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Je ne veux pas travailler

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Chocovore

Oui, je pense que c’est assez instinctif d'attribuer des étiquettes, pas forcément par envie de répandre des stéréotypes mais parce que ça permet d'économiser de l’espace mémoire et que de s’imaginer un premier schéma relationnel.

C’est d’autant plus intéressant que régulièrement, ça marche bien avec les métiers. (Je pense, y compris me concernant)

Clichés professionnels
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Je vois sur l’acte de naissance de mon fils, il y a dans l’ordre mon prénom, mon nom, mon lieu de naissance, ma date de naissance et mon métier, la même chose pour ma femme, puis le faits qu’on soit mariés depuis quand et ou et notre lieu de domicile. C'est pareil sur les actes de décès.

@Camy
Oui cette discussion me fait toujours penser à la constitution italienne.
Mais c’était dans l’air du temps, l’article 3 de la constitution de l’URSS de 1936 stipule que la totalité du pouvoir dans l’URSS appartient aux travailleurs de la ville et de la campagne.
Le fait de donner du pouvoir aux gens qui ne participent pas au travail productif était vu comme hautement capitaliste à l’époque.
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Compote

Ça m'a toujours un peu gênée aussi, cette obsession du métier... Surtout à une époque où je faisais beaucoup d'intérim, donc je pouvais être assistante administrative une semaine et hôtesse de caisse la semaine suivante. Et pour moi ça ne disait absolument rien de ma personne (à part que je suis adaptable et polyvalente :classe: ). Et même maintenant d'ailleurs, j'ai l'impression que le fait que je change régulièrement de métier est plus important que mon métier actuel en lui-même :hesite:
Le seul moment où personne ne me demandait mon métier dans les 2 premières minutes de conversation, c'est quand je faisais un long voyage à l'étranger, les questions étaient plutôt "tu es de quelle nationalité, tu voyages depuis quand, tu vas où après ?", tout le monde s'en foutait plus ou moins des activités professionnelles des autres, et ça m'arrangeait beaucoup car à l'époque je n'avais pas de métier.
En fait en effet ce qui nous définit varie selon le contexte, comme tu le dis @Chocovore (papa de X, sœur de Y, habitant de tel quartier...) et du coup le métier est le truc le plus générique pour quand il n'y a pas de contexte ?

Mon message est super décousu désolée :lol:, c'est parce que je suis fatiguée à cause du TRAVAIL.
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Chocovore

Par contre ce je trouve surprenant avec ça, c'est que lorsque le métier est demandé à l'état civil, j'ai l'impression qu'il n'est pas forcément vérifié.
J'ai un ami qui pour son mariage à indiqué qu'il était "professeur d'accordéon diatonique" alors que pas du tout. Je suis sur qu'il l'a fait pour troller.
Pareil pour le métier déclaré par mon père sur mon acte de naissance.
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Soulsight
Localisation : A côté de sa hache

Il faut remplir les CASES ! Le formulaire a horreur du vide, ça fait travail bâclé.

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Je pense que dit avec le plus grand sérieux du monde, l'horreur passe crème en fait.
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pravda
Pronoms : Elle

Alors oui et non... Il se trouve qu'en ce moment je travaille (pour combien de temps encore?) et il se trouve aussi que j'exerce un métier qui "n'existe pas" (pas inscrit au registre des métiers, nous sommes pour le moment 144 diplomé.e.s ou en voie de l'être, donc le métier est pas prêt d'exister administrativement)... il se trouve aussi que j'ai eu affaire à plein de gens de l'administration française suite au décès de mon père et aussi à des gens de rubrique nécrologique (mon père aimiez trop lire les journaux pour qu'on ne lui offre pas d'apparaitre dedans un jour aussi important) et à chaque fois on m'a cassé les pieds parce que " ça n'existe pas"
Désolée pour l’orthographe…
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Chocovore

Chocovore a écrit : 07 févr. 2024, 14:59 Mais c’était dans l’air du temps, l’article 3 de la constitution de l’URSS de 1936 stipule que la totalité du pouvoir dans l’URSS appartient aux travailleurs de la ville et de la campagne.
L'article 12 est pas mal non plus
Le travail, en URSS, est pour chaque citoyen apte au travail un devoir et une question d'honneur selon le principe : « Qui ne travaille pas, ne mange pas ». En URSS se réalise le principe du socialisme : « De chacun selon ses capacités, à chacun selon son travail »

Grace à la magie d'internet on apprend que cette phrase est tirée du nouveau testament, plus précisément de la deuxième épitre aux Thessaloniciens
Or nous vous prescrivons, frères, au nom du Seigneur Jésus Christ, de vous tenir à distance de tout frère qui mène une vie désordonnée et ne se conforme pas à la tradition que vous avez reçue de nous.

Car vous savez bien comment il faut nous imiter. Nous n'avons pas eu une vie désordonnée parmi vous,

nous ne nous sommes fait donner par personne le pain que nous mangions, mais de nuit comme de jour nous étions au travail, dans le labeur et la fatigue, pour n'être à la charge d'aucun de vous :

non pas que nous n'en ayons le pouvoir, mais nous entendions vous proposer en nous un modèle à imiter.

Et puis, quand nous étions près de vous, nous vous donnions cette règle : si quelqu'un ne veut pas travailler, qu'il ne mange pas non plus.

Or nous entendons dire qu'il en est parmi vous qui mènent une vie désordonnée, ne travaillant pas du tout mais se mêlant de tout.

Ceux-là, nous les invitons et engageons dans le Seigneur Jésus Christ à travailler dans le calme et à manger le pain qu'ils auront eux-mêmes gagné.
Déjà à l'époque c'était mal vu ! :dunno:
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Pickle

Je me demande régulièrement comment je vais faire pour tenir encore (au moins) 30 ans de carrière :ninja: Pourtant je suis loin d'avoir le pire boulot du monde. Je me trouve même très privilégiée à de nombreux égards. C'est juste que je supporte mal certaines injonctions et certains enjeux que je trouve vides de sens et/ou qui sont en décalage avec mes valeurs. Ça me donne le sentiment que le travail me "vole" mon temps. Je passe la majeure partie de mon temps éveillé à me préoccuper d'intérêts qui ne sont pas les miens et dont je me fous éperdument dans l'absolu. Certaines de mes missions sont pourtant très stimulantes et gratifiantes, mais elles doivent occuper même pas 10% de mon emploi du temps. En vrai c'est un boulot qui pourrait être vraiment génial, mais qui perd de son sens à cause de la concurrence mondialisée dans laquelle on est pris.

Le truc aussi c'est que j'ai très peu d'ambition. Ça ne m'intéresse pas de monter en responsabilités, je vois juste ça comme de la charge mentale supplémentaire et encore moins de temps à consacrer à ce qui m'intéresse vraiment. Je veux juste faire ce que j'aime tranquillement dans mon coin, (idéalement en collaborant avec d'autres collègues) et qu'on me laisse en paix.

J'ai l'impression d'être un OVNI parmi mes collègues qui sont plutôt ambitieux, dynamiques et poursuivent des objectifs précis de carrière. Moi je crois que le travail ne sera jamais une dimension centrale dans ma vie et mon identité. J'ai trop l'impression de me faire dérober ce qui m'importe vraiment. Je travaille parce que je n'ai pas le choix, pas parce que ça me fait vibrer.

J'envie beaucoup les gens qui ont trouvé LE boulot qui les passionne et dans lequel ils sont bons. Je me demande si une telle chose existe pour moi et comment je peux faire pour la trouver !
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Sim
Pronoms : Elle

@Pickle je comprends ce que tu dis. En plus, même quand on aime vraiment son travail, il y a une pression à s'y consacrer corps et âme qui est très pesante. Je connais très peu de gens par exemple qui ont un temps partiel par choix qui ne soit pas lié à la parentalité, alors que ça devrait être banal de pouvoir dire "j'ai un boulot super mais j'ai envie d'avoir une vie".

Récemment j'ai lu "paresse pour tous" d'Hadrien Klent qui parle de réduction du temps de travail et de rapport au temps et au travail en général (c'est un roman), ça se lit vite et c'est bien, je recommande.
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Ggogouma

Je rejoins la team "je n'ai pas d'ambition" :classe:
Mais j'ai la chance, j'ai un travail qui me plait, dans une asso avec des valeurs très fortes. Mais je veux pas faire plus en fait.
Quand je vois le boulot de ma coordo ça me donne pas envie, c'est trop de responsabilité pour moi. Et je lui ai dit en entretien individuel "je ne veux pas être chef".
Par contre le revers c'est que je suis pas riche. ça c'est embêtant un peu, quand on vit dans une grande ville avec des loyers élevés.
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nip33

on peut aimer son boulot mais ne pas vouloir y passer sa vie !

mon travail me plait, mais des fois j'ai envie de glander, et je ne veux pas plus de responsabilités, je déteste ca,

la vie est déjà assez stressante, pas envie d'en rajouter avec des responsabilités supplémentaires au boulot, tout ca pour peut être mourir de stress avant la retraite (si on l'aura un jour d'ailleurs) !

je n'hésite pas a prendre tous mes jours de congés avant la deadline même si je n'ai rien de prévu, quand mes collègues eux prennent des congés uniquement si ils ont un RDV dans la vie privée, quand je leur dis qu'ils peuvent prendre congé juste pour se reposer, on me regarde avec une tête de Pikachu choqué!

surtout que les congés non pris partent sur un PERCOL qui seront déblocables qu'a la retraite, je vais avoir 34 ans, donc non hors de question de laisser mes congés sur un PERCOL dont je ne profiterais peut être même pas si je meurs avant, donc je les prends tous, même si c'est pour rester chez moi dans le canapé! 

est ce si mal de faire passer son bien être avant le boulot?

et je constate que pas mal de collègues ne comprennent pas forcément quand quelqu'un décide de démissionner pour avoir d'autres projets de vie surtout si ce n'est pas pour avoir un autre travail salarié "bah et il fera comment pour sa retraite?".

j'ai du mal a comprendre pourquoi faut il attendre la retraite pour réaliser des projets qui nous tiennent a cœur, et même si on arrive a la retraite, on aura  peut être pas l'énergie, la santé, alors si on peut se réaliser maintenant, pourquoi attendre?
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Lysae
Pronoms : Elle/iel

​​​​​Pareil @nip33 j'aime mon boulot où je me sens utile mais c'est pas le centre de ma vie. Concrètement il y a plein de moments où je préférerai faire autre chose, m'occuper de mes enfants plutôt que ceux des autres, faire mes petits projets, les engagements associatifs. Vraiment si je n'avais pas besoin des thunes pour vivre je me passerai de travailler, j'ai tellement d'autres trucs à faire! (Et il m'arrive régulièrement de faire mon travail bénévolement... Je crois que je suis prête pour le revenu de base :cretin: )

Quand aux responsabilités, c'est un vrai paradoxe, je n'aime pas qu'on décide pour moi et qu'on me dise ce qu'il faut que je fasse, mais je ne veux pas non plus diriger les autres, je serais prête à prendre des responsabilités si je peux amener de l'horizontalité mais je sais que ça me demanderait beaucoup d'implication et ça me stresse...
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Ni dieu ni maître, mais si tu veux on fait un jeu coop?
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nip33

@Lysae mais tellement ! et j'ai l'impression que c'est mal vu si on n'est pas concentré sur le boulot principalement, et je ne parle pas du fait qu'il faut en plus passer du temps avec ses collègues en dehors du boulot car il faut resserrer les liens!

bon, on peut se faire des amis au boulot et passer du temps avec ses collègues en dehors du boulot, mais ce n'est pas ma tasse de thé, je suis déjà au boulot du lundi au vendredi, de plus en général durant les after work on parle encore boulot.

j'aimerais passer le peu de temps libre qu'il me reste avec mon homme et nos animaux, sans passer pour une sauvage asociale.

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Patagon

Team je n'ai pas d'ambition non plus. :yawn:
Bon en ce moment c'est particulier car ça se passe assez mal dans mon travail :lol: mais même quand j'étais très contente de mon taf j'étais bien là où j'étais et aucune envie d'en faire plus. Mon asso a la particularité d'avoir une organisation horizontale, je peux tout au plus changer de thématique, mais je ne monterai pas en grade et ça me va très bien de garder le même niveau de responsabilité et de changer de sujets si un jour j'en ai marre. J'ai pas envie de m'ennuyer 7h/jour au boulot et d'avoir l'impression d'avoir fait le tour du sujet, je veux conserver le même intérêt et la même curiosité,  mais ça s'arrête là.

De ce côté là je ne subis pas trop de pression de collègues très ambitieux, on a à peu près tous le même âge et personne n'a de grosses envies de carrière. Tout le monde essaie de prendre ses congés au fur et au mesure, à 17h30 je suis souvent toute seule (mais c'est aussi parce que j'ai tendance à glander dans la journée, par exemple en ce moment :lol: ), plusieurs prennent des congés sans solde de 2 à 3 mois par an, et près de la moitié ont un temps partiel parce que ça leur va bien et qu'ils ont d’autres projets à côté (et ils ont moins de 30 ans et ont déjà envie de se consacrer à d'autres trucs sans attendre la retraite).

Je suis venue à ce travail après moultes déceptions pros, je voulais y trouver du sens, des valeurs etc. Alors sur le papier c'est vrai, mais si on est un peu honnête, il faut aussi admettre qu'il y a quand même de quoi se décourager parfois : on doit rentrer dans les cases administratives d'une société capitaliste malgré tout, valoriser des chiffres, adapter la réalité de nos actions à des appels à projet un peu débiles, on fait beaucoup beaucoup de paperasse et on passe à peu près autant de temps à justifier qu'on travaille qu'à travailler réellement, on fait aussi beaucoup de choses qui tombent à l'eau, on a des moyens très limités pour mener des projets d'envergure etc. Donc c'est jamais vraiment parfait, et faire 35h et ne pas tout miser sur ce travail, cela reste le meilleur moyen selon moi pour ne pas avoir envie de jeter l'éponge au bout de 3 mois.

J'ai des collègues très philosophes aussi qui m'ont un jour dit que nos postes devaient rester transmissibles : c'est-à-dire qu'on reste de moins en moins longtemps à un poste, que le turn over est très important (on reste en moyenne 2 ans et demi à nos postes), et que le but c'est aussi de faire en sorte que le prochain puisse récupérer nos missions sans que ce soit ingérable. Notre travail c'est aussi de rendre notre poste vivable, épanouissant, agréable, qu'il donne envie. La personne qui arrivera après nous aura peut-être des contraintes familiales, de santé, des compétences un peu différentes des nôtres, et c'est important de l'avoir en tête pour ne pas mettre en péril la structure (on est une petite asso, donc s'il y a une fragilité sur un poste, qu'on arrive pas à recruter, que la personne ait du mal à s'approprier le poste, ça peut très vite être le bazar). Moi ça m'aide beaucoup à relativiser tout ça et à me dire que si mon boulot est nul et que j'y suis mal, il faut avant tout faire en sorte que je m'y sente mieux, pour moi, pour le suivant, pour mes collègues.

Du coup ma seule ambition c'est ça, que mon poste me fasse envie et fasse potentiellement envie à quelqu'un d'autre, et qu'il reste vivable.

Par contre sans chercher à être pote avec mes collègues, je suis contente d'avoir majoritairement des collègues sympas. C'est plus agréable de passer ses journées avec des gens qu'on apprécie, d'avoir du soutien, de pas bosser seul dans son coin (enfin moi c'est ce que j'aime, sinon mon travail perd une grande partie de son intérêt).
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Tontétatilotétatou

Moi non plus, je n'ai pas d'ambition, et je ne considère pas que mon épanouissement personnel passe par le travail. Si j'avais le choix, je n'aurais pas d'emploi et serais très heureuse d'être femme au foyer. Mais, par la force des choses, je suis celle qui rapporte le plus gros revenu à la maison (et de loin). J'ai la chance d'aimer ce que je fais la plupart du temps, et je ne peux parfois m'empêcher de culpabiliser de gagner "trop" d'argent par rapport à la pénibilité de mon travail. C'est du travail de bureau et, même s'il a du sens, je n'ai pas l'impression de faire de gros sacrifices pour lui. Et tant mieux! Mon père était très absent quand j'étais petite et je me suis jurée de ne pas répéter ça. Je veux être présente pour ma famille au quotidien.
Bref, j'ai vraiment un gros syndrome de l'imposteur. Et je n'ai qu'un seul collègue au quotidien. Parfois, ça me pèse un peu, même si on s'entend bien (mais en tant que collègues seulement; on n'est pas amis).
En résumé, je me sens extrêmement chanceuse de ma situation, même si j'ai l'impression qu'elle s'est produite par chance. (Désolée, ça part un peu dans tous les sens)
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Meeteetse
Bébétincelle
Bébétincelle

Édité
Modifié en dernier par Meeteetse le 22 avr. 2025, 11:04, modifié 1 fois.
"Y'a pas marqué Saint Bernard sur ma fiche de poste" (Dre FàL, La machine à café du labo, Ed. du Terrier, 2023, p. 241)
 
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Tontétatilotétatou

Ah oui, alors dans ce cas, je suis plutôt très ambitieuse, puisque mon objectif dans la vie est d'améliorer la qualité et l'espérance de vie de millions de personnes dans le monde :yawn: . Disons que j'aimerais bien pouvoir me dire un jour que je suis pour quelque chose dans le fait qu'un produit a un impact positif sur plein de gens.
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Meeteetse
Bébétincelle
Bébétincelle

@Tontétatilotétatou ben voilà ça c'est ambitieux :yawn:
"Y'a pas marqué Saint Bernard sur ma fiche de poste" (Dre FàL, La machine à café du labo, Ed. du Terrier, 2023, p. 241)
 
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Indiana

Team peu d'ambition ici aussi :hello: Je veux bien quelques responsabilités, mais euh pas trop non plus parce que genre, après tu dois prendre des décisions et pire... en être responsable ?? :fear: OK mais à pas trop grosse échelle quoi ! Mais surtout clairement pareil, le travail c'est pas le centre de ma vie quoi... je préfère faire du sport, de la randonnée et de la couture :cretin: pour l'instant j'ai eu la chance de trouver des boulots soit qui me plaisaient, soit avec une super équipe donc ça compense le peu d'intérêt, voire les 2 (mais j'ai pas pu rester :tears: ).
Mais en ce moment je fais un peu face à un problème de conviction
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En attendant j'aimerais bien travailler moins, mais j'aimerais aussi avoir une retraite correcte un jour ( :lol: ) donc beeeen... je profite bien de mon chômage en ce moment ? :yawn:

Mais j'aimerais bien que la question "tu fais quoi dans la vie ?" Suivie d'une longue discussion boulot ne soit pas la base des conversations avec les gens, surtout les inconnus
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Lysae
Pronoms : Elle/iel

@Meeteetse
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Quand à la question "tu fais quoi dans la vie" quand je la pose j'espère autre chose que la profession de la personne en face et j'aimerais bien avoir le même intérêt en retour (d'ailleurs je demande plutôt "qu'est-ce qui t'intéresse dans la vie") parce que bon mon boulot c'est pas ma passion non plus et mes activités associatives prennent bien plus de place dans ma tête. Je préfère savoir si tu joue de l'ocarina ou si tu fais du roller derby plutôt que savoir que tu travaille dans un bureau :free:
Ni dieu ni maître, mais si tu veux on fait un jeu coop?
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Xixili

@Lysae
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Merci de ne pas citer :happy:
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