Mon bilan d'avril !
4 - Un roman graphique adapté d'une œuvre classique : La distinction, Tiphaine Rivière.
Découverte grâce au club de lecture d'avril.

32 - Un livre qui combine plusieurs genres : Katie, Michael McDowell.
En dehors de la couverture toujours magnifique, j'ai adoré ! C'est quand même un des plus glauques que j'ai lus de Michael McDowell, et il y a plusieurs passages bien gores. Je l'ai mis dans cette catégorie pour le mélange entre roman initiatique et horreur, qui est assez spécial.

36 - Un livre qui donne envie de tout casser : Lever de soleil sur la moisson, Suzanne Collins.
Il m'a donné envie de tout casser... parce que j'ai été hyper déçue Je suis contente d'avoir relu les trois Hunger Games, parce que je sais que je ne ressens pas ça du tout pour la première trilogie, mais je ne comprends pas comment la même personne a pu écrire les deux. Je l'ai trouvé super simpliste, le suspense tombe à plat, mais ma pire déception, c'est la construction des personnages, parce que c'est ce que je préférais dans ses autres livres. Les actions de certains personnages n'ont tellement aucun sens dans le contexte de l'univers que j'ai failli arrêter ma lecture avant la fin...

57 - États de conscience modifiés : Écoute mes mensonges, Amy Tintera.
Une bonne découverte de polar ! Je l'ai mis dans cette catégorie à cause des soucis de mémoire de l'héroïne, et d'autres problèmes psys qu'elle affronte. Elle ne sait pas discerner ses vrais souvenirs de souvenirs fabriqués, donc ça rend la narration vraiment intéressante !

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Catégories cochées : 25/100
Challenge ABC, titres (13/26), auteurs (12/26).

89. Livre sur une saison Une rainette en automne (et plus encore...) - L. STERTE
A reçu le prix « révélation 2023 (Angoulême) » et je ne saurais pas expliquer pourquoi. L’idée est bonne, c’est un joli conte mais qui a manqué de substance (pour moi).

34. Un livre avec un animal dans le titre Putain de chat, tome 11 - LAPUSS'
J’avoue, c’est le titre qui m’a fait emprunter cette mini BD à la médiathèque. Quelques planches assez drôles mais je pensais que ça serait plus satirique ou comique sur les chats ou leur maitre.

19. Un livre obscur Amore - ZIDROU
Classé dans livre obscur parce que je n’ai absolument pas compris l’intérêt de l’avoir écrit tel qu’il est. Viol, féminicide, inceste … soit disant les femmes sont « magnifiées » dans ce roman mais il y a une histoire qui raconte tranquillou qu’un homme tue son amante par amour, sans rien derrière ! Juste, OK mais elle avait d’autres amants aussi et lui il était « juste » jaloux, une vraie nympho en fait ! Brrrrref, j’ai détesté. En plus j’étais persuadée que « Amore » était un livre sur des histoires d’amour en Italie écrites par un.e italien.ne mais non, Zidrou est belge. P.o.u.r.q.u.o.i. ?

50. Un roman graphique non-fiction Etre garçon : La masculinité à contre-courant - MIKANKEY & K. OUAFFI
Des statistiques effrayantes dans ce livre qui tente de déconstruire la masculinité toxique. Plusieurs thèmes abordés à travers des histoires : pleurer / être homosexuel / subir du harcèlement / effets néfastes de la pornographie / culte de la performance … super intéressant pour des jeunes !

97. Un livre sur sa passion Le petit livre des couleurs - M. PASTOUREAU & D. SIMONNET
Étymologie et histoire des couleurs + leur symbolique. J’ai trop envie d’une version illustrée et plus touffue du même auteur.

95. Manga Creepy cat T1 - COTTON VALENT
Un peu de magie, un peu d’humour, un sacré chat un peu étrange. C’était mignon, mais j’ai vraiment du mal avec le format manga par manque d’habitude. Les dessins sont très jolis.

Mémo : 40%
ABC challenge : 16/26

Bilan depuis le début de l'année :

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La prochaine fois, je vais essayer de ne pas attendre 4 mois pour avoir le temps de détailler ! 

 
Update

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Bonjour à toutes,
voici mon bilan de mai:

L’arabe du futur T3 et T4 Riad Sattouf Croyances et Religion

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Ici je suis face à une grande interrogation parce que j'ai noté le tome 3 dans mon bilan de l'an dernier et j'en avais aucun souvenir

attention secret sur le livre

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Bretzel et beurre salé, Margot et Jean le Moal 5. Un livre dont la protagoniste principale est une femme de plus de 50 ans qui n'en a plus rien à foutre

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- Kaamelott livre 4 partie 2 Alexandre Astier

La distinction de Tiphaine Rivière, Bande dessiné classique.

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Bretzel et beurre salé T2, Une pillule difficile à avaler, 18. un livre qui donne faim

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Toi & Moi, Pacco(et Margaux Mottin). 69 . Un livre romantique

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Et là je suis sur un livre mais je pense pas avoir le temps de le finir avant la fin du mois.
En fait si, je l'ai terminé et c'était génial mais j'en parlerais le mois prochain. (L'île aux abres disparus).
+ 7livres

94. Bande dessinée classique Chi, une vie de chat, T9 - K. KANATA
Une BD mignonne sur un épisode de la vie de Chi le petit chat au sein de sa famille.

38. Une biographie qui soit aussi une autobiographie Alice Guy - CATEL & J.L. BOCQUET
J’avais adoré les autres romans graphiques biographiques de cette autrice et j’ai bien aimé celui-ci également. Un peu de couleurs aurait été bienvenu. C’était trop bien de croiser Gaumont, les frères Lumière, Eiffel et d’assister au développement des premières inventions cinématographiques. Alice Guy avait sa propre vision des choses et ses réflexions en font une femme exceptionnelle.

6. Un roman où le personnage principal est l'objet d'une expérience La vague - T. STRASSER
Incroyable histoire vraie ! Le sous-titre dit « cela commence par un jeu et finit en dictature » et ça fait peur parce que c’est exactement ce qu’il s’est passé.

21. Un livre avec une fin ouverte La mort immortelle - L. CIXIN
Lu dans le cadre du marathon de lecture, dernier tome de la trilogie. Heureusement qu’on l’a lu à plusieurs parce que seule je me serais sans doute un peu perdue dans l’univers !

43. Une femme qui tue un homme Mamie Luger - B. PHILIPPON
Lu dans le cadre du club de lecture.

Mémo : 46%.
ABC challenge : 18/26.

Amaretto a écrit : ↑08 mai 2025, 14:31 Bilan depuis le début de l'année :

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La prochaine fois, je vais essayer de ne pas attendre 4 mois pour avoir le temps de détailler ! 

Pour le mois de mai, j'ai ajouté : 

71. Un livre que tu relis après un premier abandon : La Pâtissière de Long Island de Sylvia Lott
83. Livre dans lequel les animaux sont importants : Au revoir les chats ! de Hiro Arikawa
40. un roman bienveillant et qui redonne foi en l'humanité : La Bibliothèque des bienheureux de Cali Keys
25. Un roman qu'on a envie de lire à la plage : La Fille aux dalhias de Tessa Collins

 

Mon bilan de mai (un peu mitigé) : je n'ai pas encore fini le livre du club de mai, donc il comptera pour le mois de juin ! 
37 - Un livre de la rentrée littéraire 2024 : Le voleur d'art, de Michael Finkel.
Un livre de non-fiction sur le parcours complètement rocambolesque de Stéphane Breitwieser, un voleur qui a cambriolé plusieurs centaines de musées à travers l'Europe. C'était un vrai passionné d'art, et ce qui a rendu le travail de la police plus long était justement qu'il ne revendait pas les œuvres qu'il volait, il les gardait pour s'entourer d'elles. Dans l'ensemble, le livre était un peu répétitif, mais il y a quand même un côté fascinant dans ces vols au nez et à la barbe de tout le monde : il cambriolait les musées en plein jour avec l'aide de sa compagne.
46 - Un roman livre où on savoure des phrases : Sa majesté des mouches, Aimée de Jongh.
Adaptation en BD du roman de William Golding que j'avais envie de lire depuis quelques mois. Les dessins sont très beaux et réussissent à retranscrire la violence et l'horreur du roman que j'avais adoré. Je l'ai mis dans cette catégorie, parce que je trouve que l'autrice a vraiment réussi à conserver la beauté du texte, il y a beaucoup de phrases et de citations intactes de Golding, et c'est souvent ce qui me manque dans les adaptations BD de textes littéraires. Là pour moi, on a le meilleur de deux mondes! 
76 - Solitude ou nostalgie : La vie invisible d'Addie Larue, V. E. Schwab.
Un vrai coup de cœur ! Rangé dans cette catégorie pour la malédiction d'Addie, qui l'empêche de créer une relation durable pendant plusieurs siècles : elle est condamnée à être oubliée immédiatement par toutes les personnes dont elle croise la route. Je l'ai écouté en audio, et j'ai vraiment beaucoup aimé la lectrice.

Spoiler mi-roman

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89 - Livre sur une saison : Avril enchanté, Elizabeth von Arnim.
Lu dans le cadre du club de lecture hors-série du printemps !

21. Un livre avec une fin ouverte : Les dragons de Meeren, GRR Martin (Le Trône de fer, tome 14)
Après un long moment sans me replonger dans la saga, j'ai fini l'avant-dernier tome disponible. Je prends toujours beaucoup de plaisir.

37. Un livre de la rentrée littéraire 2024 : Jacaranda, Gaël Faye
Après Petit Pays, j’ai aimé retrouver l’écriture de Gaël Faye. On devine tout le traumatisme générationnel dans les réflexions et attitudes de Milan, sans que ça ne soit vraiment nommé, en le suivant progressivement dans sa compréhension (finalement très intime) de l’histoire du Rwanda et notamment du génocide des Tutsi.

43. Une femme qui tue un homme  : Labyrinthes, Franck Thilliez
Qui m’a saoulée.

Attention ça spoile

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90. Essai : De grandes dents, Lucile Novât
Résumé Goodreads : " Et si on avait fait fausse route dans l'interprétation du Petit Chaperon Rouge ? De cette histoire si familière, on a surtout retenu une mise en garde contre des prédateurs inconnus. Et pourtant... Dans cet essai hybride à l'écriture étincelante, croisant enquête littéraire et histoire personnelle, Lucile Novat dissèque la fable et lève le malentendu. Alors retentit un tout autre avertissement."
Propos central passionnant, qui sans entièrement me convaincre dans l'argumentaire m'a vraiment poussé à la réflexion et l'introspection. Ca me reste pas mal en tête depuis que je l'ai lu. Le style très léger/familier m'a beaucoup surprise pour un essai sur le sujet, de même que la structure avec de nombreuses notes de bas de page qui sont des totales digressions sur des anecdotes personnelles et familiales.

91. Auteurice francophone : Un soir d’été, Philippe Besson
Bah c'était super.

6. Un roman où le personnage principal est l'objet d'une expérience : Des fleurs pour Algernon, Daniel Keyes
Lu dans le cadre du club de lecture.

Je suis un peu sortie de ma zone de confort au cours du mois écoulé, donc je suis contente de ces lectures.

Lavanya Lakshminarayan - Analog/Virtuel (30. Une dystopie) : Dans un futur proche, les villes sont divisées en zones élitistes faisant un usage massif des nouvelles technologies, et en "Analog", la zone des parias qui cultivent des légumes, vivent dans des cabanes et sont limités au monde bassement réel. Chaque chapitre présente un aspect de cette société à travers le problème précis d'un personnage : transfuge de classe obligé de se faire laver le cerveau par une IA pour faire bonne impression, influenceuse plus à l'aise avec son avatar qu'avec son corps réel, individu pas assez performant menacé de retomber à l'état animal dans Analog. Quasiment de quoi faire un épisode de Black Mirror à chaque fois, avec une fin spectaculaire.

Ito Ogawa - Lettres d'amour de Kamakura (68. Un livre publié en 2025) : Hatoko reprend son activité d'écrivaine publique après avoir consacré plusieurs années à sa vie de famille. Les clients affluent pour lui demander de rédiger des lettres au contenu délicat. La petite QP est devenue une adolescente acariâtre, ce qui chagrine la narratrice. Et, contre toute attente, un secret concernant sa grand-mère émerge soudain et va la faire voyager... Rien à redire, ce tome 3 de la Papeterie Tsubaki nous replonge dans cette atmosphère à la fois douillette et poignante. Je sors du coup de la catégorie "Difficile" puisque j'ai déjà lu un roman d'Ito Ogawa en janvier, mais aucun regret !

Pu Songling - Chroniques De L'étrange (19. Un livre obscur) : Livre obscur, non parce qu'il est resté confidentiel, mais parce que les histoires racontées ici sont un peu les X-Files de la Chine ancienne. La démonologie est particulière : beaucoup d'homoncules, des renards se faisant passer pour des humains, des morts pas vraiment morts qui créent des ennuis... Après, il y a aussi un côté curiosités biologiques, zoophilie, coprophagie... qui a fait que je n'ai pas ressenti le besoin de terminer le livre une fois arrivée à la moitié.

Min Jin Lee - Pachinko (96. Le.a héro.ïne part dans un autre pays) : Une jeune fille, née dans un village de pêcheurs, tombe enceinte malencontreusement et accepte la demande en mariage d'un pasteur coréen. Ils vont vivre chez le frère de celui-ci, au Japon. C'est la découverte de la grande ville mais aussi de la précarité, de l'insalubrité et du racisme féroce envers les Coréens. On suit le destin de la famille sur plusieurs générations, toutes marquées par la honte de ne pas être de "vrais japonais". J'ai bien aimé la première moitié du roman, moins la deuxième qui suit la vie des fils et de leur descendance.