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Accoucher sans péridurale
Salut les belettes
Hello @Jacqueline ,
sympa ce topic
Je cite l'incontournable mais néanmoins très précieux Découvrez vos supers pouvoirs de Lucile Gomez
et quelques conseils que j'ai trouvé super utiles de ma sage-femme :
- essayer de se mettre dans les mêmes conditions que pour un rapport sexuel. Oui ça sonne bizarre mais en fait ça fait sens : en gros elle expliquait que pour sécréter le plus d'hormones favorables il fallait privilégier la lumière tamisée, la complicité avec l'accompagnant, la musique qui fait du bien etc.
ça m'a beaucoup parlé car avant j'avais plutôt une vision d'aller au combat et je pense que ça ne correspond pas au lâcher prise nécéssaire
- profiter au maximum du bien-être entre les vagues de contraction : c'est vrai qu'avant la phase finale d'accélération il y a un temps de bien-être qui vient entre chaque contraction. Surfer sur ce moment d'apaisement (qui devient de plus en plus court certes mais qui est là) m'a permis de supporter le travail et de garder des forces pour le moment où les choses s'accélèrent
et aussi, pas facile pour moi celui-là : rester ouvert à toutes les possibilités et garder en tête qu'il n'y a pas de scénario d'échec !
sympa ce topic

Je cite l'incontournable mais néanmoins très précieux Découvrez vos supers pouvoirs de Lucile Gomez
et quelques conseils que j'ai trouvé super utiles de ma sage-femme :
- essayer de se mettre dans les mêmes conditions que pour un rapport sexuel. Oui ça sonne bizarre mais en fait ça fait sens : en gros elle expliquait que pour sécréter le plus d'hormones favorables il fallait privilégier la lumière tamisée, la complicité avec l'accompagnant, la musique qui fait du bien etc.
ça m'a beaucoup parlé car avant j'avais plutôt une vision d'aller au combat et je pense que ça ne correspond pas au lâcher prise nécéssaire
- profiter au maximum du bien-être entre les vagues de contraction : c'est vrai qu'avant la phase finale d'accélération il y a un temps de bien-être qui vient entre chaque contraction. Surfer sur ce moment d'apaisement (qui devient de plus en plus court certes mais qui est là) m'a permis de supporter le travail et de garder des forces pour le moment où les choses s'accélèrent
et aussi, pas facile pour moi celui-là : rester ouvert à toutes les possibilités et garder en tête qu'il n'y a pas de scénario d'échec !
Je rajoute l'hypno-naissance. Ca m'avait vraiment bien permis de me mettre dans ma bulle. Pour l'accouchement de Mini-pouce où le travail a été bien long, je planais complètement comme décrit @maudjack. La métaphore de la vague qui arrive reste pour moi la meilleure. Je rajouterais aussi avoir un bon binôme: mon mec a passé le temps du travail les yeux rivés sur le monito pour me prévenir de l'arrivée de la prochaine contraction. Durant la contraction, je faisais des "Ommmm" et les vibrations m'aidaient à gérer la douleur. C'est un truc qu'on n'avait pas du tout préparé avec ma sf pendant la prépa mais qui m'est venu spontanément pendant le travail. D'ailleurs je me rappelle d'une sf qui avait dit à sa collègue en entrant dans la chambre "Attends, il faut d'abord attendre qu'elle ait fini de chanter"
J'ai adoré les livres de Lucille Gomez aussi (les tomes I et 2, le 3 n'était pas encore sorti). J'avais pris des photos de certaines pages pour pouvoir avoir les illustrations avec moi et relire certaines phrases. De comprendre la physiologie de l'accouchement m'a super fort aidé à prendre confiance dans mon corps et notamment le fait que l'utérus est un muscle lisse (qui se contracte de manière involontaire) comme les muscles de l'estomac, du coeur, etc. Ca m'avait fait réaliser que je n'avais "rien à faire" mais juste à laisser faire mon corps et gérer la douleur. Cette conception m'a bien aidée ainsi que le fait de me dire que la nature était bien faite et que normalement j'allais être shootée aux hormones qui atténueraient la douleur (comme se tordre la cheville fait moins mal quand on en est à son 20ème kilomètre de course et qu'on est dans son effort). C'est encore ce qui m'aide a appréhender l'accouchement de numéro trois de manière sereine (presqu'à mi-parcours, je commence à y penser de temps en temps).
Un autre truc qui a bien aidé c'est de rester mobilisée pendant le travail. Pour l'accouchement du Chiqui, j'ai eu la chance de tomber sur une sage-femme géniale qui m'a fait rester active quasi tout du long. Il y a eu 6 heures entre mon arrivée à l'hôpital et l'accouchement. Elle ne m'a pas fait faire de mobilisation non-stop mais à des intervalles réguliers. Des positions du type : debout devant une chaise avec un pied sur l'assise et mon mec derrière la chaise mais je ne sais plus exactement ce que je devais faire. Je crois que je devais pousser sur la jambe/pied posé sur la chaise pendant la contraction. C'était sportif mais je sentais que ça travaillait à fond au niveau du périnée.
Pour l'ambiance tamisée, je l'avais demandée aussi et on avait mis notre musique. Ca m'a surtout marquée pour l'accouchement de Mini-pouce, les phases où je planais entre les contractions, j'ai vraiment le souvenir de partir dans des délires super agréables sur la musique. Pour l'accouchement du Chiqui, comme j'étais plus active tout du long, j'ai moins eu ce sentiment.
Aussi, importat à mon sens: prévoir de quoi bien s'hydrater pour tenir le coup physiquement (j'avais acheté des boissons spéciales type aquarius et prévu une paille pour que mon mec puisse me donner à boire, parce que quand t'es en train de gérer des contractions porter une bouteille d'eau à ta bouche parait juste mission impossible et entre deux contractions, tu as juste envie de te laisser aller pour reprendre des forces donc le fait de n'avoir qu'une paille à mettre en bouche est parfait). Pendant mes deux accouchements, ça a été salvateur. J'avais aussi des mini-snacks (pâtes de fruits et fruits secs) mais j'ai moins le souvenir d'avoir mangé, surtout d'avoir eu très très soif et donc d'avoir bu énormément (comme pendant un effort sportif intense).
C'est un peu en vrac, désolée.

J'ai adoré les livres de Lucille Gomez aussi (les tomes I et 2, le 3 n'était pas encore sorti). J'avais pris des photos de certaines pages pour pouvoir avoir les illustrations avec moi et relire certaines phrases. De comprendre la physiologie de l'accouchement m'a super fort aidé à prendre confiance dans mon corps et notamment le fait que l'utérus est un muscle lisse (qui se contracte de manière involontaire) comme les muscles de l'estomac, du coeur, etc. Ca m'avait fait réaliser que je n'avais "rien à faire" mais juste à laisser faire mon corps et gérer la douleur. Cette conception m'a bien aidée ainsi que le fait de me dire que la nature était bien faite et que normalement j'allais être shootée aux hormones qui atténueraient la douleur (comme se tordre la cheville fait moins mal quand on en est à son 20ème kilomètre de course et qu'on est dans son effort). C'est encore ce qui m'aide a appréhender l'accouchement de numéro trois de manière sereine (presqu'à mi-parcours, je commence à y penser de temps en temps).
Un autre truc qui a bien aidé c'est de rester mobilisée pendant le travail. Pour l'accouchement du Chiqui, j'ai eu la chance de tomber sur une sage-femme géniale qui m'a fait rester active quasi tout du long. Il y a eu 6 heures entre mon arrivée à l'hôpital et l'accouchement. Elle ne m'a pas fait faire de mobilisation non-stop mais à des intervalles réguliers. Des positions du type : debout devant une chaise avec un pied sur l'assise et mon mec derrière la chaise mais je ne sais plus exactement ce que je devais faire. Je crois que je devais pousser sur la jambe/pied posé sur la chaise pendant la contraction. C'était sportif mais je sentais que ça travaillait à fond au niveau du périnée.
Pour l'ambiance tamisée, je l'avais demandée aussi et on avait mis notre musique. Ca m'a surtout marquée pour l'accouchement de Mini-pouce, les phases où je planais entre les contractions, j'ai vraiment le souvenir de partir dans des délires super agréables sur la musique. Pour l'accouchement du Chiqui, comme j'étais plus active tout du long, j'ai moins eu ce sentiment.
Aussi, importat à mon sens: prévoir de quoi bien s'hydrater pour tenir le coup physiquement (j'avais acheté des boissons spéciales type aquarius et prévu une paille pour que mon mec puisse me donner à boire, parce que quand t'es en train de gérer des contractions porter une bouteille d'eau à ta bouche parait juste mission impossible et entre deux contractions, tu as juste envie de te laisser aller pour reprendre des forces donc le fait de n'avoir qu'une paille à mettre en bouche est parfait). Pendant mes deux accouchements, ça a été salvateur. J'avais aussi des mini-snacks (pâtes de fruits et fruits secs) mais j'ai moins le souvenir d'avoir mangé, surtout d'avoir eu très très soif et donc d'avoir bu énormément (comme pendant un effort sportif intense).
C'est un peu en vrac, désolée.

Maman de Mini-pouce (03.2020) et Chiqui (08.2022).
J’ajoute le winner flow à votre liste que j’approuve jusqu’ici, même si je n’ai pas du tout accroché à l’hypnose de Naissance magique mais j’ai l’impression d’être la seule 
Je me suis entraînée à souffler avec dix minutes à tout casser pendant ma grossesse avec des vidéos YT alors je ne sais pas si je m’en suis servi correctement du tout, mais je l’ai eu en bouche depuis les premières contractions douloureuses jusqu’au cercle de feu et ça m’a permis de gérer mes expirations comme une queen (oui rien que ça) du début à la fin du travail (trois heures de contractions), si bien que je planais complètement dès que mes contractions s’éloignaient - les fameuses endorphines dont parle Lucie Gomez et que je n’ai absolument pas senties pour mon premier accouchement… Vraiment, c’est LE truc que je recommanderai à toutes les futures mamans de mon entourage désormais !
Et puis j’ajoute qu’il me semble important de bien briefer le co-parent pour pouvoir rester dans sa bulle au maximum : mon mec a tout géré à l’arrivée à la maternité, j’ai pu rester à me gérer moi dans un coin du couloir pendant qu’il s’occupait de l’administratif de mon admission, c’est lui qui a répondu à toutes les questions des soignantes jusqu’à l’arrivée en salle de naissance, et clairement ça m’a permis de n’avoir plus qu’à nous écouter, mes sensations et moi, et l’arrivée de mon fils n’en a été que plus fluide et facile ! Mon récit d’accouchement est sur le topic d’ailleurs

Je me suis entraînée à souffler avec dix minutes à tout casser pendant ma grossesse avec des vidéos YT alors je ne sais pas si je m’en suis servi correctement du tout, mais je l’ai eu en bouche depuis les premières contractions douloureuses jusqu’au cercle de feu et ça m’a permis de gérer mes expirations comme une queen (oui rien que ça) du début à la fin du travail (trois heures de contractions), si bien que je planais complètement dès que mes contractions s’éloignaient - les fameuses endorphines dont parle Lucie Gomez et que je n’ai absolument pas senties pour mon premier accouchement… Vraiment, c’est LE truc que je recommanderai à toutes les futures mamans de mon entourage désormais !
Et puis j’ajoute qu’il me semble important de bien briefer le co-parent pour pouvoir rester dans sa bulle au maximum : mon mec a tout géré à l’arrivée à la maternité, j’ai pu rester à me gérer moi dans un coin du couloir pendant qu’il s’occupait de l’administratif de mon admission, c’est lui qui a répondu à toutes les questions des soignantes jusqu’à l’arrivée en salle de naissance, et clairement ça m’a permis de n’avoir plus qu’à nous écouter, mes sensations et moi, et l’arrivée de mon fils n’en a été que plus fluide et facile ! Mon récit d’accouchement est sur le topic d’ailleurs

Ma page Vinted -> MAJ du 06/09 : pyjamas et vêtements bébé et bébé garçon du 3 au 18 mois.
Que les belettes n'hésitent pas à se faire connaitre pour une petite ristourne !
Que les belettes n'hésitent pas à se faire connaitre pour une petite ristourne !

- Lolita
- Bébétincelle
Mon récit d'accouchement doit être dans le topic dédié si tu veux @Jacqueline , et la technique qui m'a été utile c'est la respiration: inspirer en gonflant le ventre, expirer en "serrant" le ventre et en remontant le périnée, c'est le seul truc que j'ai appliqué sinon c'était un peu Yolo! Je l'ai beaucoup fait dans le trajet puis pendant le monitoring à l'arrivée vu que je n'étais pas libre de ma position, j'ai trouvé ça super efficace pour supprimer la douleur des contractions.
Comme livre j'avais "pour une grossesse heureuse" que je trouve vraiment super (je recommande vraiment) et la préparation bonapace mais finalement je n'ai pas fait les exercices. Je crois que mon mari a fait des massages douloureux pendant que je prenais une douche mais je ne me souviens pas trop (je me souviens surtout que l'eau était tiède et pas chaude, scandaleux !!!)
Edit : un exercice que je faisais pendant ma grossesse (c'était sur mon appli de yoga), c'est de faire la chaise longtemps en respirant, ça "apprend" à respirer pendant un effort tenu je trouve !
Comme livre j'avais "pour une grossesse heureuse" que je trouve vraiment super (je recommande vraiment) et la préparation bonapace mais finalement je n'ai pas fait les exercices. Je crois que mon mari a fait des massages douloureux pendant que je prenais une douche mais je ne me souviens pas trop (je me souviens surtout que l'eau était tiède et pas chaude, scandaleux !!!)
Edit : un exercice que je faisais pendant ma grossesse (c'était sur mon appli de yoga), c'est de faire la chaise longtemps en respirant, ça "apprend" à respirer pendant un effort tenu je trouve !
J'ai fait les deux types d'accouchement, un avec peridurale et la deuxieme sans.
Ce qui a aidé pour ma deuxieme c'etait les exercices de yoga prenatal que j'avais fait avec ma SF en preparation à la naissance et la respiration que m'avait conseiller une autre SF : souffler comme on souffle dans une paille.
sinon, je dirais ne pas se fixer sur avec ou sans, il faut se laisser une porte ouverte pour changer d'avis dès le départ comme ça on est pas " deçue" de ne pas avoir fait comme on voulait. chaque accouchement est different, c'est cliché, je sais. Mais de mon experience, la douleur n'etait pas la même au premier et au deuxieme accouchement. Pour mon fils j'ai commencé par perdre les eaux en debut de travail, et même si je ne voulais pas la peridurale l'origine, au bout d'un moment je n'en pouvait plus c'etait tres douloureux et long, j'ai fini par la demander. Pour ma fille, le travail a éte cool, rapide, pas douloureux du tout, sauf la derniere heure, la poche des eaux a rompue sur la premiere poussée, j'ai pu la sortir sans peri du coup, je ne ressentais pas le besoin de la demander
Ce qui a aidé pour ma deuxieme c'etait les exercices de yoga prenatal que j'avais fait avec ma SF en preparation à la naissance et la respiration que m'avait conseiller une autre SF : souffler comme on souffle dans une paille.
sinon, je dirais ne pas se fixer sur avec ou sans, il faut se laisser une porte ouverte pour changer d'avis dès le départ comme ça on est pas " deçue" de ne pas avoir fait comme on voulait. chaque accouchement est different, c'est cliché, je sais. Mais de mon experience, la douleur n'etait pas la même au premier et au deuxieme accouchement. Pour mon fils j'ai commencé par perdre les eaux en debut de travail, et même si je ne voulais pas la peridurale l'origine, au bout d'un moment je n'en pouvait plus c'etait tres douloureux et long, j'ai fini par la demander. Pour ma fille, le travail a éte cool, rapide, pas douloureux du tout, sauf la derniere heure, la poche des eaux a rompue sur la premiere poussée, j'ai pu la sortir sans peri du coup, je ne ressentais pas le besoin de la demander

- Lemon
- Bébétincelle
J'ai posté ce qui m'avait aidé pour mon accouchement physio sur le topic "Ressources grossesse et accouchement", je le remets ici si ça peut aider

Lemon a écrit : ↑01 juin 2023, 11:32 Hello !
Ayant accouché, je viens partager les autres ressources qui m'ont été utiles :
- Livre "J'accouche bientôt, que faire de la douleur ?" de Maïtie Trélaün. C'est vraiment grâce à lui que j'ai réussi à bien vivre mon accouchement sans péri. Je pensais qu'il allait être un peu trop spérituel pour moi mais pas du tout il est plus axé physio et socio. J'ai aussi beaucoup aimé les témoignages.
résumé
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- Livre "Accoucher sans stress avec la méthode Bonapace" : un peu redondant avec le livre précédent (que j'ai préféré) sur la partie explication de la douleur. Je l'ai eu assez tard dans la grossesse donc je n'ai pas fait toute la partie préparation, mais le jour J j'ai utilisé les points d'acupression.
résumé
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- Groupe Facebook "Accoucher sans péridurale, c'est possible !" : Lire tous ces beaux témoignages permets de mieux comprendre les différentes phases de l'accouchement et d'envisager les différents chemins que peuvent prendre un accouchement. Mon conjoint en a lu pas mal, je pense que ça l'a aidé pour mieux m'accompagner le jour J et à trouver sa place.
Et côté matériel :
- Coussin d'allaitement : Top pour soulager le dos ou trouver des positions pour dormir pendant la grossesse, je regrette de ne pas l'avoir acheté plus tôt et d'avoir attendu le 6ème mois !
- Ballon de grossesse : Un indispensable pendant la grossesse pour soulager les maux de dos, apporter du mouvement dans le bassin... et pendant l'accouchement pour gérer les contractions (demandez si la maternité en fournis ou prenez le votre) !
- Sifflet Winner Flow : je l'ai acheté peu avant l'accouchement donc je ne l'ai pas utilisé en préparation à l'accouchement comme recommandé... et au final je ne l'ai pas non plus sorti le jour J haha. Je ne suis pas quelqu'un de très douée avec les exercices de respiration, gestion du souffle donc savoir que j'avais cet outil dans le sac a suffit à me rassurer, mais au final j'ai géré sans. Mais je reste tout de même persuadée qu'un apprentissage de cet outil avec quelqu'un de formé peut être super utile pour la gestion des contractions et des poussées.
Edit : j'avais oublié le plus important : Les peignes à serrer dans ses mains pour que le cerveau se focalise sur une autre douleur !! C'est le truc qui personnellement m'a le plus servis !
Mama de Yuzu (04/23) et de Lime (DPA 30/09/25)
Vinted
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@Jacqueline je rejoins @Arethusa sur le fait de ne pas se fixer d'objectif, il faut faire avec ce qui nous arrive. La position du bébé et notre état physique le jour j peuvent influencer beaucoup l'intensité et la perception de la douleur, alors je conseillerais plutôt d'avoir en tête d'aller le plus loin possible sans plutôt que de faire forcement sans.
J'ai accouché deux fois sans péridurale. La première fois, je n'avais pas comme objectif de faire sans et finalement j'en ai pas eu besoin.
La deuxième du coup j'étais vraiment dans l'objectif de faire sans (même si je m'interdisait pas non plus de la prendre) et finalement j'ai eu bien plus mal que la première ! J'arrivais déjà très fatiguée et bébé était apparemment mal placé au début et semble avoir pivoté à la dernière minute. J'étais à deux doigts de craquer sur la fin et puis en fait il est sorti rapidement, mais clairement je n'aurai pas pu supporter ce niveau de douleur là pendant trop longtemps.
Mes récits sont sur le topic si ça t'intéresse.
Je n'aurai pas d'autres enfants, mais si c'était à refaire je partirais sur un accouchement en plateau technique avec suivi globale.
Clairement ce qui m'a manqué sur mon deuxième accouchement était un meilleure présence de la sage femme qui était débordée et ne s'est pas rendue compte de l'accélération du travail. On croyait que j'étais encore à 6 et j'ai carrément perdu pied, alors que si on avait su lire les signaux (avec le recul je peux dire qu'ils étaient bien là) et que j'avais compris que c'était la phase finale j'aurai probablement géré beaucoup mieux.
Dans les choses qui m'ont aidé, je dirais le yoga prénatal et la lecture de tous les récits sur le forum.
Ma sage femme m'avait donné quelques positions à faire avec chéri pendant le travail pour le deuxième accouchement qui ont aidé aussi (notamment le fait d'appuyer sur le bas du dos avec une bouillotte).
J'ai accouché deux fois sans péridurale. La première fois, je n'avais pas comme objectif de faire sans et finalement j'en ai pas eu besoin.
La deuxième du coup j'étais vraiment dans l'objectif de faire sans (même si je m'interdisait pas non plus de la prendre) et finalement j'ai eu bien plus mal que la première ! J'arrivais déjà très fatiguée et bébé était apparemment mal placé au début et semble avoir pivoté à la dernière minute. J'étais à deux doigts de craquer sur la fin et puis en fait il est sorti rapidement, mais clairement je n'aurai pas pu supporter ce niveau de douleur là pendant trop longtemps.
Mes récits sont sur le topic si ça t'intéresse.
Je n'aurai pas d'autres enfants, mais si c'était à refaire je partirais sur un accouchement en plateau technique avec suivi globale.
Clairement ce qui m'a manqué sur mon deuxième accouchement était un meilleure présence de la sage femme qui était débordée et ne s'est pas rendue compte de l'accélération du travail. On croyait que j'étais encore à 6 et j'ai carrément perdu pied, alors que si on avait su lire les signaux (avec le recul je peux dire qu'ils étaient bien là) et que j'avais compris que c'était la phase finale j'aurai probablement géré beaucoup mieux.
Dans les choses qui m'ont aidé, je dirais le yoga prénatal et la lecture de tous les récits sur le forum.
Ma sage femme m'avait donné quelques positions à faire avec chéri pendant le travail pour le deuxième accouchement qui ont aidé aussi (notamment le fait d'appuyer sur le bas du dos avec une bouillotte).
3 accouchements sans péri ici !
Par contre, contrairement à @Lau , autant je suis d'accord sur le fait que c'est bien de se préparer à différents scénarios (qu'on veuille la péri ou pas, d'ailleurs, parce qu'un accouchement c'est jamais totalement prévisible), mais perso, je sais pas si j'aurais accouché sans péri pour Éléphanteau si j'étais partie sur "faire le maximum sans".
Perso, le fait d'avoir pour projet de faire sans (j'étais en maison de naissance, donc c'était possible de la prendre mais c'était un transfert à la mat), ben j'ai pas du tout considéré ça comme une option pendant l'accouchement. Je peux pas refaire l'histoire mais je pense que si je m'étais dit "je fais le maximum sans", elle aurait été une option dans un coin de ma tête et j'aurais pu dire "allez je la prends mer** j'en ai marre" (bon, peut-être que j'aurais dit ça à complète et qu'on m'aurait répondu "lol nope tu vas pousser là plutôt", mais on le saura jamais de toutes façons
)
Pour un accouchement sans péri, j'aurais tendance à conseiller d'avoir beaucoup d'outils dans sa boîte à outils et de voir le jour J qu'est-ce qui marche/nous parle (d'ailleurs @Birdie l'hypnose ça me parlait bof moi aussi pour l'accouchement, je sais que quand ça parle ça peut être top mais moi c'était pas mon truc !)
Perso les différents outils que j'ai utilisé
-Bon, c'est pas vraiment un outil mais j'ai accouché en maison de naissance et ça aide ! Parce que tu es dans un cadre rassurant, dans une salle avec plein de trucs (baignoire, lianes de suspension, etc.), que tu connais les gens, que tu peux régler la lumière, la chaleur, etc tout comme tu veux, etc. Les différents outils m'ont servi mais pas pour tous les accouchements (le ballon ça m'a servi à chaque fois, la baignoire que pour Éléphanteau, les lianes que pour Chouette, sinon s'appuyer contre le mur c'est une valeur sûre). Le fait de rester mobile et de pouvoir bouger comme tu veux aide beaucoup.
-Bonapace m'a servi à chaque fois
-Le chant prénatal, j'en ai fait quelques séances pour Bébé Dragon et ça m'a servi pour l'accouchement (c'est moins chanter que faire des sons)
-Je plussoie aussi le peigne, qui m'a bien aidé pour Bébé Dragon
Et sinon, je sais que je suis minoritaire dans ce cas mais je me retrouve peu dans le côté "dans sa bulle/lâcher prise". Moi c'est pas mon truc. Par exemple, les sf de la maison de naissance ont tendance à déconseiller de checker le col pour savoir la dilatation sauf besoin particulier. Bah moi j'ai demandé à un moment pour bébé dragon donc ma SF m'a examinée parce qu'on ne contredit pas une prof de maths en train d'accoucher
(on en avait parlé en préparation et je lui avais dit que moi j'aimais bien les nombres et que je trouvais ça rassurant d'avoir des nombres XD). Du coup j'ai pu envoyer des messages sur mon tel pour dire que j'étais à 7
(mais pareil, ça m'aidait plus de partager ça que de chercher à être dans ma bulle). Bref, encore une fois c'est très perso, l'important c'est surtout de faire comme soi on est à l'aise !
Par contre, contrairement à @Lau , autant je suis d'accord sur le fait que c'est bien de se préparer à différents scénarios (qu'on veuille la péri ou pas, d'ailleurs, parce qu'un accouchement c'est jamais totalement prévisible), mais perso, je sais pas si j'aurais accouché sans péri pour Éléphanteau si j'étais partie sur "faire le maximum sans".
Perso, le fait d'avoir pour projet de faire sans (j'étais en maison de naissance, donc c'était possible de la prendre mais c'était un transfert à la mat), ben j'ai pas du tout considéré ça comme une option pendant l'accouchement. Je peux pas refaire l'histoire mais je pense que si je m'étais dit "je fais le maximum sans", elle aurait été une option dans un coin de ma tête et j'aurais pu dire "allez je la prends mer** j'en ai marre" (bon, peut-être que j'aurais dit ça à complète et qu'on m'aurait répondu "lol nope tu vas pousser là plutôt", mais on le saura jamais de toutes façons

Pour un accouchement sans péri, j'aurais tendance à conseiller d'avoir beaucoup d'outils dans sa boîte à outils et de voir le jour J qu'est-ce qui marche/nous parle (d'ailleurs @Birdie l'hypnose ça me parlait bof moi aussi pour l'accouchement, je sais que quand ça parle ça peut être top mais moi c'était pas mon truc !)
Perso les différents outils que j'ai utilisé
-Bon, c'est pas vraiment un outil mais j'ai accouché en maison de naissance et ça aide ! Parce que tu es dans un cadre rassurant, dans une salle avec plein de trucs (baignoire, lianes de suspension, etc.), que tu connais les gens, que tu peux régler la lumière, la chaleur, etc tout comme tu veux, etc. Les différents outils m'ont servi mais pas pour tous les accouchements (le ballon ça m'a servi à chaque fois, la baignoire que pour Éléphanteau, les lianes que pour Chouette, sinon s'appuyer contre le mur c'est une valeur sûre). Le fait de rester mobile et de pouvoir bouger comme tu veux aide beaucoup.
-Bonapace m'a servi à chaque fois
-Le chant prénatal, j'en ai fait quelques séances pour Bébé Dragon et ça m'a servi pour l'accouchement (c'est moins chanter que faire des sons)
-Je plussoie aussi le peigne, qui m'a bien aidé pour Bébé Dragon
Et sinon, je sais que je suis minoritaire dans ce cas mais je me retrouve peu dans le côté "dans sa bulle/lâcher prise". Moi c'est pas mon truc. Par exemple, les sf de la maison de naissance ont tendance à déconseiller de checker le col pour savoir la dilatation sauf besoin particulier. Bah moi j'ai demandé à un moment pour bébé dragon donc ma SF m'a examinée parce qu'on ne contredit pas une prof de maths en train d'accoucher

