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Mars 2024 - Japon
J'ai également terminé Tant que le café est encore chaud
- mimouche
- Pronoms : Elle
J'ai commencé Tant que le café est encore chaud mais je n'arrive pas à rentrer dans le livre en raison de la narration très "spectatrice" (impression sans doute majorée par le format de courtes nouvelles, j'avais eu exactement le même sentiment en commençant Au prochain arrêt que je n'ai jamais terminé non plus) et je n'ai pas trouvé Les miracles du bazar Namiya.
Du coup pour rester malgré tout dans le thème Japon, j'ai pioché dans ma pile à lire sur liseuse All the lovers in the night (De toutes les nuits, les amants pour la traduction française) de Mieko Kawakami dont le titre me faisait de l'oeil. Pour l'instant j'aime bien le style d'écriture et je suis intriguée. Ça me fait pas mal penser à Convenience Store Woman de Sayaka Murata qui m'avait beaucoup émue.
Du coup pour rester malgré tout dans le thème Japon, j'ai pioché dans ma pile à lire sur liseuse All the lovers in the night (De toutes les nuits, les amants pour la traduction française) de Mieko Kawakami dont le titre me faisait de l'oeil. Pour l'instant j'aime bien le style d'écriture et je suis intriguée. Ça me fait pas mal penser à Convenience Store Woman de Sayaka Murata qui m'avait beaucoup émue.
J'ai lu Les miracles du bazar Namiya
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- mimouche
- Pronoms : Elle
J'ai terminé aujourd'hui un livre sur la thématique, bien qu'il ne faisait pas partie de ceux proposés, après plusieurs abandons (Tant que le café est encore chaud, Au prochain arrêt, puis All the lovers in the night) : La bibliothèque des rêves secrets, de Michiko Aoyama.
Bon, c’est mignon et plein de bons sentiments. J’ai assez connecté avec le premier personnage, Nastumi, et je ne suis jamais complètement déçue des romans chorales. Mais c’est quand même vachement plat, répétitif et sans doute trop plein de bons sentiments. En plus l’écriture est remplie de biais sans doute culturels mais aussi/surtout très sexistes (les personnages féminins sont vraiment jugés sur leur apparence alors que ce n’est pas le cas pour les personnages masculins, par exemple), ce qui m’a passablement dérangée.
Je me suis fait la réflexion en lisant ce livre d’à quel point les romans japonais que j’ai lus au cours des dernières années tournent autour du monde professionnel, de la perte de sens du travail et de la souffrance au travail. Bon, je ne me base pas sur énormément de livres (Convenience Store Woman, All the lovers in the night, Le Cheminot, La papeterie Tsubaki, celui-ci…) Je ne sais pas dans quelle mesure c’est un biais dans ma sélection des livres ou vraiment une thématique centrale dans la littérature contemporaine japonaise (par rapport à comment elle est couverte dans la littérature contemporaine occidentale), et si c’est exclusivement lié à la culture du travail qui diffère ou d’autres facteurs.
Bon, c’est mignon et plein de bons sentiments. J’ai assez connecté avec le premier personnage, Nastumi, et je ne suis jamais complètement déçue des romans chorales. Mais c’est quand même vachement plat, répétitif et sans doute trop plein de bons sentiments. En plus l’écriture est remplie de biais sans doute culturels mais aussi/surtout très sexistes (les personnages féminins sont vraiment jugés sur leur apparence alors que ce n’est pas le cas pour les personnages masculins, par exemple), ce qui m’a passablement dérangée.
Je me suis fait la réflexion en lisant ce livre d’à quel point les romans japonais que j’ai lus au cours des dernières années tournent autour du monde professionnel, de la perte de sens du travail et de la souffrance au travail. Bon, je ne me base pas sur énormément de livres (Convenience Store Woman, All the lovers in the night, Le Cheminot, La papeterie Tsubaki, celui-ci…) Je ne sais pas dans quelle mesure c’est un biais dans ma sélection des livres ou vraiment une thématique centrale dans la littérature contemporaine japonaise (par rapport à comment elle est couverte dans la littérature contemporaine occidentale), et si c’est exclusivement lié à la culture du travail qui diffère ou d’autres facteurs.
- Ju'
- Mémétincelle
Je viens de finir Tant que le café est encore chaud...
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