Merci pour vos réponses !
C'est un sujet qui a déja été abordé entre nous, car je ne voulais absolument pas d'enfants jusqu'à mon premier avortement qui m'a beaucoup fait réfléchir. On a ensuite assez librement parlé de ça et il y a moins d'un an je lui ai dit que moi, j'avais plutôt envie d'un enfant avec lui et il m'a dit que lui aussi, il avait plutôt envie de se projet là avec moi, sauf qu'il ne voit pas comment le réaliser, comment être un bon père dans notre situation.
Depuis on en a pas reparlé, on s'est dit qu'on se laissait le temps d'y réfléchir sauf que je vieillis et entre temps nous avons fait le projet de vivre ensemble, puis finalement nous avons abandonné cette idée. Donc notre situation n'évolue pas vraiment... C'est suite à cette décision (ne pas s'installer ensemble dans la même ville - celle où est déjà son enfant, une ville que je n'aime pas et qu'il n'aime pas non plus d'ailleurs) que je suis tombée a nouveau enceinte et ait avorté sans trop en discuter avec lui car ça me semblait évident qu'à ce moment là, il n'était pas plus prêt que moi. Et depuis c'est bloqué au niveau de la discussion.
Interrogation sur le désir d'enfant
- Gringo
- Localisation : Sarthe
@Kurmad Je ne me voyais absolument pas mère avant que mon conjoint se dise que pourquoi pas, les bébés des autres sont chouettes, ça serait bien aussi qu'on vive ça.
Vu que j'ai aimé mon chat malgré les miaulements la nuit, malgré la nourriture à donner, malgré la litière à changer, malgré les soins à apporter, je me suis dit qu'il n'y avait aucune raison que je n'aime pas aussi un enfant (et si on a un deuxième chat ou un deuxième enfant, aucune raison que je ne les aime pas aussi).
Je ne suis pas sure qu'on puisse comparer l'amour entre un animal et un enfant dans le sens où mon chat est un être adulte, capable de se débrouiller seul et d'avoir ses envies propres et un droit à sa liberté (de mon point de vue). C'est impensable pour moi de barricader mon chat pour le protéger d'une éventuelle voiture/voisin chasseur/mort aux rats, donc je vis avec le risque de mort prématurée. Je vais m'assurer de lui offrir un environnement adapté et sûr, mais je ne peux pas anticiper tous les comportements humains malveillants/dangereux qui pourraient lui tomber dessus. Et même s'il meurt de sa belle mort à 18ans, normalement je lui survivrai.
A l'inverse la mort d'un bébé/enfant est un non sens total. On éduque nos enfants à voir les risques potentiels, leur probabilité et comment se sécuriser (ça commence avec comment descendre un escalier sans se casser la figure jusqu'à ne pas conduire quand on est alcoolisé). On fait tout ce qu'on peut pour ne pas leur survivre.
Sinon je n'avais pas une envie plus forte que ça d'avoir un enfant mais j'en n'avais pas non plus une non envie forte. J'ai mis des œillères sur l'état écologique de notre planète, j'ai prié de continuer à avoir de la chance dans la vie et on s'est lancé dans l'aventure. On a donc eu un bébé en bonne santé, pas compliqué, qui a l'air heureux de découvrir son monde et de nous voir.
Et comme dit @Kettricken, c'est facile de lister les mauvais côtés et de les imaginer, c'est plus dur avec les bons. Mais dans les trucs trop chouette avec un enfant: devoir dormir avec lui les nuits compliquées avec son front collé au mien et sa main dans la mienne, l'entendre appeler en se réveillant et pousser un grand cri de joie en nous voyant, inventer des trucs qui le font rire, le porter et le sentir qui vient se poser en mode câlin, le regarder et le trouver hyper beau (alors qu'en vrai, il est assez classique), le voir évoluer à vitesse grand V, entendre un "mamamama" et le prendre pour soi. Et dans les moments difficiles, se rappeler que tout passe et qu'on regrettera un jour de ne plus les vivre.
Et pour finir, j'ai bien voulu avoir un enfant avec cet homme là. Pas un autre. Parce qu'il est capable de remise en question, parce qu'il ne procrastine pas, parce qu'il aime les enfants, parce qu'il s'y intéresse vraiment, parce qu'au niveau tâches ménagères il fait sa part et qu'il sait prendre des initiatives (et les réussir) seul, parce que nos embrouilles sont sur des points de détails à la con et pas sur du fond. Avec un compagnon moins soutenant, moins adulte, plus colérique et sans remise en question, JAMAIS je n'aurais accepté.
Vu que j'ai aimé mon chat malgré les miaulements la nuit, malgré la nourriture à donner, malgré la litière à changer, malgré les soins à apporter, je me suis dit qu'il n'y avait aucune raison que je n'aime pas aussi un enfant (et si on a un deuxième chat ou un deuxième enfant, aucune raison que je ne les aime pas aussi).
Je ne suis pas sure qu'on puisse comparer l'amour entre un animal et un enfant dans le sens où mon chat est un être adulte, capable de se débrouiller seul et d'avoir ses envies propres et un droit à sa liberté (de mon point de vue). C'est impensable pour moi de barricader mon chat pour le protéger d'une éventuelle voiture/voisin chasseur/mort aux rats, donc je vis avec le risque de mort prématurée. Je vais m'assurer de lui offrir un environnement adapté et sûr, mais je ne peux pas anticiper tous les comportements humains malveillants/dangereux qui pourraient lui tomber dessus. Et même s'il meurt de sa belle mort à 18ans, normalement je lui survivrai.
A l'inverse la mort d'un bébé/enfant est un non sens total. On éduque nos enfants à voir les risques potentiels, leur probabilité et comment se sécuriser (ça commence avec comment descendre un escalier sans se casser la figure jusqu'à ne pas conduire quand on est alcoolisé). On fait tout ce qu'on peut pour ne pas leur survivre.
Sinon je n'avais pas une envie plus forte que ça d'avoir un enfant mais j'en n'avais pas non plus une non envie forte. J'ai mis des œillères sur l'état écologique de notre planète, j'ai prié de continuer à avoir de la chance dans la vie et on s'est lancé dans l'aventure. On a donc eu un bébé en bonne santé, pas compliqué, qui a l'air heureux de découvrir son monde et de nous voir.
Et comme dit @Kettricken, c'est facile de lister les mauvais côtés et de les imaginer, c'est plus dur avec les bons. Mais dans les trucs trop chouette avec un enfant: devoir dormir avec lui les nuits compliquées avec son front collé au mien et sa main dans la mienne, l'entendre appeler en se réveillant et pousser un grand cri de joie en nous voyant, inventer des trucs qui le font rire, le porter et le sentir qui vient se poser en mode câlin, le regarder et le trouver hyper beau (alors qu'en vrai, il est assez classique), le voir évoluer à vitesse grand V, entendre un "mamamama" et le prendre pour soi. Et dans les moments difficiles, se rappeler que tout passe et qu'on regrettera un jour de ne plus les vivre.
Et pour finir, j'ai bien voulu avoir un enfant avec cet homme là. Pas un autre. Parce qu'il est capable de remise en question, parce qu'il ne procrastine pas, parce qu'il aime les enfants, parce qu'il s'y intéresse vraiment, parce qu'au niveau tâches ménagères il fait sa part et qu'il sait prendre des initiatives (et les réussir) seul, parce que nos embrouilles sont sur des points de détails à la con et pas sur du fond. Avec un compagnon moins soutenant, moins adulte, plus colérique et sans remise en question, JAMAIS je n'aurais accepté.
@Kurmad Puisque @Gringo lance le sujet des trucs difficiles à imaginer avant d'être parents, voilà ceux que moi j'ai découvert
Dans les négatifs que je n'avais pas prévu
- avoir un enfant est un tel accélérateur de nostalgie pour moi. Avant de tomber enceinte, je disais que j'avais l'impression que ma vie était circulaire et que je voulais qu'elle redevienne linéaire. Elle l'est devenue. Mais l'inconvénient d'une vie linéaire c'est que le moment qui vient de passer, tu ne le reverras plus jamais Et pour moi qui suis sujette à la nostalgie...
- Plus généralement, je suis devenue encore plus sensible. Les 3-4 premières années, je pleurais pour rien. Je regardais un film, le sérial killer se fait tuer et me voilà avec les larmes aux yeux parce que "tu imagines c'était un bébé un jour, un bébé tout mignon"... Et je ne parle même pas de mes réactions face aux guerres, famines etc
- Par période, mon enfant est un miroir total de mes défauts. Ca peut être dur à regarder en face. Mais l'avantage est que ça donne l'occasion de travailler dessus
- La surcharge sensorielle
- la difficulté parfois à accepter qu'on va être jugé sur le comportement de son enfant alors qu'on n'a pas un total control dessus
- la tension permanente entre l'envie qu'il s'autonomise et me laisse du temps libre et la tristesse quand il le fait et s'éloigne de moi. J'ai un enfant peu autonome, ça fait presque 6 ans que je me plains de manquer d'espace. Mais là ces derniers mois il s'ouvre fort au monde, il veut faire des soirées pyjamas, des we scouts... et soudain je ressens puissance mille le "hein quoi, c'est déjà fini d'être collé serré ?? Mais ça a été tellement vite, mince, j'aurais du profiter plus"
Dans les positifs que je n'avais pas vu venir
- Je vais avoir du mal à expliquer pourquoi mais moi qui n'avait pas d'enfants dnas mon entourage direct, j'ai l'impression qu'un voile s'est levé sur la moitié du monde. Que soudain, je comprends tellement plus de chose sur la vie et sur les humains. Qu'il me manquait un élément essentiel.
- Le fait de littéralement revoir le monde par les yeux d'un enfant. Quand il avait deux ans, on passait parfois 15min au jardin à observer un escargot. Et moi qui suis fascinée par la nature et l'univers, je trouve ça tellement génial de redécouvrir le monde avec des yeux neufs
- Avoir à nouveau l'enfance dans son quotidien. Certains détestent avoir plein de jouets etc dans la maison. Moi j'adore, ça met des couleurs, ça met de la fantaisie, de la joie. Quand je suis au bureau et que ma collègue me demande pourquoi j'ai un coeur dessiné sur la main, et que j'explique que mon fils a du mal en ce moment au dépose à l'école et que donc je dessine un coeur sur nos deux mains en lui disant que si un fait un bisous à son coeur, l'autre le sens... Ca met de la magie dans le quotidien
- et dans la même veine, je trouve que ça rend le quotidien plus doux : les longs bains où il joue dans la mousse, les doudous dans la maison, le fait de lire des histoires collés l'un à l'autre... un petit enfant rend le quotidien cozy par moment, je trouve
- Un bébé c'est trop trop marrant, il nous a fait rire tous les jours la première année, voir les deux premières années
- Quand il rit, j'ai l'impression que le monde entier tourne autour de ce rire. C'est tellement beau, c'est un soleil
- Maintenant qu'il grandit, il commence parfois à me challenger sur certaines de mes idées et de mes comportements. Ou à amener de nouvelles idées de l'école. Et je sens que plus ça va aller, plus ça va m'obliger à garder une souplesse mentale
- Socialement aussi : j'ai un cercle d'amis fait depuis longtemps, très fourni, pas besoin d'en changer... sauf qu'avec lui, je rencontre les parents de ses amis etc, qui ne sont pas forcément des gens avec qui je serais devenue amie, et ça réouvre mes horizons (même si parfois ça me saoule)
- L'amour. L'amour fou. Franchement, j'ai du mal à utiliser le terme parce qu'il n'est pas approrpié mais je me sens souvent "amoureuse" de mon fils, dans le sens où je suis totalement émerveillée par lui
- Et voir l'homme que j'aime devenir un père merveilleux. Le voir avoir un coup de foudre pour son fils. Etre toujours là. Nous on manque de temps en amoureux, et c'est l'aspect le plus dur pour moi de la parentalité. Mais je suis tombée amoureuse d'une nouvelle facette de mon mec
Et un truc ni positif ni négaitf : ça a totalement changé mon rapport au temps. Pour moi maintenant, 10 ans c'est juste une période de ma vie, c'est pas si long.
Y en a d'autres encore trucs mais voilà en gros
Dans les négatifs que je n'avais pas prévu
- avoir un enfant est un tel accélérateur de nostalgie pour moi. Avant de tomber enceinte, je disais que j'avais l'impression que ma vie était circulaire et que je voulais qu'elle redevienne linéaire. Elle l'est devenue. Mais l'inconvénient d'une vie linéaire c'est que le moment qui vient de passer, tu ne le reverras plus jamais Et pour moi qui suis sujette à la nostalgie...
- Plus généralement, je suis devenue encore plus sensible. Les 3-4 premières années, je pleurais pour rien. Je regardais un film, le sérial killer se fait tuer et me voilà avec les larmes aux yeux parce que "tu imagines c'était un bébé un jour, un bébé tout mignon"... Et je ne parle même pas de mes réactions face aux guerres, famines etc
- Par période, mon enfant est un miroir total de mes défauts. Ca peut être dur à regarder en face. Mais l'avantage est que ça donne l'occasion de travailler dessus
- La surcharge sensorielle
- la difficulté parfois à accepter qu'on va être jugé sur le comportement de son enfant alors qu'on n'a pas un total control dessus
- la tension permanente entre l'envie qu'il s'autonomise et me laisse du temps libre et la tristesse quand il le fait et s'éloigne de moi. J'ai un enfant peu autonome, ça fait presque 6 ans que je me plains de manquer d'espace. Mais là ces derniers mois il s'ouvre fort au monde, il veut faire des soirées pyjamas, des we scouts... et soudain je ressens puissance mille le "hein quoi, c'est déjà fini d'être collé serré ?? Mais ça a été tellement vite, mince, j'aurais du profiter plus"
Dans les positifs que je n'avais pas vu venir
- Je vais avoir du mal à expliquer pourquoi mais moi qui n'avait pas d'enfants dnas mon entourage direct, j'ai l'impression qu'un voile s'est levé sur la moitié du monde. Que soudain, je comprends tellement plus de chose sur la vie et sur les humains. Qu'il me manquait un élément essentiel.
- Le fait de littéralement revoir le monde par les yeux d'un enfant. Quand il avait deux ans, on passait parfois 15min au jardin à observer un escargot. Et moi qui suis fascinée par la nature et l'univers, je trouve ça tellement génial de redécouvrir le monde avec des yeux neufs
- Avoir à nouveau l'enfance dans son quotidien. Certains détestent avoir plein de jouets etc dans la maison. Moi j'adore, ça met des couleurs, ça met de la fantaisie, de la joie. Quand je suis au bureau et que ma collègue me demande pourquoi j'ai un coeur dessiné sur la main, et que j'explique que mon fils a du mal en ce moment au dépose à l'école et que donc je dessine un coeur sur nos deux mains en lui disant que si un fait un bisous à son coeur, l'autre le sens... Ca met de la magie dans le quotidien
- et dans la même veine, je trouve que ça rend le quotidien plus doux : les longs bains où il joue dans la mousse, les doudous dans la maison, le fait de lire des histoires collés l'un à l'autre... un petit enfant rend le quotidien cozy par moment, je trouve
- Un bébé c'est trop trop marrant, il nous a fait rire tous les jours la première année, voir les deux premières années
- Quand il rit, j'ai l'impression que le monde entier tourne autour de ce rire. C'est tellement beau, c'est un soleil
- Maintenant qu'il grandit, il commence parfois à me challenger sur certaines de mes idées et de mes comportements. Ou à amener de nouvelles idées de l'école. Et je sens que plus ça va aller, plus ça va m'obliger à garder une souplesse mentale
- Socialement aussi : j'ai un cercle d'amis fait depuis longtemps, très fourni, pas besoin d'en changer... sauf qu'avec lui, je rencontre les parents de ses amis etc, qui ne sont pas forcément des gens avec qui je serais devenue amie, et ça réouvre mes horizons (même si parfois ça me saoule)
- L'amour. L'amour fou. Franchement, j'ai du mal à utiliser le terme parce qu'il n'est pas approrpié mais je me sens souvent "amoureuse" de mon fils, dans le sens où je suis totalement émerveillée par lui
- Et voir l'homme que j'aime devenir un père merveilleux. Le voir avoir un coup de foudre pour son fils. Etre toujours là. Nous on manque de temps en amoureux, et c'est l'aspect le plus dur pour moi de la parentalité. Mais je suis tombée amoureuse d'une nouvelle facette de mon mec
Et un truc ni positif ni négaitf : ça a totalement changé mon rapport au temps. Pour moi maintenant, 10 ans c'est juste une période de ma vie, c'est pas si long.
Y en a d'autres encore trucs mais voilà en gros
"There is a crack in everything, that's how the light gets in" (Cohen)
"Hate is alway foolish, love is always wise" (the Doctor)
"Hate is alway foolish, love is always wise" (the Doctor)
@triste-songe Ce topic sera peut-être plus adapté
@Kettricken et @Gringo Merci ça me parle beaucoup ce que vous dites !!! Surtout les aspects positifs de la parentalité, vous mettez des mots chouettes sur des trucs que je suis quasi-sûre de ressentir, le cas échéant.
@Aesma Wahou j'ai lu ton message hier mais je voulais bien prendre le temps de te répondre.
Bref, je pense que ça se sent que j'essaye de basculer de la non-envie à l'envie. Et je pense que c'est le bon moment pour ravoir une grande discussion avec mon chéri.
Et aussi, merci à toutes pour vos petits messages de soutien ça me touche beaucoup
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@Aesma Wahou j'ai lu ton message hier mais je voulais bien prendre le temps de te répondre.
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Bref, je pense que ça se sent que j'essaye de basculer de la non-envie à l'envie. Et je pense que c'est le bon moment pour ravoir une grande discussion avec mon chéri.
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Et aussi, merci à toutes pour vos petits messages de soutien ça me touche beaucoup
@Eden.
La première période ou j’ai dû me déplacer régulièrement pour le boulot et qu’il était petit (c’était au début de Rockie), a été la première période difficile pour notre parentalité.
J’ai trouvé ça difficile et pour faire ma part il fallait concentrer ça à fond autour du week-end.
Moi j’ai une situation un peu à l’inverse de @Gringo
Finalement, je suis super heureux de ma parentalité.
Même s’il existe une grande différence entre ma parentalité imaginée et la parentalité vécue.
La première période ou j’ai dû me déplacer régulièrement pour le boulot et qu’il était petit (c’était au début de Rockie), a été la première période difficile pour notre parentalité.
J’ai trouvé ça difficile et pour faire ma part il fallait concentrer ça à fond autour du week-end.
Moi j’ai une situation un peu à l’inverse de @Gringo
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Finalement, je suis super heureux de ma parentalité.
Même s’il existe une grande différence entre ma parentalité imaginée et la parentalité vécue.
Chocovore a écrit : ↑ven. 11 oct. 20:15 @Eden.
La première période ou j’ai dû me déplacer régulièrement pour le boulot et qu’il était petit (c’était au début de Rockie), a été la première période difficile pour notre parentalité.
J’ai trouvé ça difficile et pour faire ma part il fallait concentrer ça à fond autour du week-end.
Oui je pense qu'il y a toujours des solutions !
Quand je dis que nous n'habitons pas ensemble, nous habitons ensemble une semaine sur deux. Quand il n'a pas la garde de sa fille il est chez moi pendant 6 jours puis part 8 jours s'occuper d'elle et j'essaie de venir 4 jours chez lui chaque mois sur les périodes où il a son enfant pour qu'on passe tous du temps ensemble. Mais je suppose que ce n'est pas le rythme idéal pour avoir un enfant commun, il le verrait moins que moi et ce serait peut être dur pour lui de compenser l'absence sur les temps où il est là. Enfin, rien ne sert de me projetter tant que nous n'abordons pas le sujet...
- Sim
- Pronoms : Elle
Eden. si vous arrivez à être raccord sur le projet d'enfant, peut-être en effet que les solutions pratiques viendront plus facilement ?
Ici j'ai mis très longtemps à aborder le sujet parce que j'avais peur des conséquences de cette discussion...
Ici j'ai mis très longtemps à aborder le sujet parce que j'avais peur des conséquences de cette discussion...
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Des bonnes nouvelles de ma situation perso
La chirurgienne me conseille d'attendre 1 an pour des raisons esthétiques avant une grossesse, et surtout, de ne pas changer mes plans initiaux et de ne pas lancer des essais juste à cause de l'opération.
Donc j'ai envie de me laisser 1 an pour décider définitivement et je suis très apaisée avec ça.
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La chirurgienne me conseille d'attendre 1 an pour des raisons esthétiques avant une grossesse, et surtout, de ne pas changer mes plans initiaux et de ne pas lancer des essais juste à cause de l'opération.
Donc j'ai envie de me laisser 1 an pour décider définitivement et je suis très apaisée avec ça.