@Meeteetse Je compatis... On avait connu des longs réveils nocturnes pendant quelques semaines, de mémoire autour de ses 1 an. Comme d'hab, on n'a rien fiat de special pour y mettre fin, c'est venu tout seul. Bon, on faisait rien pour encourager les réveils non plus hein, on restait dans la pénombre, bébé dans les bras, assis sur le lit ou sur le ballon a rebondir (ballon dedie aux réveils nocturnes donc, puisque l'immense majorité du temps elle s'endort dans son lit, et dont on s'est débarrassé plutôt vers ses 14-15 mois... Ça aura duré longtemps ces conneries

)
Et a tou.te.s les autres dans la galère des réveils nocturnes, courage!
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Bobbie approche des 18 mois, comme je dis dans mon spoiler on est toujours sur minimum un réveil nocturne, souvent 2. La semaine dernière on a fait face à une poussée dentaire (selles liquides, joie dans mon coeur) et le Doliprane a été pas mal dégainé. Depuis hier de ce côté ça va mieux, mais... Je crois qu'on découvre la régression du sommeil des 18 mois
On est sur un bébé déjà très très très "mamaaan" en temps normal, ce que les vacances avaient un peu atténué. Mais là, je ne peux plus rien faire sans l'avoir dans les pattes (je manque de lui marcher dessus ou de me casser la figure 122 fois par jour, sans parler du fait qu'a un moment je vais me retrouver le pantalon sur les chevilles tant elle tire dessus). Sur les genoux. Dans les braaas. Et bisouuuus. Caliiiins (et j'aime ça hein, je lui en fais toujours avec plaisir, on peut pas dire que son réservoir affectif est vide). Et morsures/griffures régulièrement pour me tester, limites posées, maman fâchée, hurlements de désespoir, câlins de réconciliation, bis repetitam ad vitam eternam. Bref, une belle angoisse de séparation qui fait que ça fait 3 soirs que les couchers sont atroces, autant avec moi qu'avec son père mais bien bien pires avec moi (on fait un soir sur deux, tout comme les réveils nocturnes et les levers). Et hier, ça faisait longtemps, une après midi sans siestes. Hurlements, lutte contre le sommeil... Alors des fois on la laisse un peu chouiner, mais là on n'est plus sur de la chouine, on partait cash sur du hurlement de désespoir. On a fini par abandonner après 3 essais de mise à la sieste longs et bruyants qui nous ont donné le sentiment d'être des bourreaux d'enfants.
Pour avoir connu une régression du sommeil des 4 mois (a ses 5 mois) qui a duré plus de 6 mois, j'ose espérer que celle-ci sera plus courte
