Bonjour !
Je crée ce topic même si je ne suis absolument pas concernée (je suis une maman travaillant à temps plein actuellement). En effet, je souhaiterais dans l'idéal arrêter de travailler pour rester à la maison avec ma fille et mon potentiel futur enfant très hypothétique. En fait, je ne veux plus être salariée et ce, depuis longtemps, et je fais en sorte de pouvoir réaliser ce rêve dans un futur pas trop lointain je l'espère. L'une des raisons est notamment le fait que je trouve que le travail me fatigue trop et me prend trop de temps et d'énergie que je pourrais consacrer à ce qui compte vraiment pour moi, aka ma progéniture entre autres.
Je souhaiterais ici avoir des retours des parents au foyer. Quel est votre quotidien ? Qu'aimez-vous dans le fait d'être au foyer ? Qu'est-ce qui vous pèse, ou vous manque, au contraire ? Qu'est-ce qui a poussé ce choix ? Le regrettez-vous ? Combien de temps comptez-vous rester dans cette situation ?
Si vous souhaitez également que ce topic devienne un peu le ECM des parents au foyer, pas de souci !
Parent.e.s au foyer
- Iscambe
- Localisation : Toulouse
- Pronoms : Elle
Codes parrainages pour : La Fourche (nourriture bio à prix coûtant), Banques (Boursorama : MOCO9509, Revolut), Cashback (Igraal). MP pour infos
Je vends sur Vinted aussi (livres, vêtements enfants et femme, papeterie...).

Bonne idée de topic !
Mais je ne sais pas si nous sommes nombreuses à être concernées sur le terrier
Je suis mère au foyer depuis la naissance de mon aînée (6 ans et demi) et ma cadette a 2 ans et demi.
Je fais du 100 % jusqu'à leurs deux ans, ensuite, je les fais garder deux jours/semaine (8h30-15h30 +-) histoire qu'on s'habitue l'une et l'autre au changement avant l'entrée à l'école a 2 ans et demi (dans un mois pour ma petite
)
Côté quotidien..
Les jours d'école : mon mari & moi les conduisons à l'école à 8h30 (je pourrais rester à la maison mais j'aime beaucoup ce moment) et ensuite, une fois à la maison, je consacre la matinée à toutes les tâches liées à la maison (ménage, lessive, petites courses, administratif, etc)
Le temps de midi, c'est du temps pour moi : je prends 1h30 pour manger, me poser, lire, regarder une série, ..
L'après-midi, je couds, ou j'écris, où j'avance sur le projet du moment (là, je suis pas mal occupée par le projet "nouvelle maison", dont on aura les clés dans un mois) et à 15 heures, je démarre en vélo pour récupérer les filles à l'école.
Une journée par semaine, je suis un cours de couture de 8h30 à 15h30.
Régulièrement, je fais un truc avec une copine sur le temps scolaire, mais de + en + on prévoit des choses avec les enfants, ils grandissent, se connaissent un peu tous.. c'est un bon moment pour tout le monde, et ça occupe agréablement la fin d'après midi.
Les jours tranquilles, on rentre, on prend le goûter, puis c'est devoirs pour la grande et lecture pour la petite. Ensuite, souvent on se balade, ou elles jouent avec les voisines, ou s’occupent à la maison. Parfois on bricole ensemble, on dessine,..
Vers 18h, les jours normaux, mon mari rentrer et on fait la suite ensemble : préparation du souper, souper vers 19h, bain vers 19h45, chacun en met une au lit, et coucher vers 20h30. Puis, soirée en amoureux.
Bon, y a des variations mais ça, c'est le rythme scolaire on va dire.
Pendant les vacances, on prend le temps de vivre : on se lève vers 9h, on lit beaucoup, on bricole etc, et l'après midi est consacrée aux sorties.
Ce que j'aime : A peu près tout. Je suis bien dans ma vie. Je suis maître de mon temps, je n'ai de compte à rendre à personne et je ne dois jamais enlever la priorité aux filles. Je les vois grandir au quotidien, je rate peu de moments clé.
Ce qui me pèse : Parfois les conversations pause café me manquent (et pourtant, ça me lassait tellement), ou le fait de n'avoir pas de 'raison' pour faire attention à moi (je le fais toujours, parce que j'apprécie ça, mais ça me manque de ne montrer parfois mes jolies robes qu'à mon mari alors que je me casse le cul à bien me fringuer le matin ^^)
Il y a parfois un peu d'ennui aussi. Quand mon mari est de garde 24h, je trouve les fin de journées et soirées longuettes, mais ça tient autant au rôle de parent qu'au fait qu'on est fort fusionnels avec mon mari et que du coup, je ne me suis jamais habituée aux soirées solo (de + en + je passe les dites soirées avec une ou l'autre amie à la maison après le coucher, ça aide aussi !)
Comment c'est venu ? Ca s'est imposé, à la naissance de la grande je n'ai pas pu envisager la laisser. C'était physique, je n'aurais pas pu.
Je pense rester dans cette configuration le temps que ça m’épanouira et idéalement, jusqu'à ce qu'elles soient assez autonomes pour que j'estime mon absence (le matin, jusqu'à 18h,..) sans effets sur elles en gros (selon mes critères personnels, c'est pas du tout une vérité générale, j'ai juste du mal à les lâcher de façons générale)
Par contre, j'envisage de remplir mes journées avec des projets plus personnels. Je veux reprendre l'écriture pour de bon. Et je réfléchis a une activité qui me prendrait quelques heures de plus par semaine, et qui me donnerait l'impression de "réaliser" quelque chose.
Mais je ne sais pas si nous sommes nombreuses à être concernées sur le terrier

Je suis mère au foyer depuis la naissance de mon aînée (6 ans et demi) et ma cadette a 2 ans et demi.
Je fais du 100 % jusqu'à leurs deux ans, ensuite, je les fais garder deux jours/semaine (8h30-15h30 +-) histoire qu'on s'habitue l'une et l'autre au changement avant l'entrée à l'école a 2 ans et demi (dans un mois pour ma petite

Côté quotidien..
Les jours d'école : mon mari & moi les conduisons à l'école à 8h30 (je pourrais rester à la maison mais j'aime beaucoup ce moment) et ensuite, une fois à la maison, je consacre la matinée à toutes les tâches liées à la maison (ménage, lessive, petites courses, administratif, etc)
Le temps de midi, c'est du temps pour moi : je prends 1h30 pour manger, me poser, lire, regarder une série, ..
L'après-midi, je couds, ou j'écris, où j'avance sur le projet du moment (là, je suis pas mal occupée par le projet "nouvelle maison", dont on aura les clés dans un mois) et à 15 heures, je démarre en vélo pour récupérer les filles à l'école.
Une journée par semaine, je suis un cours de couture de 8h30 à 15h30.
Régulièrement, je fais un truc avec une copine sur le temps scolaire, mais de + en + on prévoit des choses avec les enfants, ils grandissent, se connaissent un peu tous.. c'est un bon moment pour tout le monde, et ça occupe agréablement la fin d'après midi.
Les jours tranquilles, on rentre, on prend le goûter, puis c'est devoirs pour la grande et lecture pour la petite. Ensuite, souvent on se balade, ou elles jouent avec les voisines, ou s’occupent à la maison. Parfois on bricole ensemble, on dessine,..
Vers 18h, les jours normaux, mon mari rentrer et on fait la suite ensemble : préparation du souper, souper vers 19h, bain vers 19h45, chacun en met une au lit, et coucher vers 20h30. Puis, soirée en amoureux.
Bon, y a des variations mais ça, c'est le rythme scolaire on va dire.
Pendant les vacances, on prend le temps de vivre : on se lève vers 9h, on lit beaucoup, on bricole etc, et l'après midi est consacrée aux sorties.
Ce que j'aime : A peu près tout. Je suis bien dans ma vie. Je suis maître de mon temps, je n'ai de compte à rendre à personne et je ne dois jamais enlever la priorité aux filles. Je les vois grandir au quotidien, je rate peu de moments clé.
Ce qui me pèse : Parfois les conversations pause café me manquent (et pourtant, ça me lassait tellement), ou le fait de n'avoir pas de 'raison' pour faire attention à moi (je le fais toujours, parce que j'apprécie ça, mais ça me manque de ne montrer parfois mes jolies robes qu'à mon mari alors que je me casse le cul à bien me fringuer le matin ^^)
Il y a parfois un peu d'ennui aussi. Quand mon mari est de garde 24h, je trouve les fin de journées et soirées longuettes, mais ça tient autant au rôle de parent qu'au fait qu'on est fort fusionnels avec mon mari et que du coup, je ne me suis jamais habituée aux soirées solo (de + en + je passe les dites soirées avec une ou l'autre amie à la maison après le coucher, ça aide aussi !)
Comment c'est venu ? Ca s'est imposé, à la naissance de la grande je n'ai pas pu envisager la laisser. C'était physique, je n'aurais pas pu.
Je pense rester dans cette configuration le temps que ça m’épanouira et idéalement, jusqu'à ce qu'elles soient assez autonomes pour que j'estime mon absence (le matin, jusqu'à 18h,..) sans effets sur elles en gros (selon mes critères personnels, c'est pas du tout une vérité générale, j'ai juste du mal à les lâcher de façons générale)
Par contre, j'envisage de remplir mes journées avec des projets plus personnels. Je veux reprendre l'écriture pour de bon. Et je réfléchis a une activité qui me prendrait quelques heures de plus par semaine, et qui me donnerait l'impression de "réaliser" quelque chose.
- MamzelleOups
- Localisation : Au pays des korrigans et de l'Ankou...
@Iscambe merci pour la création de ce topic, je n'osais pas me lancer pour le créer! (Re)devenir maman au foyer est ma grosse question du moment.
Ma situation
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mes craintes
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mon organisation
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- MamzelleOups
- Localisation : Au pays des korrigans et de l'Ankou...
@Weena88 Bien sûr que ça compte ! D'ailleurs d'en avoir parlé avec toi m'a aidé à envisager l'idée plus sereinement
Je me suis fait la réflexion que si j'avais envie de rester au foyer, c'est en partie parce qu'actuellement j'ai pas de prise sur ma vie pro. Choisir de rester volontairement au foyer me permet de garder le contrôle sur ma vie. Transformer quelque chose de subi en quelque chose de choisi!

Je me suis fait la réflexion que si j'avais envie de rester au foyer, c'est en partie parce qu'actuellement j'ai pas de prise sur ma vie pro. Choisir de rester volontairement au foyer me permet de garder le contrôle sur ma vie. Transformer quelque chose de subi en quelque chose de choisi!
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@MamzelleOups : Dans mon entourage, à part une personne qui est vraiment lourde avec ça, on me fiche une paix royale quant à mon choix d'être femme au foyer.
Pourtant, je suis entourée de personnes plutôt carriéristes ou ayant un emploi fort prenant (professions médicales..) mais on ne me le fait pas sentir. Peut-être qu'on n'en pense pas moins, mais tant que je ne le ressens pas, et qu'on ne me fait pas de remarques, ça me va. Ca prend du temps de se détacher du regard du monde extérieur, et de ses propres préjugés.
J'avais peur de ça aussi, au début. D'ailleurs, j'ai longtemps répondu que je cherchais un emploi, que j'étais assistante sociale.. avant de réaliser que non, ça ne me correspondait pas, et que je pouvais assumer un choix de vie qui me rendait heureuse.
Comme mon mari est parfaitement en accord avec ce choix, je me sens soutenue, et ça a dissipé les derniers doutes. Je n'aurais pas non plus pu faire ce choix si mon mari avait été un homme des cavernes. Je suis mère au foyer, mais je ne suis pas taillable et corvéable à merci. Dès qu'il passe la porte, on reprend un partage le plus équitable possible (c'est une grosse feignasse donc je dois parfois le secouer, mais c'est plus lié à son caractère qu'à un quelconque sexisme, que je n'aurais pas supporté)
Pour la vie sociale, c'est vrai que ça demande quelques efforts. Je me suis bien intégrée dans le quartier, j'y ai des amis et pas mal de connaissances. J'ai pris sur moi pour entrer en contact avec des parents de la classe de ma fille, et ça a créé des liens (genre, je donne 2h de cours de français par semaine à une des mamans, par exemple et on apprend à se connaître). Pour moi, ça compte, donc j'ai vraiment essayé de cultiver ça.
Ce que j'assume parfois plus difficilement, c'est le fait d'avoir la vie si facile. Je me sens (et je suis) extrêmement privilégiée, dans le sens où j'ai toute latitude pour choisir ce que j'ai envie de faire, sachant que le salaire de mon mari nous suffit. Je n'ai donc pas cette pression-là. Je suis mère au foyer, mais je peux mettre ma cadette deux jours semaine au pré-gardiennant, prendre des cours, ça aussi, c'est très confortable, et je sais que pas mal de personnes ne pourraient pas se le permettre. En fait, certains matins, je me demande ce que j'ai pu faire pour mériter d'avoir la vie si facile ^^ Et mon syndrome de l'imposteur reprend le dessus, je me dis que c'est de la triche, que je ne trime pas assez, que si c'est si chouette/facile, c'est tout sauf grâce à moi, que je devrais me rendre utile à la société et bla bla..
On ne déconstruit pas si facilement une idéologie basée sur la valeur travail.
Pourtant, je suis entourée de personnes plutôt carriéristes ou ayant un emploi fort prenant (professions médicales..) mais on ne me le fait pas sentir. Peut-être qu'on n'en pense pas moins, mais tant que je ne le ressens pas, et qu'on ne me fait pas de remarques, ça me va. Ca prend du temps de se détacher du regard du monde extérieur, et de ses propres préjugés.
J'avais peur de ça aussi, au début. D'ailleurs, j'ai longtemps répondu que je cherchais un emploi, que j'étais assistante sociale.. avant de réaliser que non, ça ne me correspondait pas, et que je pouvais assumer un choix de vie qui me rendait heureuse.
Comme mon mari est parfaitement en accord avec ce choix, je me sens soutenue, et ça a dissipé les derniers doutes. Je n'aurais pas non plus pu faire ce choix si mon mari avait été un homme des cavernes. Je suis mère au foyer, mais je ne suis pas taillable et corvéable à merci. Dès qu'il passe la porte, on reprend un partage le plus équitable possible (c'est une grosse feignasse donc je dois parfois le secouer, mais c'est plus lié à son caractère qu'à un quelconque sexisme, que je n'aurais pas supporté)
Pour la vie sociale, c'est vrai que ça demande quelques efforts. Je me suis bien intégrée dans le quartier, j'y ai des amis et pas mal de connaissances. J'ai pris sur moi pour entrer en contact avec des parents de la classe de ma fille, et ça a créé des liens (genre, je donne 2h de cours de français par semaine à une des mamans, par exemple et on apprend à se connaître). Pour moi, ça compte, donc j'ai vraiment essayé de cultiver ça.
Ce que j'assume parfois plus difficilement, c'est le fait d'avoir la vie si facile. Je me sens (et je suis) extrêmement privilégiée, dans le sens où j'ai toute latitude pour choisir ce que j'ai envie de faire, sachant que le salaire de mon mari nous suffit. Je n'ai donc pas cette pression-là. Je suis mère au foyer, mais je peux mettre ma cadette deux jours semaine au pré-gardiennant, prendre des cours, ça aussi, c'est très confortable, et je sais que pas mal de personnes ne pourraient pas se le permettre. En fait, certains matins, je me demande ce que j'ai pu faire pour mériter d'avoir la vie si facile ^^ Et mon syndrome de l'imposteur reprend le dessus, je me dis que c'est de la triche, que je ne trime pas assez, que si c'est si chouette/facile, c'est tout sauf grâce à moi, que je devrais me rendre utile à la société et bla bla..
On ne déconstruit pas si facilement une idéologie basée sur la valeur travail.
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Je peux participer ?
@Arethusa : Je te mentionne toi car il semble que tes enfants ne sont pas gardés à l'extérieur du tout (nounou/crèche). As-tu du relai de temps en temps, des moments seule ?
C'est un peu ce qui me stresse avec le changement qui arrive, je serai non stop avec mes/des enfants et je me demande si/comment je vais réussir à prendre du temps pour moi/du temps seule


Tu me fais un peu rêver avec les enfants couchés vers 20h et levés vers 8h. Ici le coucher est souvent compliqué pour le grand donc on est rarement sereins avant 21h30, heure à laquelle je n'ai plus le courage de rien ... (Bon là j'ai un nouveau bébé de 3/4 semaines donc les soirées ce n'est pas pour tout de suite de toute façon mais j'espère qu'il aura un meilleur sommeil que 'e grand et plus tôt

Je vous lis mais j'ose pas poster car bien qu'au foyer depuis un an et demi j'ai l'impression de n'avoir absolument aucune organisation. Mais je me suis reconnue dans ton post @Lalie sur le choix de poursuivre la garde (pas l'organisation par contre comme je disais
). Et puis mes enfants ont 3 et 5 ans donc ils sont à l'école 4 jours par semaine, la configuration est donc un peu différente.
Par contre @Filoute ici Pinochette ne fait plus la sieste depuis cette année, et on a initié le temps calme en début d'après-midi. Officiellement c'est pour que son frère puisse faire la sieste en paix, officieusement c'est complètement pour acheter une à deux heures de paix et de temps "adult-only" (et pas au sens interdit aux moins de 18 ans), je ne peux pas survivre au mercredi si je n'ai pas la pause de mi-journée...

Par contre @Filoute ici Pinochette ne fait plus la sieste depuis cette année, et on a initié le temps calme en début d'après-midi. Officiellement c'est pour que son frère puisse faire la sieste en paix, officieusement c'est complètement pour acheter une à deux heures de paix et de temps "adult-only" (et pas au sens interdit aux moins de 18 ans), je ne peux pas survivre au mercredi si je n'ai pas la pause de mi-journée...
Je fus un petit gâteau.
En parlant de siestes (que la grande a arrête de faire.. à la naissance de la petite, super timing
) pour maintenir un moment off sur la journée, quand je mets la petite à la sieste, la grande a droit à un dessin animé pendant 1h +-.
Et moi je fais ma vie ou je me pose avec elle selon l'envie du jour. Cette pause est salutaire ^^

Et moi je fais ma vie ou je me pose avec elle selon l'envie du jour. Cette pause est salutaire ^^
- MamzelleOups
- Localisation : Au pays des korrigans et de l'Ankou...
Bon lundi on va annoncer à la nounou qu'on arrêtera le contrat fin décembre. Même si effectivement c'est agréable d'avoir du temps pour soi, financièrement ça représente quand même beaucoup pour un seul salaire. Par contre, grosse question, c'est est-ce que je garde Labousig quelques mois ou est-ce qu'on enchaîne direct sur l'école le matin. Je stresse d'annoncer ça à la nounou, je n'aime pas avoir le rôle de l'employeur qui licencie. Mon mari a moins d'états d'âme, il me rappelle qu'elle devrait déjà être à la retraite.
J'espère que je ne trouverai pas un emploi juste après avoir arrêté le contrat avec la nounou ! Mais bon, clairement, j'aspire surtout à voir ma fille et les suivants grandir, sans leur imposer un rythme d'adulte.
J'espère que je ne trouverai pas un emploi juste après avoir arrêté le contrat avec la nounou ! Mais bon, clairement, j'aspire surtout à voir ma fille et les suivants grandir, sans leur imposer un rythme d'adulte.
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@MamzelleOups : ce que tu mentionnés, éviter le rythme d'adulte aux enfants c'est aussi un point auquel je tenais ! Et je trouve que c'est une super opportunité pour eux : ils sont plus reposés, se réveillent naturellement.
Là par exemple, ma grande s'est levée à 9h, on a bricolé une heure avant de lever la petite et ça fait une heure qu'on lit toutes les trois
Je viens seulement de les envoyer s'occuper pour que je m'active un peu dans la maison. Et clairement toutes ces matinées cools font partie de mes meilleurs souvenirs.
Là par exemple, ma grande s'est levée à 9h, on a bricolé une heure avant de lever la petite et ça fait une heure qu'on lit toutes les trois

Je viens seulement de les envoyer s'occuper pour que je m'active un peu dans la maison. Et clairement toutes ces matinées cools font partie de mes meilleurs souvenirs.

- MamzelleOups
- Localisation : Au pays des korrigans et de l'Ankou...
@Bree_ J'ai encore les larmes aux yeux quand je pense à ma reprise aux 3 mois de ma fille : 1re déposée et dernière récupérée chez la nounou, c'était atroce pour moi! Super programme avec tes enfants pour une chouette matinée!
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- Iscambe
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- MamzelleOups
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@Iscambe
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- MamzelleOups
- Localisation : Au pays des korrigans et de l'Ankou...
@Weena88 Ici, ils m'ont demandé le remboursement d'un trop perçu de congé parental de juillet 2020, déjà remboursé l'an dernier
D'ailleurs, savez-vous si les mères au foyer peuvent prétendre à certaines aides, hors congé parental ?

D'ailleurs, savez-vous si les mères au foyer peuvent prétendre à certaines aides, hors congé parental ?
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- MamzelleOups
- Localisation : Au pays des korrigans et de l'Ankou...
@Weena88 Oui exactement ! Avec un seul salaire, je me demande si on bénéficie des apl propriétaire par exemple.
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- MamzelleOups
- Localisation : Au pays des korrigans et de l'Ankou...
@Weena88 C'est parce qu'en congé parental tu es censé t'occuper de ton enfant, tandis qu'au chômage, tu es censé chercher du boulot et que c'est difficile avec un enfant.
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J'espère que je ne réponds pas à côté de la plaque mais pour les APL et le RSA c'est calculé sur les revenus conjugaux, donc bien que je trouve ça très discutable niveau autonomie, ça dépend entièrement de ce que gagne votre conjoint... A savoir que pour la CAF, vie en couple (même sans PACS ou mariage) = traitement conjoint des aides.
- MamzelleOups
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Bonjour ! Ça y est, congé parental terminé
Je vais rester un temps parent au foyer dans les faits (le temps de trouver un travail ou une formation), mais la fin de ce congé me fait bizarre, j'ai l'impression qu'une part de ma vie se termine.
Y a-t-il des belettes qui ont dû valoriser un congé parental dans leurs CV? Si oui, auriez-vous des conseils? Je sais bien que ce "trou" de 3 ans dans mon CV n'en est pas vraiment un pour moi, mais pas sûre que les employeurs voient ça du même oeil
Merci !

Y a-t-il des belettes qui ont dû valoriser un congé parental dans leurs CV? Si oui, auriez-vous des conseils? Je sais bien que ce "trou" de 3 ans dans mon CV n'en est pas vraiment un pour moi, mais pas sûre que les employeurs voient ça du même oeil

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