Je n'ai jamais lu les Enfants de la Terre, pourtant, ma mère les avait aussi.
@Portnawak
L'auteur avait peut-être besoin d'un certain nombre de signes, et son histoire n'en faisait pas assez ? Ou alors il kiffe les troupeaux, après tout pourquoi pas !

J'adore l'astuce de décrire des troupeaux pour combler le besoin, c'est un génial remplissage de vide. C'est ce qui ressemble le plus à la description du trafic et de la faune urbaine peut-être ?
Et je plussoie. Des Harlequin, c'est comme n'importe quel livre de genre, (ou de blanche) y'a du bon et du moins bons. Comme pour chaque genre, chaque auteur.
@Francesca
Ton livre semble dater d'une époque où on s'émoustillait d'un regard et que le baiser final était l'apothéose. Là encore, dans les Harlequin, il y a divers courants et diverses époques. Tu en prendrais un autre au hasard aujourd'hui, tu n'aurais pas forcément la même impression. Évidemment, le principe de cette littérature, c'est de forcer à mort les sentiments, les sensations, les émotions, l'alchimie entre les personnages. Ce n'est pas d'voir une histoire poussée, celle-ci sert d'excuse pour la rencontre.
Donc, ce qui fonctionne chez toi, c'est les ressorts de la romance. Il n'y a pas de honte à avoir, c'est du feel good. Et parfois, ça fait du bien de s'installer dans une piscine de marsmallow mental (roses évidemment).
Bref, tu es un être sensible, et c'est même rassurant de lire ça
