J'ajoute ma dernière lecture de janvier : L'Intégrale de l'Homme étoilé, qui vient cocher la catégorie 22 (un livre qu'on t'a offert) puisqu'il s'agit de mon cadeau de Noël. C'est une BD avec des anecdotes d'un infirmier qui travaille en soins palliatifs.
J'ai beaucoup aimé cette lecture, j'ai souvent mouillé mes yeux et je l'ai lu d'une traite. Un coup de cœur 

Mémo 5/50

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Janvier a été plus intense que prévu, je n'ai pas pu lire grand-chose, mais j'ai quand même deux livres à présenter!


30. Un livre de moins de 200 pages
Histoire des gaulois, Emile Thevenot

Un Que-Sais-Je un peu daté (1987), qui retrace une partie de l’histoire que je connais peu.

Je ne l’ai pas trouvé toujours bien conçu: il y a plusieurs parties qui auraient pu être réécrites, voire coupées (une qui énumère les théories rejetées pour finalement dire « on ne sait rien de certain à propos de telle période », une qui liste des zones géographiques, ce qu’une carte aurait très bien résumé en une page), et d’autres qui je trouve auraient pu être un peu plus étendues (l’auteur aurait pu parler un peu plus des grands peuples gaulois, comme les Avernes) - ce n’est pas une utilisation optimale de la place (128 pages) qu’offre un QSJ je pense. L’auteur a aussi un style assez ampoulé (nan mais sérieux, « Il faut donc se garder d’identifier le Gaulois avec le grand dolichocéphale blond des régions nordiques » on le sait que t’as un doctorat Emile, c’est bon t’inquiètes).

Mais dans l’ensemble ça allait, et une fois passé le premier chapitre c’était plutôt chouette. Et j’ai appris des choses (surtout, pourquoi est-ce que Bibracte était une localisation aussi importante alors que quand je vais la visiter, ça fait un peu « village paumé en haut d’une colline » la population permanente était petite, mais il y avait régulièrement plein de monde à l’occasion de festivals et de réunions politiques en fait).

Je ne le recommanderais pas (on me l’a offert à Noël et c’était cool, mais il est daté, il vaut mieux un livre plus récent) mais c’était une bonne lecture.


43. Un roman qui apparaît dans la liste des 101 romans préférés des lecteurs du Monde
Animal Farm, George Orwell

J’ai pas aimé. Je pense que le livre avait été très novateur à sa sortie, tellement qu’il est devenu un peu cliché maintenant. Tout était un peu attendu, quelque part, et au final je l’ai juste trouvé triste. Il a eu pour avantages d’être facile à lire, dans un style plutôt simple et sans fioritures, et rapide à finir.

(Aussi, je suis contente d’avoir trouvé un truc à mettre dans cette catégorie. Les lecteurs du Monde et moi, on a franchement pas les mêmes goûts )

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@AprilMayJune Je n'ai jamais lu le roman de G. Orwell mais j'ai lu très récemment le roman graphique de La ferme des animaux (c'était l'un de cadeaux de Noël de mon mec). Les dessins sont vraiment très beaux, ça m'a bien accrochée à l'histoire.

Bilan de janvier : (copier/coller de mon post sur Mad)
 
1. Un livre d’un·e auteur·ice dont tu n’as jamais rien lu : Virginie Despentes, King Kong théorie
J'en entendais parler depuis longtemps, et je ne regrette pas de l'avoir enfin lu ! Je n'avais jamais rien lu de Virginie Despentes mais je pense en lire d'autres parce que j'ai adoré sa plume.
 
7. Un livre qui se lit en un jour : Liv Strömquist, Dans le palais des miroirs
J'étais un peu sceptique en lisant la première histoire, mais j'ai fini par rentrer dedans et j'ai trouvé le propos très intéressant, certains éléments m'ont fait réfléchir.
Je pense que je n'aurais jamais ouvert ce livre si je ne connaissais pas déjà Liv Strömquist (j'ai toutes ses autres BDs) parce que le sujet ne m'aurait pas forcément intéressée, mais je ne regrette pas d'avoir encore une fois fait confiance à cette autrice
 
51. Un livre qui parle de lutte sociale : David F. Walker et Marcus Kwame Anderson, Black Panthers : il était une fois la révolution afro-américaine
Je ne connaissais rien à l'histoire des Black Panther (ni à l'histoire des afro-américains d'ailleurs), c'était super intéressant et bien construit. J'ai moins aimé les dessins par contre (même si ça n'avait que peu d'importance).
 
93. Le premier mot du texte n’est composé que d’une lettre (L’, à) : Octavia Butler, Kindred
Lu pour le club lecture de janvier, et adoré ! Je suis rentrée dedans immédiatement, et j'ai trouvé l'angle super intéressant. Contrairement à d'autres, le fait que l'histoire soit peu développée et que ce ne soit finalement pas tellement de la SF ne m'a pas du tout dérangée. Je jetterai probablement un œil à d'autres œuvres d'Octavia Butler, que je ne connaissais pas du tout.
 
Bilan très positif au niveau de la qualité, moins au niveau de la quantité... j'ai beaucoup moins lu que ce que j'aurais voulu. Par contre j'ai plusieurs lectures en cours (dont plusieurs que je pensais finir en janvier), toutes plutôt chouettes également !
 

Challenge - 4/100

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J'avance dans mes lectures ! Ce challenge me permet de me lancer dans des projets prévus de longue date...

Philip K. Dick – Le maître du haut-château (71. Un livre qui réécrit l’Histoire et 37. Une relecture)
Le roman uchronique par excellence ! Je l'ai lu il y a une vingtaine d'années, c'était mon deuxième de cet auteur après Ubik et j'avais été un peu déçue, n'y trouvant pas ce que j'espérais. Il y a peu d'éléments de science fiction dans ce roman, excepté le postulat de départ : l'Allemagne et le Japon sont les vainqueurs de la seconde guerre mondiale. J'ai trouvé très intéressants l'analyse des conséquences culturelles de cette situation, la création d'une mentalité différente dans la deuxième moitié du XXe siècle, la personnalité de vaincus chez les américains, singeant les coutumes des pays dominants. C'est du Dick pur et dur dans le traitement des personnages,

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. J'aime beaucoup la description obsessionnelle des objets.

Dan Simmons – Endymion (100. Un tome 3 et 66. Un livre que tu voudrais voir adapté en film/série)
Tome 3 des Cantos d'Hypérion. Je me suis ennuyée au milieu, c'est un long voyage mais il y a moins de participants que dans Hypérion alors ça tourne un peu en rond. Curieuse de voir la future adaptation en série cela dit, en espérant que l'accent soit mis sur les décors plutôt que sur les scènes sanglantes...

Pat Murphy – La ville peu de temps après (86. Un livre où l’art a une place importante)
Suite à une épidémie qui a éradiqué une grande partie de la population occidentale, les survivants ont constitué des petites colonies indépendantes. Las artistes et rêveurs s'épanouissent à San Francisco, qu'ils ont transformé en musée d'art moderne à ciel ouvert. Ça ne plaît pas beaucoup aux forces militaires qui ont d'autres projets ; une guérilla artistique va se mettre en place... Très chouette livre datant de 1989, qui me donne envie d'en lire d'autres de l'autrice, si j'arrive à les trouver.

Hubert – Peau d’homme (61. Une BD/roman graphique qui parle de LGBTQIA+ et 7. Un livre qui se lit en un jour)
Alors qu'un mariage avantageux se profile pour Bianca, sa tante lui confie le secret des femmes de sa famille : une peau d'homme qui, une fois enfilée, leur permet de faire les quatre-cent coups incognito. BD très sympa, sur les rôles genrés, les amours gay, la liberté de mouvement et de sentiments. J'ai apprécié que la fin de cette "histoire compliquée" soit plus

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. Je me suis également dit que ce n'était pas très hygiénique ce costume qui passait de mains en mains sans désinfection.
 

J'ajoute mes quatre premières lectures de février :

13. Un livre publié en 2022 : Nos mutineries (BD) - Blanche Sabbah et Eve Cambreleng
Sans surprise j'ai beaucoup aimé. Je connaissais déjà le travail de Blanche Sabbah sur les réseaux sociaux (alias @lanuitremueparis), et j'aime beaucoup ce qu'elle fait (elle publie notamment des portraits de femmes célèbres ou mythologiques via le prisme du féminisme, c'est passionnant). Par contre je ne connaissais pas Eve Cambreleng et j'ai bien aimé aussi ses dessins. Je n'ai pas l'impression d'avoir appris énormément de choses mais ça peut être un ouvrage à prêter pour les néophytes du féminisme. Dans un genre similaire j'ai vraiment préféré Commando culotte de Mirion Malle   qui s'attaque aux clichés sexistes dans la pop-culture.

30. Un livre de moins de 200 pages : Les crocodiles (BD) - Thomas Mathieu
Au début j'étais un peu sceptique, voire même franchement méfiante que ce livre soit écrit par un homme ( j'avoue que ça me dérange souvent que les hommes s'approprient les souffrances misogynes) mais c'est une super surprise j'ai vraiment adoré cette lecture (aussi glaçante soit-elle). Le prologue d'ailleurs explique bien pourquoi il a écrit ce livre et pourquoi tous les hommes (même les alliés) sont représentés comme des prédateurs potentiels, c'est pas un point de vue courant, encore moins quand c'est un homme qui l'écrit. J'ai apprécié qu'il aborde des thèmes plus vastes comme par exemple la suroccupation de l'espace public par les hommes. Par contre, je préfère prévenir qu'il y a de nooooombreux TW, je m'attendais à lire des témoignages "juste" sur le harcèlement de rue mais on trouve aussi des histoires où il est question de viol, de violences physiques et psychiques etc.

57. Un livre d’un genre que tu n’as pas l’habitude de lire : Old Boy (les 8 mangas) - Nobuaki Minegishi et Garon Tsuchiya
J'ai lu les quatre intégrales du manga (soit les 8 tomes classiques) mais je le range uniquement dans une seule catégorie. J'ai absolument détesté cette lecture   Je l'ai lu parce que j'ai entendu dire que le film était sensationnel et qu'il est adapté de ces mangas... bah ça donne pas envie de le voir hein   De la misogynie, du sexe gratuit (avec toujours plus de gros lolos), des redondances tout le temps (je veux dire on change de chapitre toutes les 10 pages, ça sert à rien de remettre un recap à chaque fois ), une histoire qui peine à tenir en haleine (j'ai vraiment dû me forcer pour le finir), des personnages caricaturaux et pas attachants, des dessins brouillons qui font mal au crâne, vraiment tout ce que je déteste dans les mangas (et ça me conforte à ne pas en lire en fait).

Révélation à la fin de la saga

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86. Un livre où l’art a une place importante : 47 cordes (BD) - Timothée Le Boucher
J'adore vraiment cet auteur mais même si j'ai apprécié cette lecture je crois que c'est son livre que j'ai le moins aimé. Je détaillerai cet avis dans le club de lecture 

Mémo 9/50

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45. Un livre écrit par un·e auteur·ice qui est connu·e pour autre chose (journaliste, sportif·ve…) : Les Machos expliqués à mon frère – Clémentine Autain
Discussion entre la députée Clémentine Autain et son frère sur les inégalités hommes/femmes. On ne rentre pas au fond des choses mais ce petit livre permet toutefois de s’initier au féminisme, de s’interroger sur des sujets comme la prostitution (doit-on l’interdire parce que c’est de la soumission ou doit-on l’autoriser parce qu’on est libre de son corps). C’est intéressant aussi quand elle reprend son frère sur certains de ses mots ou tournures de phrases en lui expliquant ce qui ne va pas (exemple : on ne dit pas « j’aide ma femme à faire le ménage » mais « j’ai fait la vaisselle »).

1. Un livre d’un·e auteur·ice dont tu n’as jamais rien lu : Vox – Christina DALCHER
Dystopie : un gouvernement autorise les femmes à parler en utilisant au maximum 100 mots par jour  C’est glaçant, la société subit un retour au patriarcat, les faits et gestes des femmes sont surveillés et punis. On suit l’histoire d’une docteure en neuroscience, c’est assez prenant même si certains passages m’ont paru un peu « faciles » pour faire avancer l’histoire.

24. Un livre dont la nationalité de l’auteur·ice commence par la lettre C : Je sens grandir ma peur – Iain REID (canadien)
Comment résumer ce livre… Une fille est en voiture avec son copain pour rencontrer ses parents, dehors c’est la tempête de neige et on apprend qu’elle envisage de se séparer de lui. Ils parlent de leur passé, de leur présent, certains événements (trèèès) inquiétants surviennent. Bon roman pour celles et ceux qui aiment les huis clos angoissants.

12/50

Petit point en ce début février, j'ai lu 8 nouveaux livres. Quasiment que des BD mais c'est un peu la faute du club de lecture :siffle2:. Ça fait un total de 17/50 pour le challenge. J'attends de voir où j'en suis à la fin du mois mais je passerai peut-être à 100.

54. Un livre publié dans les années 2000 : King Kong Théorie, de Virginie Despentes. Un super ouvrage "introductif" qui montre une colère saine et salvatrice. Je ne suis pas d'accord avec tout ce qu'affirme Despentes dans ce livre mais il contient des passages vraiment percutants (certains sont d'ailleurs hyper connus, comme l'intro et la conclusion) et des punchlines incroyables. Je comprends son statut de must-read.

73. Un livre à la couverture moche : Moins qu'hier, plus que demain, de Fabcaro. L'humour grinçant et absurde de Fabcaro, appliqué aux relations de couple. Un régal. Dommage que ce soit très hétéro-centré (et parfois assez cliché, du coup).

48. Une biographie : Le jeune acteur, tome 1 "Aventures de Vincent Lacoste au cinéma", de Riad Sattouf. Génialement drôle ! Le double point de vue ajoute du relief et beaucoup d'autodérision, j'ai énormément ri. À ma grande surprise j'ai aussi été très émue par moments, par le parcours de Lacoste et par le lien qui se tisse entre lui et Sattouf. Extrêmement hâte de lire la suite !

70. Une histoire d’amour (pas forcément amoureuse) : Ces jours qui disparaissent, de Timothé Le Boucher. Quelle claque, j'en suis encore toute retournée. Je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler, mais cette histoire va me hanter pendant un moment.

7. Un livre qui se lit en un jour : 47 cordes, de Timothé Le Boucher. Encore un coup de cœur, décidément j'adore les histoires de Timothé Le Boucher. C'est bien écrit, prenant, avec des airs de thriller fantastique, et un bon cliffhanger. Vivement la suite ! 

6. Un livre emprunté (bibliothèque) : Dans le palais des miroirs, de Liv Strömquist. Elle y décortique les thèmes de la beauté et l'apparence à l'ère narcissique où nous vivons, avec son habituel ton incisif. Certains points relevés sont très pertinents, d'autres m'ont moins convaincue. Un ouvrage instructif et drôle.

87. Un livre avec un titre poétique : Le Dieu vagabond, Fabrizio Dori. Emprunté sans grande conviction à la bibliothèque, j'ai été happée par cette histoire fantastique, portée par de fabuleux dessins et je l'ai lu d'une traite. J'ai adoré, merci à @Végé_Mercier de l'avoir cité dans le topic du club de lecture de février !

80. Un livre dont le nom de l’auteur·ice commence par la lettre P : L'âge d'or, tome 1, de Cyril Pedrosa et Roxanne Moreil. Les illustrations sont vraiment splendides, plusieurs pages m'ont laissée stupéfaite d'admiration. Cette première partie donne envie d'en savoir plus, même si certains évènements sont un peu prévisibles. J'ai peur que 2 tomes ne suffisent pas à développer suffisamment l'histoire... A suivre, donc. Normalement je lis la suite bientôt !

Je participe au challenge 100 en intermédiaire !

BILAN JANVIER

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@April Ludgate ( pour Le Dieu vagabond)

Mes lectures des deux derniers jours, largement inspirées par le club de lecture de février (on dit merci la super médiathèque  ). Je publierai mes avis détaillés sur le topic du club de lecture mais je vous en dit quand même quelques mots :

70. Une histoire d’amour (pas forcément amoureuse) : Blankets, manteau de neige - Craig Thompson
Une jolie lecture, j'ai particulièrement aimé les dessins (quel travail dans le détail wow) (surtout vu le nombre de pages  ). Le thème de dieu me laisse parfaitement indifférente, mais je suis beaucoup plus sensible à celui de la passion adolescente. 

73. Un livre à la couverture moche : Moins qu'hier, plus que demain - Fabcaro
Bravo pour le choix de catégorie @April Ludgate    Cette BD m'a beaucoup beaucoup fait rire.

98. Un livre qui parle de psychologie / santé mentale : Le perroquet - Espé 
Cette lecture m'a vraiment chamboulée, une vraie claque. 

Mémo 12/50

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argh, je suis trop occupée à lire pour faire des maj courtes. 
 
Un classique écrit par une femme Frankenstein (1818) mary shelley 
je ne m'attendais pas à une forme quasi épistolaire, du coup, ca m'a bloquée sur le fond. il faudra que je le relise l'année prochaine si la rubrique un livre auquel tu donnes une deuxième chance revient. je n'ai pas détesté, mais pas adoré non plus.
 
26 un essai feministe herstory marie kirschen 
je pense que c'est un bon livre si on découvre ce qu'est et a été le féminisme. si on est déjà au clair, on apprend rien de nouveau. 
 
46 Un livre young adult city of brass chakraborty 
très sympa, et surtout décolonial. pour un roman de fantasy, ca se pose là.
 
48 Une biographie winston churchill sebastian haffner 
lu en allemand, donc je n'ai pas tout compris. c'est un court bouquin qui ne fait pas que l'apologie de churchill. dans un langage compréhensible, il reste assez critique. 
 
49 Un livre d'aventure naamah’s kissjaqueline carey
tellement mieux que kushiel et imriel. bon, ca reste de la fantasy qui ne se lit que d'une main, mais le côté érotique est moins présent. par contre, tout est beaucoup trop facile pour nos héros. de type, hé, j'ai un plan! et du coup, tout se passe comme prévu. mais j'avais besoin de pipou. je pense l'avoir apprécié surtout parce que je l'ai lu au bon moment. 
 
56 Un recueil de nouvelles traverses: l’anthologie de la fantasy urbaine dir. Léa silhol 
ici, c'est plus du fantastique que de la fantasy proprement dite. mais c'était excellent. 
 
72 Un récit de voyage / un livre ou le personnage principal voyage le livre de koli m. r.carey 
alors moi qui n'aime pas trop le genre post apo pour cause de crises d'anxiété vénères, j'ai adoré le côté naïf du narrateur. c'est très bien raconté, un peu flippant, mais pas trop. unetrès belle rencontre. 
 
Un livre qui fait partie du Rory Gilmore reading challenge la divine comédie dante alighieri illustrations de gustave doré 
j'avais pas adoré à ma première lecture, là, avec les illus ed doré, ca passe beaucoup mieux. aussi, je l'ai lu il doit bien y avoir 20 ans. je n'étais pas la même personne. 
 
83 Un album jeunesse longs cheveux benjamin lacombe 
c'est l'histoire d'un garcon qui a les cheveux longs. belles illus, mais je passerais pas forcément ce livre à un enfant. je ne l'ai pas trouvé terrible. lacombe n'est pas forcément le meilleur des conteurs. je lui préfère slavoj zizek, c'est dire. 
 
88 Un livre écrit durant l’Antiquité Lysistrata Aristophane 
eh bien je suis complètement passée à côté. il faut dire que ma traduction n'était pas terroche. j'ai essayé de le relire sur google books et aussitôt laissé tomber. je préfère l'adaptation la guerre de troie n'aura pas lieu, de chépluki. 
 
89 Un livre qui a reçu un prix en 2021 projet dernière chance andy weir 
prix des lecteurs goodreads en sf. c'est de la sf avec des maths qui se passe dans l'espace. tout ce que je n'aime pas. ah oui, et il faut sauver le monde aussi. 
alors, vous me direz qu'en fantasy, c'est pareil. et je répondrai, tg c'est magique.

edit 66(117)
 

Au secours je suis complètement BDlimique 
Trois nouvelles lectures hier, comme d'habitude comme l'avis complet sera posté sur le topic du club de lecture je ne note que quelques mots ici sur chaque ouvrage :

11. Le premier livre d’un·e auteur·ice : Ne m'oublie pas - Alix Garin
J'avoue que j'avais beaucoup d'attentes sur cette BD, je m'attendais à être très très émue et... j'ai même pas pleuré (c'est limite un exploit  ). Pour autant c'était une bonne lecture et un bon premier livre pour cette autrice (dont j'aime beaucoup les dessins).

41. Un livre dont le titre est long (plus de 7 mots) : Tant pis pour l'amour. Ou comment j'ai survécu à un manipulateur - Sophie Lambda
Au contraire du précédent, je n'attendais pas grand chose de ce livre dont le thème ne m'attirait pas particulièrement et c'est un énorme coup de coeur  Pour tout vous dire, hier soir il était tard, j'étais fatiguée et je me suis dit "tiens je vais juste lire les premières pages avant d'aller me coucher"... ha ha j'ai tout lu d'une traite et je me suis couchée à 1h du matin 

97. Un récit de vie : L'Odyssée d'Hakim - Fabien Toulmé
Sans surprise j'avais des attentes et elles ont été comblées  Forcément ça me rappelle beaucoup 

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Voilà, ça m'a bien remuée.

Mémo 15/50

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1. Un livre d’un•e auteur•ice dont tu n’a jamais rien lu
Jean Christophe Rufin, « Les trois femmes du consul »

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41. Un livre dont le titre est long (plus de 7 mots)
« Le voyage de Gulliver, de Laputa au Japon ». de Bertrand Galic et Paul Echegoyen (BD)

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49. Un livre d'aventure
« L’axe du loup », Sylvain Tesson, 2004

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24. Un livre dont la nationalité de l’auteur•ice commence par la lettre C
Canada : "Paul à la maison", de Michel Rabagliati (BD)

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Du coup:

9/50 !!

Je vais rajouter le 7, un livre qui se lit en un jour (en une nuit dans mon cas  ) : Dans son silence, d'Alex Michaelides, qui fait partie de la sélection du club de lecture du mois prochain.

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J'ai beaucoup aimé ce livre, que j'ai trouvé très prenant ! Je recommande !

23. Un livre d’un·e auteur·ice arabophone : L’insomnie – Tahar BEN JELLOUN
Un homme souffre d’insomnie et ne trouve le repos qu’en tuant des gens. Oubliez les thrillers sanglants ou les romans haletants, on suit le quotidien de cet homme sans le prendre en horreur, ce qui est un peu perturbant d'ailleurs ! Le roman se lit vite et je l’ai trouvé vraiment très bien écrit.

19. Un livre dont l’histoire se déroule dans un endroit que tu connais : Paper money – Ken FOLLETT
On est à Londres dans les années 1970 et on suit des événements vécus par plusieurs personnages sur une seule journée : journaliste, homme politique, millionnaire, voyou, etc. Ils semblent vivre leur vie chacun dans leur coin mais au fur et à mesure de la lecture des éléments sont se croiser ou se lier, c’est ce qui a rendu la lecture vraiment chouette, j’ai bien aimé ce livre.

14/50
 

J'ai lu ces 5 BD/romans graphiques dans le cadre du club de lecture. J'ai posté un avis plus détaillé dans le topic. 
73. Un livre à la couverture moche : Le problème avec les femmes de J. Fleming
Je n'ai pas trop apprécié cette petite BD même si certains éléments étaient intéressants. 

7. Un livre qui se lit en un jour : Touchées de Q Zuittion
Une lecture forte avec des passages durs. Les dessins sont parfaits pour l'histoire. 

48. Une biographie : Josephine Baker de Catel 
J''ai apprécié cette nouvelle lecture de Catel surtout que je connaissais peu la vie de Joséphine Baker. 

53. Un livre dont le personnage principal fait partie d’une minorité : Blanc autour de W Lupano
J'ai adoré cette lecture, y compris les dessins. 

94. Un livre dont la lecture t’a procuré une forte émotion : Quelques jours à vivre de X Bétaucourt
Cette lecture m'a touché ! Le sujet est sensible (les soins palliatifs) mais j'ai trouvé que c'était bien écrit et juste. 

Je vous conseille ces 4 lectures  
 
21. Un livre d’un·e auteur·ice qui a écrit plus de 10 livres : Salina, les trois exils de L. Gaudé
 On m'a prêté ce livre. Je connaissais déjà certains des livres de Laurent Gaudé que j'avais bien aimé. J'ai beaucoup aimé ce livre, surtout la fin qui m'a parlé

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 58. Un conte : Contes pour jeunes filles intrépides de P. Gay-Para
J'ai u ce livre sur un coup de tête. C'est un recueil de contes des quatre coins du monde. Je n'en connaissais aucun mais tous étaient sympas à lire ou intéressants. Mon préféré c'est Anaït et le prince tisserand

93. Le premier mot du texte n’est composé que d’une lettre (L’, à) : Buveurs de vent de F. Bouysse
A nouveau un livre qu'on m'a prêté mais cette fois ci je ne connaissais pas cet auteur. J'ai découvert et apprécié son écriture. J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire mais une fois fait j'avais hâte de lire la suite. Je ne m'attendais pas à la fin 
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20/100

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Mes avancées livresques, quelque peu inspirées par le club de lecture mensuel autours des BD et romans graphiques :

Michael Christie – Lorsque le dernier arbre (52. Un roman qui parle d’écologie)
Encore un bon conseil de @Heran., une saga familiale s'étalant sur un siècle, avec la perspective d'une catastrophe écologique qui voit la disparition de la plupart des arbres et l'apparition d'une poussière suffocante. J'ai trouvé intéressant de découvrir un personnage peu sympathique à travers les yeux d'un autre, puis on remonte dans le passé, dans la peau de ce même personnage, et on le comprend un peu mieux. De même, j'ai apprécié que le destin de chacun soit lié de près ou de loin aux arbres, sans que ça devienne monomaniaque comme dans certains romans thématiques. Mon personnage préféré a été Everett, avec ses courants d'air dans la tête.

Susanna Clarke – Piranèse (89. Un livre qui a reçu un prix en 2021 : Women's Prize for Fiction)
Prix bien mérité, ce roman est passionnant ! On suit un mystérieux jeune homme dans un non moins mystérieux dédale en partie submergé par la mer. Evidemment, ça devient intéressant parce que le narrateur n'est pas fiable et on découvre des indices sur la vérité petit à petit. L'écriture est maîtrisée, l'ambiance fascinante...

Roald Dahl – Sacrées sorcières (28. Un roman qui parle de sorcières)
Petit roman accessible à de jeunes lecteurs. C'est assez marrant, en plus dès le début je me marrais comme une baleine en remplaçant "sorcières" par "féministes" dans les descriptions horrifiques de la grand-mère (j'ignore quelles étaient les intentions de l'auteur...). L'histoire ne casse pas trois pattes à un canard, même si j'ai trouvé la fin touchante.

Sophie Lambda – Tant pis pour l’amour (98. Un livre qui parle de psychologie / santé mentale)
La fameuse BD autobiographique qui raconte la relation d'une jeune femme avec un partenaire peu recommandable. J'ai bien aimé le côté méta et le super nounours de combat qui sert de conscience à la narratrice, notamment quand elle perd pied. J'ai moins apprécié le passage didactique à la fin, avec les inévitables "trente critères pour savoir si votre partenaire est un partenaire narcissique", qu'on commence à connaître par cœur maintenant...

Simon Hureau – L’oasis (50. Un livre qui parle de ruralité)
Très belle BD sur une installation dans une maison à la campagne et la transformation d'un vilain coin de pelouse en superbe jardin favorisant la biodiversité.

Kang-Myoung Chang – Parce que je déteste la Corée (24. Un livre dont la nationalité de l’auteur·ice commence par la lettre C)
Un roman assez anecdotique sur une candidate à l'immigration en Australie, n'ayant pas vraiment la tête sur les épaules, et visant ni plus ni moins que le bonheur. On a parfois l'impression de lire le journal intime d'une fille de douze ans. Cela dit, certains points intéressants sont évoqués au passage, comme l'exploitation des travailleurs étrangers, les conditions de vie précaires dans les "poulaillers", des appartements ou les jeunes s'entassent, la fétichisation des femmes asiatiques. Enfin on apprend que les jeunes femmes coréennes (du Sud) sont très libres et boivent comme des trous.

Je rajoute 21. Un livre d’un·e auteur·ice qui a écrit plus de 10 livres : Nowhere girl de Magali Le huche, dont j'ai parlé sur le club de lecture, et 42. Un livre acheté sans connaître l’histoire et sans lire la quatrième de couverture : Chambres noires, de Karine Giebel, mais je triche parce que je connais et adore l'auteure, donc mis à part le fait que c'étaient des nouvelles et pas un roman, je savais à quoi m'attendre !

Ma BDlimie ralentit mon rythme sur les romans (en plus j'ai ressorti récemment ma Nintendo Switch avec Zelda BOTW , comme si j'avais des journées de 84h) mais j'ajoute quand même un roman pour février :

36. Un livre qu’on t’a recommandé : La Cinquième Saison - N.K. Jemisin
L'avis détaillé est ici mais en gros j'ai adoré  et suis en train de savourer le tome 2.

Mémo 16/50

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