L'ECM des Childfree
@Kat totalement d'accord. D'autant qu'on sait que des enfants frustrés h24 ne sont pas des adultes épanouis. Je sais pas ya une mesure, mais le marché de Noël c'est sensé être pour leur faire plaisir. Ça me fait fortement penser à une ex ami qui avait traîné son môme dans une fête foraine et qui ne lui a pas fait faire UN tour de manège, pas un. Il avait 4 ans, ça m'a fendu le cœur 
- Clémentiine
- Bébétincelle
Armus j'ai lu un jour sur les RS que les enfants sont une catégorie de personnes, et que si on changeait le mot ''enfants'' par ''femmes'' ou ''personnes racisées'' ou ''personnes handicapées'' la phrase ''je n'aime pas les enfants'' prend un tout autre sens. On fait ce qu'on veut de cet argument, quand je l'ai lu ça m'a paru logique, et finalement ce n'est pas forcément les enfants que les gens n'aiment pas mais plutôt le bruit, la charge mentale qu'ils génèrent (enfin, j'imagine !).
« Ils sont où les semi-croustillants ? Ils sont souus la Bretagne ! »
- Soulsight
- Localisation : A côté de sa hache
Pour le coup, je suis plutôt d'accord avec @Armus. Je ne considère pas franchement les enfants en tant que catégorie de personnes non plus, c'est pas une minorité, ce n'est pas un handicap, ce n'est rien de tout ça. C'est un état temporaire d'un être humain.
Ce sont des êtres vivants, oui. Ce sont des humains, oui. Plus fragiles que les adultes, oui. On doit les protéger, oui. On doit forcément les aimer en tant que tel, non.
La bienveillance, l'amour et le devoir envers un enfant sont des concepts différents. On a le droit de n'en cocher que 2 sur les 3.
Sur d'autres sujets, on est d'accord qu'on ne demande pas à quelqu'un d'émétophobe d'aller ramasser la galette par terre, on n’émet même pas le sujet. On ne jette pas un staff dans les bras de quelqu'un qui n'aime pas les chiens ou qui en a peur. Mais dès qu'il s'agit d'enfant, là, d'un seul coup, c'est différent. On n'a pas le droit de ne pas vouloir de contact avec eux.
Ce qui est dommage, c'est qu'en plus, quand on cède, personne ne le remarque. C'est normal. C'est un enfant. On cède parce qu'on est bienveillant et qu'on se sent un devoir pour le protéger. On cède aussi parce qu'on est fatigué de se battre contre le vent.
Et si on veut vraiment jouer sur l'empathie envers autrui, on peut aussi s'interroger sur la "minorité" à ce moment-là : l'enfant, ou le childfree ?
Ce sont des êtres vivants, oui. Ce sont des humains, oui. Plus fragiles que les adultes, oui. On doit les protéger, oui. On doit forcément les aimer en tant que tel, non.
La bienveillance, l'amour et le devoir envers un enfant sont des concepts différents. On a le droit de n'en cocher que 2 sur les 3.
Sur d'autres sujets, on est d'accord qu'on ne demande pas à quelqu'un d'émétophobe d'aller ramasser la galette par terre, on n’émet même pas le sujet. On ne jette pas un staff dans les bras de quelqu'un qui n'aime pas les chiens ou qui en a peur. Mais dès qu'il s'agit d'enfant, là, d'un seul coup, c'est différent. On n'a pas le droit de ne pas vouloir de contact avec eux.
Ce qui est dommage, c'est qu'en plus, quand on cède, personne ne le remarque. C'est normal. C'est un enfant. On cède parce qu'on est bienveillant et qu'on se sent un devoir pour le protéger. On cède aussi parce qu'on est fatigué de se battre contre le vent.
Et si on veut vraiment jouer sur l'empathie envers autrui, on peut aussi s'interroger sur la "minorité" à ce moment-là : l'enfant, ou le childfree ?
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Merci de ne pas me citer.
Mp bienvenus dans le respect et la joie !
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Je suis plutôt d'accord avec @Clémentiine , pour moi les enfants sont forcément une catégorie sociale qu'on le veuille ou non. Après, je pense qu'en effet, la plupart des gens n'aime pas la charge mentale qui implique de s'occuper d'un enfant, supporter le bruit, les pleurs etc, plutôt que les enfants eux même. Heureusement, dans nos sociétés, on n'est pas obligés de s'occuper d'enfants si on en a pas envie.
Je lis en ce moment le livre de Mona Chollet, Résister à la culpabilisation, et il y a tout un chapitre sur l'enfance que je trouve très intéressant. C'est vrai qu'on a tendance soit à idéaliser l'enfant, cet être pur et innocent ou bien à le diaboliser, à y voir l'incarnation du mal alors que les enfants sont des êtres humains, avec toutes leurs nuances, capable du meilleur comme du pire. Et c'est pour ça que les châtiments corporels ont longtemps été tolérés envers les enfants (et le sont encore). Dans l'idée de modeler l'enfant à son environnement pour qu'il apprenne la docilité à l'âge adulte. Certes, contrairement aux autres minorités, les enfants grandissent, mais les violences en leur encontre sont le prolongement de ceux qu'ils vont subir à l'âge adulte (sexisme, racisme, validisme, classisme etc.) et c'est d'autant plus violent de subir ça en tant qu'enfant quand tu n'as aucune clé pour te protéger et comprendre, et que juridiquement, ta voix ne vaut pas celle d'un adulte.
Je suis moi aussi childfree, mais je travaille avec des enfants donc je suis parfois confrontée à des situations que les parents peuvent connaître. Et je trouve ça intéressant de s'interroger sur sa propre perception qu'on a des enfants, de son rapport à l'autorité, à l'éducation etc.
Je lis en ce moment le livre de Mona Chollet, Résister à la culpabilisation, et il y a tout un chapitre sur l'enfance que je trouve très intéressant. C'est vrai qu'on a tendance soit à idéaliser l'enfant, cet être pur et innocent ou bien à le diaboliser, à y voir l'incarnation du mal alors que les enfants sont des êtres humains, avec toutes leurs nuances, capable du meilleur comme du pire. Et c'est pour ça que les châtiments corporels ont longtemps été tolérés envers les enfants (et le sont encore). Dans l'idée de modeler l'enfant à son environnement pour qu'il apprenne la docilité à l'âge adulte. Certes, contrairement aux autres minorités, les enfants grandissent, mais les violences en leur encontre sont le prolongement de ceux qu'ils vont subir à l'âge adulte (sexisme, racisme, validisme, classisme etc.) et c'est d'autant plus violent de subir ça en tant qu'enfant quand tu n'as aucune clé pour te protéger et comprendre, et que juridiquement, ta voix ne vaut pas celle d'un adulte.
Je suis moi aussi childfree, mais je travaille avec des enfants donc je suis parfois confrontée à des situations que les parents peuvent connaître. Et je trouve ça intéressant de s'interroger sur sa propre perception qu'on a des enfants, de son rapport à l'autorité, à l'éducation etc.
@Soulsight Si, quand tu cèdes et prends l'enfant, il y a toujours un.e lourdingue pour dire "ça te va bien hihi" et moi, ça me donne juste envie de le lâcher d'un coup. 

- Foliana
- Localisation : On the couch, under the blancket
Je saute dans le wagon de la conversation sur les enfants étant une catégorie sociale.
C'est, selon moi, une catégorie sociale limitée dans le temps, à moins que l'on envisage que l'on reste à vie "les enfants de". Comme le souligne Armus, le sexisme ou le racisme est basé sur quelque chose que l'on ne peut pas changer. Un enfant est un stade de la vie mais aussi une construction sociale. Certains vont exiger d'un enfant de 6 ans d'agir comme un mini-adulte et d'autres ne vont pas lever un sourcil face à un ado de 18 ans tapant du pieds comme un enfant de 6 mois. J'ai beaucoup moins de problème avec le premier cas plutôt que le second.
De nombreuses personnes childfree sont, selon moi, plutôt contre la pression sociale d'être parent. Certains ou certaines y ajoutent un vrai rejet de l'enfant, de la période de grossesse ou de toutes les responsabilités qui vont de pairs avec la parentalité. Il y a une infinité de raisons de ne pas vouloir d'enfant, mais oser le vocaliser est vécu par l'autre côté comme une violence incommensurable, alors que ce ne sont que des choix sur son propre corps/ sa propre vie.
C'est, selon moi, une catégorie sociale limitée dans le temps, à moins que l'on envisage que l'on reste à vie "les enfants de". Comme le souligne Armus, le sexisme ou le racisme est basé sur quelque chose que l'on ne peut pas changer. Un enfant est un stade de la vie mais aussi une construction sociale. Certains vont exiger d'un enfant de 6 ans d'agir comme un mini-adulte et d'autres ne vont pas lever un sourcil face à un ado de 18 ans tapant du pieds comme un enfant de 6 mois. J'ai beaucoup moins de problème avec le premier cas plutôt que le second.
De nombreuses personnes childfree sont, selon moi, plutôt contre la pression sociale d'être parent. Certains ou certaines y ajoutent un vrai rejet de l'enfant, de la période de grossesse ou de toutes les responsabilités qui vont de pairs avec la parentalité. Il y a une infinité de raisons de ne pas vouloir d'enfant, mais oser le vocaliser est vécu par l'autre côté comme une violence incommensurable, alors que ce ne sont que des choix sur son propre corps/ sa propre vie.
Ne pas citer - Merci.
Clémentiine a écrit : ↑lun. 30 déc. 21:33 Armus j'ai lu un jour sur les RS que les enfants sont une catégorie de personnes, et que si on changeait le mot ''enfants'' par ''femmes'' ou ''personnes racisées'' ou ''personnes handicapées'' la phrase ''je n'aime pas les enfants'' prend un tout autre sens. On fait ce qu'on veut de cet argument, quand je l'ai lu ça m'a paru logique, et finalement ce n'est pas forcément les enfants que les gens n'aiment pas mais plutôt le bruit, la charge mentale qu'ils génèrent (enfin, j'imagine !).
J'ai retrouvé l'article.
Par rapport à la catégorie sociale, je pense que cette citation peut permettre de comprendre ce qui est entendu... Et par rapport aux espaces No-Kid qui fleurissent.
Voilà les conséquences sur le futur de ces enfants, on va se retrouver dans une société où il sera tout à fait normal de rejeter n'importe qui sous prétexte que sa gueule ne nous revient pas pour parler vulgairement. Car c'est du mimétisme." En vivant l’exclusion en tant qu’enfant, on intègre l’idée qu’il est normal d’exclure certains groupes, comme les femmes, les personnes racisées, les personnes porteuses d’un handicap…, alertent Hélène Oehmichen et Simon Protar. Selon plusieurs travaux, plus l’expérience enfantine de la domination adulte est vive, plus les enfants apprennent à normaliser les dominations de toute sorte, y compris dans leurs expressions les plus violentes ".
Personnellement, je préfère m'en prendre aux parents qui ne savent pas éduquer leur enfant, ce sont eux les responsables.
Et je suis désolée, il y a certains parents qui méritent que l'on retire leur enfant.
Malheureusement, on se tourne de plus en plus sur une société où c'est chacun pour soi au détriment des autres. Le profit (argent) y est pour beaucoup.
Comme certains parents ne savent pas s'occuper de leur enfant, les mettent un maximum de temps sur les écrans pour ne plus les entendre, ça pose ce rejet des enfants.
Ma belle-mère travaille dans une école :
TW caca
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Il y a de plus en plus un je m'en foutisme du travail d'autrui et donc malheureusement ça se répercute sur les enfants et leur mauvaise éducation.
Il faut parler aux enfants, bébés. Prendre le temps de leur expliquer pourquoi c'est interdit.
Ce ne sont pas des objets que l'on trimballe.
Je me suis emportée, non pas contre vous, mais contre la société vers laquelle nous nous dirigeons, plus auto-centrée au point de rejeter tout le monde.
@Armus : oui c'est usant de reprendre son enfant. Mais là, je ne parlais pas d'enfants ayant de troubles psys.
Il y a la personnalité de l'enfant qui entre en jeu, je suis d'accord.
Je pense que la violence n'est pas innée, elle démontre et découle d'un mal être. Après, c'est aux adultes d'alerter, de parler avec les parents et de proposer des solutions.
Et souvent les pères sont trop démissionnaires et laissent tout à la mère, quand ils sont présents.
L'absence ou la non réaction d'un père peut faire des dégâts.
Je pense que c'est important d'avoir un relais pour souffler.
Ce n'est pas honteux de demander de l'aide, au contraire c'est une preuve de maturité.
Edit : pour ton frère, je vois un enfant de jaloux.
Dans ma fratrie, avec mon petit frère ça ne passait pas car jalousie et qu'avec lui je le poussait à bout, surtout à l'adolescence. Je faisais des grosses colères car je n'arrivais pas à m'exprimer. Ma mère était au courant de mes difficultés. Son temps était plus consacré à moi qu'à mon petit frère, et je comprends tout à fait qu'il en ait souffert.
Il y a la personnalité de l'enfant qui entre en jeu, je suis d'accord.
Je pense que la violence n'est pas innée, elle démontre et découle d'un mal être. Après, c'est aux adultes d'alerter, de parler avec les parents et de proposer des solutions.
Et souvent les pères sont trop démissionnaires et laissent tout à la mère, quand ils sont présents.
L'absence ou la non réaction d'un père peut faire des dégâts.
Je pense que c'est important d'avoir un relais pour souffler.
Ce n'est pas honteux de demander de l'aide, au contraire c'est une preuve de maturité.
Edit : pour ton frère, je vois un enfant de jaloux.
Dans ma fratrie, avec mon petit frère ça ne passait pas car jalousie et qu'avec lui je le poussait à bout, surtout à l'adolescence. Je faisais des grosses colères car je n'arrivais pas à m'exprimer. Ma mère était au courant de mes difficultés. Son temps était plus consacré à moi qu'à mon petit frère, et je comprends tout à fait qu'il en ait souffert.
Bonjour,
Je sors de mon sous marin de parent anciennement childfree pour te poser une question @Armus , qui est sûrement maladroite et ne te sens pas du tout obligé d'y répondre.
Il n'y a pas que les bébés/enfants qui n'apportent rien à la société, ou qui ne servent à rien. Certain.e.s ados, personnes adultes ou âgé.e.s aussi. Et je trouve ça hyper subjectif, qui décide de qui est utile et qui ne sert à rien ? Et est-ce qu'on est obligé de servir à quelque chose pour être apprécié ?
Mon but est pas du tout de te pousser à te justifier, j'ai bien compris que tu n'apprécies pas les enfants, et on est sur un topic childfree. J'ai simplement du mal à saisir
Après je peux comprendre qu'on se sente mal à l'aise devant un tout petit car les interactions semblent limitées, qu'ils sont fragiles et potentiellement plein de sécrétions diverses, comme nous au même âge en fait.
Et je comprends très bien qu'on déteste les personnes insistantes qui nous forcent à interagir avec un bébé/enfant alors qu'on ne le souhaite pas, qu'on déteste les familles sans gêne, les injonctions à la parentalité et à l'émerveillement de principe.
Et pour le coup la détestation de principe ça m'échappe tout pareil.
J'espère que mon message n'est pas déplacé
si c'est le cas je me tiens prête à le supprimer
Je sors de mon sous marin de parent anciennement childfree pour te poser une question @Armus , qui est sûrement maladroite et ne te sens pas du tout obligé d'y répondre.
Il n'y a pas que les bébés/enfants qui n'apportent rien à la société, ou qui ne servent à rien. Certain.e.s ados, personnes adultes ou âgé.e.s aussi. Et je trouve ça hyper subjectif, qui décide de qui est utile et qui ne sert à rien ? Et est-ce qu'on est obligé de servir à quelque chose pour être apprécié ?
Mon but est pas du tout de te pousser à te justifier, j'ai bien compris que tu n'apprécies pas les enfants, et on est sur un topic childfree. J'ai simplement du mal à saisir

Après je peux comprendre qu'on se sente mal à l'aise devant un tout petit car les interactions semblent limitées, qu'ils sont fragiles et potentiellement plein de sécrétions diverses, comme nous au même âge en fait.
Et je comprends très bien qu'on déteste les personnes insistantes qui nous forcent à interagir avec un bébé/enfant alors qu'on ne le souhaite pas, qu'on déteste les familles sans gêne, les injonctions à la parentalité et à l'émerveillement de principe.
Et pour le coup la détestation de principe ça m'échappe tout pareil.
J'espère que mon message n'est pas déplacé

Ne pas me citer, merci 

@Armus merci d'avoir pris le temps de répondre, je crois avoir compris que c'est l'absence de possibilité d'interactions "profondes" qui te dérange. Et peut-être une forme d'aveuglement général sur cette absence d'intérêt ?
Effectivement le tout petit bébé est un peu au stade "larvaire" et les interactions plus cérébrales sont limitées donc si on n'est pas dans le soin comme tu le disais, ça peut être compliqué d'y trouver un intérêt. Normal qu'ielles n'aient pas d'histoire à partager, elle commence à peine à s'écrire.
On est tous passé par là...
Je pense que ce qui est clivant c'est de dire qu'on déteste les enfants en particulier (et même certains groupes humains en général, hors catégories qui font certainement l'unanimité contre elles type tortionnaire ou criminel.le.s de guerre).
On considère généralement qu'un.e enfant n'a rien demandé à personne et qu'iel subit beaucoup plus qu'iel n'a de prise sur son environnement et son destin. Donc on a tendance à être plus indulgent.e envers elleux, d'autant qu'ielles sont plus fragiles que les adultes, et beaucoup victimes de certaines violences (sociales, familiales, sexuelles,...).
Je dis pas que les childfree ont un quelconque lien avec tout ça bien sûr, mais entre dire "je n'accroche pas avec les petits enfants/bébés en général" et "je les déteste" il y a un gap.
C'est peut-être moi qui suis une bisounours.
N'étant plus cf, je pense que je m'arrêterai là pour ne pas monopoliser la paroles sur ce topic
Effectivement le tout petit bébé est un peu au stade "larvaire" et les interactions plus cérébrales sont limitées donc si on n'est pas dans le soin comme tu le disais, ça peut être compliqué d'y trouver un intérêt. Normal qu'ielles n'aient pas d'histoire à partager, elle commence à peine à s'écrire.
On est tous passé par là...
Je pense que ce qui est clivant c'est de dire qu'on déteste les enfants en particulier (et même certains groupes humains en général, hors catégories qui font certainement l'unanimité contre elles type tortionnaire ou criminel.le.s de guerre).
On considère généralement qu'un.e enfant n'a rien demandé à personne et qu'iel subit beaucoup plus qu'iel n'a de prise sur son environnement et son destin. Donc on a tendance à être plus indulgent.e envers elleux, d'autant qu'ielles sont plus fragiles que les adultes, et beaucoup victimes de certaines violences (sociales, familiales, sexuelles,...).
Je dis pas que les childfree ont un quelconque lien avec tout ça bien sûr, mais entre dire "je n'accroche pas avec les petits enfants/bébés en général" et "je les déteste" il y a un gap.
C'est peut-être moi qui suis une bisounours.
N'étant plus cf, je pense que je m'arrêterai là pour ne pas monopoliser la paroles sur ce topic

Ne pas me citer, merci 

Pfff...
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Quand je vois dans quel état je suis en ce moment (tristesse et angoisse), je suis contente de ne pas avoir d'enfant
.
Là je n'aurai pas pu faire semblant, continuer comme si de rien n'était.
Je suis admirative des gens qui ont un ou des enfants et qui sont touchés par la dépression, tristesse.

Là je n'aurai pas pu faire semblant, continuer comme si de rien n'était.
Je suis admirative des gens qui ont un ou des enfants et qui sont touchés par la dépression, tristesse.
Compte tenu de l'actualité, avec mon conjoint, on s'est fait la remarque que finalement c'est une chance de ne pas vouloir d'enfants.
On regardait le documentaire de la fille de G. Pélicot hier soir et vraiment ça m'a sauté aux yeux. Je suis tellement heureuse de ne pas paniquer en permanence pour tout et de ne pas me sentir coupable de mes choix/mode de vie/décisions/incapacités/erreurs/autre.
C'est la 1° fois que je vois ça comme si positif, c'est tout à la fois libérateur et mauvais signe il me semble mais j'essaye de me consacrer à la libération !
On regardait le documentaire de la fille de G. Pélicot hier soir et vraiment ça m'a sauté aux yeux. Je suis tellement heureuse de ne pas paniquer en permanence pour tout et de ne pas me sentir coupable de mes choix/mode de vie/décisions/incapacités/erreurs/autre.
C'est la 1° fois que je vois ça comme si positif, c'est tout à la fois libérateur et mauvais signe il me semble mais j'essaye de me consacrer à la libération !
Merci de ne pas me citer.
Mp bienvenus dans le respect et la joie !
Mp bienvenus dans le respect et la joie !