@Kettricken Le but n’était bien sûr pas qu’il fasse une thèse mais c’était pour souligner la richesse qu’il pouvait y avoir dans le sujet. (Qui pourrait à première vue, n’être qu’un banal jeu vidéo

moche qui plus est)
Les mots choisis par FeuFollet sont maladroits (mais il a 10 ans) mais ses idées pas mauvaises. Au lieu de “Biomes” si je voulais donner un petit côté savant j’intitulerais ce chapitre “une génération procédurale” en expliquant qu’on peut générer une quasi infinité de monde de jeux, mais qu’il sont basés sur une donnée d’entrée “la graine” ou “seed”. C’est elle qui permet de générer toutes les données de l’instance de de jeu y compris les différents “biomes”.
Plutôt que d'intituler la page minerai/équipement je parlerais des combinaisons de plus en plus compliquées qui doivent être réalisées par le joueur pour progresser (dans le mode survie). “Une progression spiralaire // un circuit de récompense logarithmique” pourrait être un bon titre.
Je trouve cool qui parle de la redstone, c’est un aspect facultatif qui est un jeu dans le jeu, voir même un environnement de développement à l’intérieur même du jeu permettant de créer ses propres jeux dans le jeu (mais il faut être motivé, pour l’initiation Scratch est bien plus simple). Titre : “un environnement graphique de programmation en logique booléenne porté par une machine virtuelle java”
Si la progression spiralaire est un classique, les deux autres sujets sont des particularités saillantes de Minecraft.
@kaliémis synthétise et encapsule bien mieux le sujet, mais elle est à peine plus expérimentée.

Elle cite aussi le mode construction, c’est pour moi le gros manque dans le plan de Feu Follet. (Ça se voit qu’il préfère le mode survie)
J’insérerais ensuite brièvement ses idées initiales retravaillées dans le point 2 du plan de kaliemis qui correspond quand même bien plus aux attentes pour un enfant de 10 ans.
Son erreur c’est qu’il parle du sujet comme s’il devait rédiger un manuel utilisateur/expliquer ce qu'il y fait lui, alors qu’il doit présenter la globalité.