Être heureux(se)

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Grenadine

Edit admin : post rédigé avec une IA (vu avec le.a auteurice), d'où le ton employé.

J’ai longtemps cherché le bonheur, comme beaucoup d’entre nous.
On traverse des hauts et des bas, on se demande si l’on est sur le bon chemin, si l’on se rapproche réellement de ce qui nous rend profondément heureux.
 
Aujourd’hui, je peux enfin dire : oui, je suis heureuse.
Mais ce n’est pas arrivé du jour au lendemain, et ce n’est pas un état figé. C’est un équilibre que j’ai construit petit à petit, à travers des découvertes et des changements qui ont transformé ma façon de voir la vie. Et c’est ce que j’aimerais partager avec vous, en espérant que cela puisse, à votre tour, vous aider à avancer vers plus de bien-être.
 
Quand j’ai commencé à me documenter sur internet et dans les livres, un mot revenait sans cesse : la méditation.
Au début, j’étais sceptique, probablement comme certains d’entre vous. Assise en tailleur à essayer de "ne penser à rien" ? Ça me semblait étrange, voire inutile. Mais j’ai décidé d’essayer, simplement, en suivant des vidéos sur YouTube ou des applications. Les premières séances étaient compliquées, mon esprit partait dans tous les sens, et j’avais du mal à voir l’intérêt. Mais en persévérant, quelque chose a changé. Je me sentais plus calme, plus ancrée, moins stressée. Ce qui était au départ un simple test est devenu mon moment à moi, une habitude quotidienne qui détend mon esprit, améliore ma concentration et même mes relations avec les autres.
 
C’était un premier pas vers le bien-être, mais il restait un élément qui me pesait : je n’étais pas bien dans mon corps.

C’est là que j’ai commencé à m’intéresser à l’alimentation, autre sujet qui revenait souvent dans mes lectures. J’avais l’habitude de manger un peu n’importe comment, et l’idée de changer mes habitudes alimentaires me paraissait difficile. Mais, comme pour la méditation, j’ai commencé petit à petit : remplacer un goûter sucré par un bon jus de fruits, réajuster mon petit-déjeuner, puis modifier progressivement mes repas. Et là, encore une révélation. Mon énergie a augmenté, fini les coups de fatigue en pleine journée, mon humeur s’est améliorée.
 
Mais même avec une alimentation plus saine et la méditation, il me manquait encore quelque chose. Il y avait toujours des moments de doute, d’anxiété. C’est là que j’ai découvert le développement personnel. Apprendre à écouter mes émotions au lieu de les fuir, à me parler avec bienveillance, à cultiver la gratitude… Ça a tout changé. J’ai commencé à noter chaque jour trois choses positives qui m’étaient arrivées, et progressivement, ma vision de la vie a évolué.
 
Bien sûr, je ne suis pas dans un état de bonheur absolu en permanence, et je traverse encore des périodes de doute. Mais aujourd’hui, je me sens alignée avec moi-même, et c’est une forme de bonheur que je n’avais jamais connue auparavant.
 
Récemment, j’ai découvert une application qui regroupe tout ce qui m’a aidée sur ce chemin : WeZen. Des méditations guidées, des audios de motivation, des exercices de respiration, des musiques relaxantes, et même des conseils pour une alimentation plus saine. Si vous ne savez pas par où commencer, ou si vous voulez approfondir votre bien-être, ça peut être une belle porte d’entrée.
 
Et vous, quelles sont les pratiques ou habitudes qui vous ont aidé à être plus heureux ? J’ai hâte d’échanger avec vous !
 
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Clémentiine
Bébétincelle
Bébétincelle

Bien sûr @Nuageuse :fleur:
« Ils sont où les semi-croustillants ? Ils sont souus la Bretagne ! »
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Merlu
Localisation : Devant ton nez
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J'ai lu je ne sais plus où qu'adhérer à l'idéologie progressiste rendait malheureux, parce qu'on est à la foid dans un état d'insatisfaction permanente vis à vis de l'état du monde et qu'on se bat pour un monde qui n'a jamais existé, alors que ce que notre cerveau aime, c'est ce qu'il connaît déjà. Et il faut en plus ajouter à cela un monde qui semble s'éloigner irrémédiablement de nos idéaux. Même limiter sa consultation d'actus aux bonnes nouvelles ne suffit plus, elles deviennent limite plus dépressogènes que les mauvaises nouvelles, avec toutes les publications qui:
-Ont baissé leurs standards (on en est à déboucher le champagne à la mort d'une personnalité faf)
-S'excusent de publier des bonnes nouvelles, en rappelant que bon, quand même, le monde est globalement dans la merde, ou relativisent eux-mêmes leurs propres bonnes nouvelles.
-Se contentent d'actus purement anecdotiques, voire de non-événements.
-Le pompon, c'est ceux qui par un raisonnement alambiqué font passer pour bonnes des mauvaises nouvelles (genre un parti faf qui ne fait "que" 19% parce que c'est en-dessous des projections qui le plaçaient à 30%, oubliant que c'est le deuxième parti du pays et qu'il a là le meilleur score de son histoire).

Mais bref, je m'égare.

Pour moi, la philosophie du bonheur ressemble plus qu'autre chose à une compilation d'injonctions culpabilisantes d'un schtroumpf à lunettes qui voudrait m'apprendre un mélange de principes stoïciens (du moins, leur acception antique, je sais pas si la vision moderne est similaire) et de nihilisme de comptoir. C'est pour ça que j'ai arrêté de confier mes états d'âme à ma mère, à chaque fois, c'est à tout ça que j'avais droit.

Et je me rends compte qu'on est en train de rendre ce topic de plus en plus déprimant, ce qui est un sacré paradoxe.
Ceinture noire de cas raté.

Si ton tonton tond un chasseur sachant chasser sans son chien, les chaussettes de l'archiduchesse se dépetibotdebeurreriseront.

J'ai déjà essayé de dépasser mon handicap, mais il est plus rapide que moi.
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Grenadine

Bonjour @Armus  Je vois tout à fait ce que tu veux dire…
 
J'aimerais donc aborder deux points pour répondre à ton message, quand tu dis que le développement personnel et la méditation, ça ne marche pas, etc.
 
Le premier est simplement : peut-être que ce n'est juste pas ton truc ? J’ai donné la méditation en exemple, car je trouvais que ça m’avait vraiment aidée. Mais je ne pense pas que ça puisse aider tout le monde. Mais il faut tester. Toi, ce sera sûrement autre chose, peut-être même quelque chose de totalement différent.
 
Tu dis ne pas chercher à être heureux, car le bonheur ne reste pas. Donc, parce que tu ne peux pas toujours être dans un état de bonheur, tu préfères être malheureux tout le temps ? Ne penses-tu pas que c'est dommage ?
 
Oui, des fois, tu vas passer par des bas, des fois, le bonheur ne sera pas là. Un jour, tu seras très heureux, mais le lendemain, une mauvaise nouvelle fera que tu le seras beaucoup moins. Mais il ne faut pas que ces moments de doute, ces moments tristes ou malheureux définissent ta vie !
 
Personnellement (je n'ai pas la science infuse, je me base sur mon expérience), je te conseillerais d'aller plus de l'avant, même si des fois c'est difficile. Essaye de voir ce qui te rend heureux et va vers ce chemin. Mais une chose est sûre : ne te laisse pas convaincre qu'il ne faut pas être heureux, car certaines fois, on ne l'est pas. Fais en sorte de rester heureux le plus souvent possible et que les moments de malheur ne te définissent pas et ne suppriment pas les moments de bonheur. Et je pense que tu seras beaucoup mieux dans ta vie.
 
Deuxième chose : peut-être aussi que, vu qu'on voit de tout, tu es simplement tombée sur du développement personnel pas incroyable ou qui ne te correspondait pas ? Il y a de tout, de même pour la méditation.
 
Pour moi, le développement personnel ou les audios de motivation, c'est surtout pour me booster. Avoir un petit shoot quand ça ne va pas. Et c'est sûr que si j'entendais des banalités, forcément, ça ne marcherait pas. Peut-être que tu es mal tombée ? De même pour la méditation, il y a vraiment de tout. Moi, ce que j'aime avec la méditation, c'est justement plus le côté "normal" que le côté spirituel. Le côté spirituel ne m'intéresse pas du tout. Mais je sais que bien respirer va me détendre, penser à des choses positives sera mieux que le contraire, etc. Oui, ça a l'air simple dit comme ça, et pourtant, ça marche (du moins sur moi).
 
J'espère que mon message pourra peut-être te faire réfléchir sur certains points ? Car j'aimerais bien, même si je ne te connais pas, que tu ailles mieux et que tu vois un petit peu plus le bon côté : )
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yoruichi

team@Armus 

la méditation ne marche pas du tout sur moi. ca me stresse, ce qui est un peu contre-intuitif. 
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Gingerbraid

@Armus et @yoruichi pareil, j ai essayé plusieurs fois de m y mettre et à chaque fois je me sentais plus mal après... Le focus sur le souffle finit toujours par m angoisser :knockout:
Par contre, j'aime bien les relaxations guidées genre hypnose.
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Merlu
Localisation : Devant ton nez
Pronoms : il

Un truc qui me fait aussi beaucoup grincer des dents, c'est que beaucoup de discours sur la philosophie du bonheur sont des discours de privilégié. C'est facile de dire qu'on peut être heureuxe en toutes circonstances quand on est soi-même bien placé.e dans la pyramide de Maslow, quand notre quotidien n'est pas jonché de stratégies de survie à court terme, quand on a une existence légale et qu'elle n'est pas menacée à plus ou moins court terme, quand on a une santé mentale stable et quand nos seules préoccupations sont des problèmes de riche.
Ceinture noire de cas raté.

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Léti

J'ai repensé à ce fil en écoutant un podcast dont le titre était quelque chose comme "est-ce qu'avoir des enfants rend heureux" ou quelque chose comme ça. Un titre un peu bullshit, donc. Mais j'ai bien aimé la réflexion d'un intervenant qui disait que quand on n'a pas d'enfants, on a un peu ce "poids", cette injonction au bonheur en style "mais tu as du temps, pourquoi est-ce que tu ne voyages pas/ne t'investis pas dans une association/ne créé pas une nouvelle Joconde ?" Bon, j'exagère bien sûr, mais je sens en tous cas une réelle injonction au "si tu n'as pas d'enfants, tu dois faire quelque chose de ta vie". Ben moi, je n'en fais rien et à la fois j'ai envie de leur dire "et c'est comme ça, occupez-vous de vos affaires" et à la fois ben...moi aussi ça me travaille un peu, cette vie d'apparence "inutile" pour les autres voire pour moi-même ou en tous cas peu constructive. Je pourrais probablement faire une formation (en plus de mon travail), m'investir dans un truc au lieu de larver dans mon canapé et m'occuper (difficilement) des tâches ménagères et administratives. Et d'obéir à mes chats. Mais je ne parviens pas à le faire. Tout cela m'agace un peu.

Et bien sûr,comme toujours dans ces cas là, je m'en veux de penser ça alors que si une amie dans la même situation me racontait la même chose, je lui dirais plutôt "mais ne culpabilise pas ! Au contraire, vis ta vie comme tu le souhaites !" Et en même temps, j'imagine qu'on me dirait qu'en lui disant cela, je la tire vers le bas ? Je ne sais pas.
De toute façon, le bonheur lui-même, c'est du bullshit, on le sait bien. On ne le trouve jamais quand on le cherche. C'est certainement à un cours de philo, qu'il faudrait que je m'inscrive.
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Merlu
Localisation : Devant ton nez
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@Nuageuse Et encore, rechercher le bonheur via l'argent, c'est s'imposer un supplice de Tantale, vu que peu importe ce qu'on gagne ou possède, ça nous paraîtra toujours insuffisant. C'est pour ça que les grosses fortunes se battent pour s'enrichir davantage alors qu'elles ont déjà une part significative de leur fortune qui ne leur sert strictement à rien vu qu'elles ne la dépenseront jamais. 
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yoruichi

@Léti jev vois plutôt ce que tu décris comme une injonction à la productivité. comme disais chépluki à propos de l'art, c'est bien plus beau quand c'est inutile. je ne pense pas que dire à quelqu'un de faire ce qui lui plaît est la tirer vers le bas. si regarder de temps à autres des meme de chas fait plaisir, pour quoi pas? j'ai arrêté d'être malheureuse quand j'ai cessé de ressentir un vide et une envie que tout s'arrête. et je suis très heureuse de ne pas avoir d'enfant. 
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Léti

@yoruichi : Merci de ta réponse, c'est intéressant et je pense que tu as raison de relier ça à l'injonction à la productivité, je n'avais pas fait le lien moi-même.
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yoruichi

@Léti
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