Déception liée au sexe du bébé
J'ai noté 2 phrases "intéressantes" :
"Dans les années 90, en Corée du Sud, il naissait 130 garçons pour 100 filles. Une génération entière d'hommes seuls, sans compagne, sans avenir familial, sans équilibre social."
"Les filles réussissent mieux à l'école, elles obtiennent plus de diplômes, elles gagnent en autonomie, elles sont perçues comme plus stables, plus fiables, et surtout, elles restent proches de leurs parents, elles s'occupent d'eux quand ils vieillissent. "
ça révèle pas mal de choses.
"Dans les années 90, en Corée du Sud, il naissait 130 garçons pour 100 filles. Une génération entière d'hommes seuls, sans compagne, sans avenir familial, sans équilibre social."
"Les filles réussissent mieux à l'école, elles obtiennent plus de diplômes, elles gagnent en autonomie, elles sont perçues comme plus stables, plus fiables, et surtout, elles restent proches de leurs parents, elles s'occupent d'eux quand ils vieillissent. "
ça révèle pas mal de choses.
C'est marrant parce que j'ai cette crainte ancrée, je ne regrette pas de ne pas avoir de filles, mais j'ai cette peur enfouie que mes garçons me délaissent (davantage que s'ils avaient été des filles, je veux dire...), qu'on voit moins les éventuels petits enfants que si j'avais été une grand mère maternelle. Je ne sais pas d'où ça vient parce que j'ai beaucoup d'exemples dans mon entourage qui contredisent cette idée, mais ça reste là, en arrière plan.
Petit message à 1 mois PP, maman de deux garçons 
À l’annonce du sexe pour Porcinet j’avais eu le cœur serré et j’ai pleuré en sortant du cabinet de la sage-femme. Je souhaitais une fille, déjà pour ma première grossesse, et l’annonce d’un 2ème garçon a été difficile à digérer pour moi.
(Pas merci Ben Mazué pour la sortie du dernier album pendant ma grossesse, j’ai perdu 50L de larmes sur Cécile Gagnant juste avec le début « À toi la fille que j’aurai jamais »
)
J’avais peur de moins aimer ce bébé. J’ai dû faire le deuil d’un prénom. D’une projection avec une fille. De mes idées de la relation qu’on aurai pu avoir.
Et maintenant qu’il est là, je ne m’imagine pas sans lui. Il n’aurai pas pu être quelqu’un d’autre, et je m’en fiche qu’il soit un garçon. Je ne regrette pour rien au monde sa venue et encore moins son sexe.
Il est tellement beau, doux, je l’aime tellement fort.
Et la relation qui naît entre son frère et lui est tellement belle
Après
À l’annonce du sexe pour Porcinet j’avais eu le cœur serré et j’ai pleuré en sortant du cabinet de la sage-femme. Je souhaitais une fille, déjà pour ma première grossesse, et l’annonce d’un 2ème garçon a été difficile à digérer pour moi.
(Pas merci Ben Mazué pour la sortie du dernier album pendant ma grossesse, j’ai perdu 50L de larmes sur Cécile Gagnant juste avec le début « À toi la fille que j’aurai jamais »
)J’avais peur de moins aimer ce bébé. J’ai dû faire le deuil d’un prénom. D’une projection avec une fille. De mes idées de la relation qu’on aurai pu avoir.
Et maintenant qu’il est là, je ne m’imagine pas sans lui. Il n’aurai pas pu être quelqu’un d’autre, et je m’en fiche qu’il soit un garçon. Je ne regrette pour rien au monde sa venue et encore moins son sexe.
Il est tellement beau, doux, je l’aime tellement fort.
Et la relation qui naît entre son frère et lui est tellement belle
Après
Pensées sur une éventuelle future grossesse
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Maman du Viking (04/2022) et de Porcinet (06/2025)