnes qui ne choisissent pas leur situation ou leur problématique. Je parle bien des personnes qui font le choix de ne pas travailler pour x ou y raison mais s'accommodent de tirer parti du revenu des autres qui triment malgré la raison x ou y qui les dérange peut-être tout autant (coucou !  :hello: )
Codes parrainages pour : La Fourche (nourriture bio à prix coûtant), Banques (Boursorama : MOCO9509, Hello Bank, Revolut), Cashback (Igraal). MP pour infos :) Je vends sur Vinted aussi (livres, vêtements enfants et femme, papeterie...).
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PtitePlume

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Eulenfalter

C'est super intéressant de lire ces différents points de vue.
C'est des questionnements qui m'ont beaucoup traversée parce que je sors d'un congé parental (court) et que j'en pouvais plus, j'avais besoin de retourner au travail. Comme beaucoup de gens ayant un caractère u peu "passif", j'avais besoin de cette routine imposée du travail : avoir des horaires, des tâches à faire, des objectifs... Je pense que, contrairement à d'autres, si je ne travaillais pas, je ne ferais pas mille et une activités. Je glanderai probablement toute la journée en lisant et en regardant des séries et je ferai des promenades dans mon village.
Cela dit j'ai conscience d'avoir un travail que j'aime beaucoup, qui me stimule intellectuellement, qui est intéressant, dans un environnement sain et bienveillant. Donc ça aide.
Là où je veux en venir, c'est que pour moi, c'est inévitable d'avoir un phénomène de refus du travail dans une société où le travail est violent et en même temps où le système de solidarité fait qu'il est possible de ne pas travailler tout le temps.
Et là aussi où il y a un effort sémantique à faire c'est que le travail ne se réduit pas au travail salarié. Élever des enfants, c'est du travail. Être impliqué dans la vie associative locale, c'est du travail. Faire pousser ses fruits et légumes pour subvenir à ses propres besoins alimentaires, c'est du travail. Se former, c'est du travail. Faire des nœuds papillons rigolos et les vendre sur Etsy, c'est du travail. Monter son projet (même si on met deux, trois, cinq an à le faire) c'est aussi du travail.
 
"La vie est dure, soyons doux"
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pravda
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ATTENTION les propos que je vais tenir ne sont représentatif QUE de ma façon de vivre ma situation. Si quelqu'un.e lit mes propos, se trouve dans la même situation que moi mais le vis différemment, je lea comprends parfaitement et je ne porte aucun jugement 

On va venir me dire que ce n'est pas pareil mais moi je pense que si.
En ce moment, je travaille mais comme à chaque fois que je bosse depuis quelques mois (dernièrement je tiens 1 an mais avant c'était pas plus de 4 mois) je suis en train de me dire que je vais me barrer.
J'ai un trouble anxieux généralisé, un trouble panique, un endométriose qui m'handicap au quotidien et une anxiété sociale plus légère mais qui m'empêche de m'intégrer dans un équipe. J'adore mon taff mais les difficultés d'intégration, les crises de panique quasi quotidiennes, les symptômes d'endo... me font craquer systématiquement.
Je pense que je ne vais pas tarder à lâcher et honnêtement si le handicap (je suis reconnue handicapé psy et physiquement) y est pour quelque chose, je pense surtout que j'ai pas la force de continuer parce que je n'en ai pas l'envie. 
Je crois que si je pouvais bosser 2 semaines et être en vacances 2 semaine ou avec beaucoup plus de vacances et de souplesse sur les horaires ça serait possible pour moi mais vu ce que je gagnerais je ne sais pas si ça aurait un intérêt. En plus je suis dans le soin psy donc il faudrait que les personnes que j'accompagne n'est pas besoin de me voir plus que ce temps là
Je déteste tout ce qui accompagne le non emploi (les regards odieux du reste de la société, le sentiment de solitude, l'ennuie souvent) mais dans le fond c'est par que je n'ai pas envie de bosser et de me colter ce que les autres doivent endurer au boulot tous les jours et que j'ai une bonne raison que je vais lâcher.
En écrivant ça je me demande si le boulot est vraiment aussi atroce pour les autres que pour moi (parce qu'au bout de 6 mois de contrat a mi temps j'ai l'impression d'aller a l'échafaud tout les matins) et donc si mes propos sont exagérés par rapport au fait que "j'ai une bonne excuse" mais c'est mon sentiment.
Modifié en dernier par pravda le mar. 06 févr. 10:14, modifié 2 fois.
Désolée pour l’orthographe…
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MayaL

Je tombe sur ce topic par hasard et je le trouve très intéressant donc je voulais apporter ma pierre à l'édifice :) 
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:coiffe:
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pravda
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MayaL

@pravda  Je suis désolée si mes propos ont été blessants, ce n'était évidemment pas le but, je trouve juste le débat intéressant 
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pravda
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Modifié en dernier par pravda le mar. 06 févr. 10:41, modifié 3 fois.
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Earl
Bébétincelle
Bébétincelle

@pravda
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pravda
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@Earl 
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Earl
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@pravda
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OrangeStar

@Meeteetse je partage à 100% ton point de vue :ninja:
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Eliza

Parlons travail
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@pravda
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Ne pas citer, merci :happy:
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kaliémis

Alors je retrouve ce fil et ma réaction à un message extrêmement provocateur (genre comment faire pour faire payer ma famille parce que j'ai la flemme) qui avait suscité ma réaction première, que j'avais nuancée ensuite dans un autre message et que je vais effacer.
Parce qu'en plus je suis profondément d'accord avec @Meeteetse
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