
Un truc qui m'a bien plu, par contre, c'est le rappel au bon sens.
Quand j'ai lâché prise, que je me suis simplement fiée à mon instinct, celui de mon mari, et à ce que ma fille me renvoyait.. pour agir, ben, je me suis sentie libérée d'un énorme poids.
Ce que je reproche à l'éducation positive, finalement, c'est la sensation qu'elle prend l'enfant pour moins futé qu'il ne l'est, et qu'elle a tendance à considérer qu'ils sont en sucre


Je crois que je n'attends pas d'études pour élever mes enfants. Et ça ne me plairait pas énormément s'il y avait une recette à suivre.
Alors, quand le débat du time in/out est arrivé, j'étais déjà beaucoup plus zen, j'avais eu un deuxième enfant, et ça m'est passé au-dessus. Quand je vois comme ça met les mères sans dessus dessous, ça m'énerve pour elles.
Je suis devenue plus terre à terre, j'ai des objectifs "de bon sens" (que mes filles soient heureuses, épanouies, en bonne santé, qu'elles aient un cadre qui les sécurise, et s'il est utile de le préciser, ,nous sommes de non violents convaincus/par essence) et je m'y tiens, sans me torturer parce que je crie (bah ouais, le lavage des dents, c'est trois fois par jour, c'est quand je l'ai décidé, et ça s'arrête quand je l'ai décidé), parce que j'envoie les filles chacune dans une pièce (quand l'ambiance tourne au vinaigre et qu'elles vont finir par en venir aux mains


Voilà pour moi..