@initials_bb

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@Ophélia 

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@Weena88

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@initials_bb le même ici ! Il chouine, il crie, il parle fort, fait plein de bruit, boudeur, et quand il a décidé qu'il ne voulait pas qu'est-ce qu'il peut être lent !!
Mais heureusement il est aussi adorable, plein d'humour (il me fait tellement rire que des fois c'est dur de le gronder), câlin . 

De toute façon ce n'est pas compliqué : je l'aime aussi fort qu'il me rend folle !!! 

@initials_bb Ici aussi on a le même genre de comportement

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@initials_bb mon fils (il vient d'avoir 4 ans) est pareil donc il y a certainement l'âge : opposition pour tout et surtout rien, chouine comme canal de communication, et négociation pour chaque instant. Je rentre ponctuellement dans des colères noires. Au quotidien j'essaie de beaucoup communiquer et anticiper pour éviter la crise. Tout va en revanche très bien quand il est en vacances (repos + peu de contraintes) ou en individuel (on en déduit qu'il est très jaloux ce qui est invisible sinon car il adore sa sœur ! ) On programme un suivi psy cette année car il nous bouffe la vie et gâche très souvent les bons moments en famille... il a aussi des angoisses et pas mal de petites obsessions et n'est clairement pas bien dans ses baskets.
Ici ce qui me sauve c'est beaucoup de soutien/coaching des collèges et copines + savoir que ma fille est top alors que petite c'était compliqué.
Et comme @Pouflinette je l'adore autant qu'il me fait vriller et ça je crois que c'est assez commun (mais pas facile !) notamment quand on retrouve des traits de caractère "problématiques " en effet miroir... chez moi c'est tout à fait ça ! Il a vraiment beaucoup de qualités qui comptent pour moi, je le trouve intelligent, sensible, généreux, attentionné, tendre, drôle et indépendant. Mais quelle vieille tête de mule vindicative et colérique imbuvable ! Tout le portrait de sa mère

 @initials_bb 

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@Tavalaric mon fils a eu une période l'année dernière où il nous disait/demandait je suis méchant moi. Et au cours de l'année je me suis rendue compte que c'était beaucoup plus prononcé quand il avait une certaine maîtresse (au début de l'année elles faisaient une semaine chacune et puis en février elles ont fait deux semaines d'affilées) et bizarrement cette année plus du tout. 

Et donc régulièrement quand on se fâchait après lui il nous répondait je suis méchant moi, alors que nous n'employons jamais cette formulation à la maison. 

@Magda je retrouve les mêmes qualités chez mon fils. Par contre c'est moins effet miroir car chez nous c'est ma fille qui est plus comme moi, et alors ça me fait vriller directe. Mais bon heureusement on a plutôt mon caractère donc au final ce n'est pas souvent.   

C'est assez compliqué pour moi aussi en ce moment avec les filles. Il parait que je râle tout le temps et en même temps hier soir AL m'a demandé pourquoi j'étais contente et rigolais plus ces derniers jours. (je lui ai répondu que je suis dans la phase fin d'été de mon cycle  ).
Alors oui, il y a des moments où je suis détendue, on rigole, je joue avec elles, je suis détendue sur certains sujets et c'est vraiment chouette mais il y a aussi pleins de "petites" attitudes que je n'apprécie pas du tout (et dont je me sens responsable même si AL m'a aussi fait remarqué que je ne devrais pas dire que c'est de ma faute si "on" n'habille pas le pyjama quand tu le dis, c'est de notre faute... elle a raison mais je crois aussi que c'est parce que je n'ai pas l'autorité qu'il faudrait / mis en place des rituels efficaces / ne montre pas le bon exemple). Bref, que des sujets de tensions classiques mais maintenant que je suis seule adulte à la maison ça devient parfois dur à gérer. Peut-être que je devrais aussi accepter de revoir certaines exigences à la baisse et me dire que ça viendra avec le temps... mais AL va avoir 10 ans et je trouve ça vraiment désagréable qu'elle mange accroupie sur sa chaise et ne reste pas assise tout le repas (et pourtant c'est plat unique pas entrée-plat-fromage-dessert comme dans mon enfance), picore avec les mains...
J'ai acheté le livre de Kazdin "Élever un enfant qui s'oppose". Il faut que je le lise et passe à l'action pour changer les habitudes. Elles n'ont pas de mauvaises volontés du tout, mais pas de bonnes habitudes et je vois bien que ça empire un peu (par exemple maintenant AL m'emprunte mon téléphone pour faire un jeu dessus ou écouter des podcasts. Ce n'est pas très grave mais au départ elle me demandait ou me le piquait car elle me voyait jouer maintenant elle le fait sans me demander. Personne ne met la table ni ne débarrasse, les vêtements sont laissés au sol, elles ne préparent pas leur boite à gouter alors que c'était un petit objectif à la rentrée, il faut appeler 50 fois pour les douches et chaque étape du matin et du soir, elles demandent au lieu de se bouger pour chercher quelque chose, ramasser un jouet par terre, (à part pour picorer de la nourriture, là elles arrivent à ouvrir le frigo ou les placards), etc.)
Je vois bien que je m'épuise ou à minima m'agace et puis je ne trouve pas ça très bon pour elles, pour leur croissance personnelle d'être passives dans le quotidien, de ne pas savoir mettre de côté l'appel de la dopamine et mettre en pause un jeu pour rendre un service ou faire une chose nécessaire et obligatoire. Elles en sont bien sûr tout à fait capables, j'ai la chance de n'avoir aucun retour négatif à l'école mais justement si dans le cadre scolaire ça roule, j'aimerais bien qu'à la maison elles aient de meilleures habitudes, même sans l'autorité d'un père.
Je ne doute pas qu'à terme elles deviendront des adultes capables et responsables mais en attendant le quotidien c'est chaud alors que moi j'arrive à un stade de ma vie et un âge où j'ai très envie et besoin de reprendre du temps pour moi, pour des objectifs et des projets qui me plaisent... et pas vraiment de passer 30 minutes à monter en pression parce que personne ne se prépare pour le soir alors qu'il est tard, ou me faire mal au dos en essayant d'habiller en force/portant des bébés qui n'en sont plus.

Je m’incruste car ma fille pour le moment n’est pas en capacité de geindre, mais sait-on jamais si ça peut aider : j’avais entendu dans un podcast (la matrescence, elle faisait un épisode sur le livre Good Inside) que sa technique quand sa fille faisait ça et la rendait dingue c’était de lui dire : « j’adore quand tu me parles mais avec ta voix puissante ».
Ça peut peut-être se tenter, en donnant un défi à l’enfant ?
Bon courage

Mine de rien, nos derniers gros fous rires avec les filles c'est quand j'ai fait des voix chelous pour "m'entrainer" au théâtre. Peut-être que j'aurais plus de réponses si je demande avec des voix rigolotes ou en parlant comme un robot... il parait que mettre du jeu dans la vie ça motive bien les enfants, mais clairement des fois je n'ai juste pas envie de jouer (mais j'essaye, et souvent si je lance un jeu/course il y en a au moins une qui refuse et boude... peur de perdre, repérage de l'entourloupe ? ).
 

Ça me fait rire, je vous vois parler de la voix de robot, en ce moment c'est ma botte secrète, ça marche à tous les coups, si c'est maman qui demande on s'en bat l'oeil mais si c'est le robot qui demande alors là on est ok pour aller à l'école, mettre son manteau, ses chaussures et j'en passe...et depuis qu'on a vu le robot sauvage poke @Kettricken (mais quel beau film ) ça l'a grave relancé, il parle de robots 100 fois par jour, à moi la tranquilité jusqu'à l'école primaire

Ce soir j'ai commencé à parler comme une snob, à vouvoyer chacune, à les appeler mademoiselle et utiliser un langage soutenu. AL est totalement rentrée dans le jeu et s'est très bien comportée à table et ensuite.
Les autres ont suivi le mouvement mais sans apprécier autant le comique de la situation.

Mon aîné est pénible à vivre aussi, pour dire ses surnoms c'est Relou (de son père) et Grognard (de son grand-père). Bon je suis contre les surnoms, mais j'avoue qu'il y a des jours où c'est une position dure à soutenir tellement il est chiant. Sa capacité à râler est légendaire. Je crois que j'avais raconté la fois où, quand on lui a annoncé qu'on allait passer la journée dans un parc d'attraction, il a râlé parce qu'il aurait voulu aller dans un autre parc d'attraction, il a un don pour gâcher tous les moments. C'est l'origine principale de la séparation d'avec mon conjoint, pour ma part.

Enfin ça c'était avant, parce qu'après la consultation de 3 psys, j'en est enfin trouvé une qui d'une manière ou une autre a réussi à infléchir un peu le problème. Il reste râleur, mais quand même moins et semble limite se rendre compte lui même qu'il abuse. Il va avoir 8 ans.

Après cette première partie d'enfance, j'espère bien qu'il ne fera pas de crise d'adolescence !

J'ai la meme technique que toi @Eliza    Sinon moi aussi j'ai un enfant "sensible" (je me sens toujours mère gnangnan quand je dis ça, on dirait que je l'excuse d'etre chiant   mais en meme temps c'est la définition parfaite de son caractère, le type est sensible à son humeur. Donc s'il a mal dormi/a faim/est fatigué il est infect, et quand il est de bon poil c'est juste un soleil) qui geint facilement. On a passé tellement de temps à etre aux aguets sur son rythme tellement ça impacte son humeur... En classe ça fluctue beaucoup, il peut etre adorable et adapté tout comme il peut etre infernal et désagréable avec tout le monde. Il est hypersensible à l'ambiance et au groupe, avec des gens calmes il va etre posé (à la maison, hors conflits frères/soeurs il est très cool) avec des gens excités il va etre énervé et chiant. J'imagine parfaitement comment ça doit se passer dans la classe   Limite le matin je préviens la maitresse de son heure de réveil : "oups désolée il risque d'etre relou aujourd'hui...".

@Albert

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Pour les geignements qui me crispent autant que vous pouvez l'imaginer, il n'est pas rare que je le tourne en dérision (oui c'est pas très parentalité positive). Je lui dis "tu crois vraiment qu'en faisant une crise tu vas obtenir un xième gâteau? hahaha". Pas sur un ton méchant, mais vraiment juste pour désamorcer, et du coup il lâche souvent l'affaire car il voit bien qu'il n'arrive pas à prendre le dessus sur moi en m'énervant. Quand son père est présent on en rit ensemble, il se vexe, part dans sa chambre 30 secondes en mode théâtral, puis revient à table l'air de rien et redevient comme d'habitude. C'est franchement comique.
À côté de ça j'ai une vraie écoute, je nomme et reconnais ses émotions lorsqu'il est victime d'une injustice ou d'une situation qui le blesse, et je m'excuse lorsque je suis impliquée, mais je fais une grosse différence entre ce type de situation (assez rares heureusement) et les moments de la vie quotidienne où il essaye simplement de nous tester et d'exercer son influence, et où le fait de tourner en dérision certaines de ses tentatives est franchement salutaire, pour nous comme pour lui (je pense que cela lui apprend à rire de lui-même, et à ne pas non plus avoir un ego hypertrophié. Vu qu'il est fils unique je ne peux pas compter sur ses frères et soeurs pour faire le job, alors je le fais moi-même. Attention je ne pense pas du tout que les enfants uniques ont des problèmes d'ego, en revanche je constate qu'ils ont souvent davantage d'attention et de temps de la part des parents et de la famille élargie, et je vois ça comme un risque de s'habituer à trop de sollicitude de la part des autres, et de moins savoir s'adapter à certaines situations sociales un peu moins bienveillantes disons.)

@Albert mon grand de 5 ans suit ses traces je crois. Il est assez rabat joie c'est bien chiant. Cet été, à chaque fois qu'on lançait le mouvement pour aller à la plage, y'avait mon fils qui systématiquement ne voulait pas y aller ... 30 min de négociation tous les jours pour aller à la plage . Je me demande si je suis pas un peu comme ça aussi

On a eu une année hyper dure avec mon grand. Toute sa première année à l'école l'avait bien fatigué et il gère clairement mal le manque de sommeil. Il pète des câbles, hurle pendant 45min sans s'arrêter. Clairement on était à la ramasse pour le gérer et au final surtout moi vu que je suis l'heureuse personne qui gère les soirées. La relation avec mon mec en a également pâti...  En septembre, je me rappelle du premier WE après la rentrée, j'avais qu'une envie : claquer la porte et plus jamais revenir, j'en parle à mon mec qui me dit que ben lui depuis la matinée il a envie de chialer et qu'il est à 2 doigts aussi d'aller chercher du lait et de plus revenir... Là je me suis dit que c'était plus possible. J'ai un peu remis les pendules à l'heure avec mon grand (en mode "c'est triste mais on n'en peut plus de toi, faut que ça change"). Ça + du renforcement positif + dormir un peu plus et au final ça s'est calmé un peu en octobre. Le temps de se réadapter à l'école et au manque de sieste quoi...
J'étais prête à prendre RDV chez le psy avec lui pour essayer d'avoir des pistes et de comprendre un peu comment le faire redescendre, comment lui expliquer qu'on est peut être pas obligé de se laisser autant emporter par ses émotions mais bon, j'ai mis le projet en standby pour l'instant. Je m'y repencherais à ses prochaines crises.

A côté de ça mon deuxième est tellement plus facile Je culpabilise de penser ça mais à la fin du congé mat de mon grand (et du télétravail à cause du covid), j'avais qu'une envie c'était de retourner au boulot, tous les WE c'était l'angoisse parce qu'il fallait le gérer, alors qu'en vrai même s'il a toujours été dans l'opposition, il était pas non plus terrible... Mais quand je vois mon cadet qui est un rayon de soleil, pas du tout sauvage, charmeur +++, lui vraiment, reprendre le taf à ses 3 mois, c'était un crève coeur ... Après mon cadet aussi est dans sa phase un peu d'opposition, il a eu 2 ans, il a un bon caractère aussi mais tout est tellement plus SIMPLE avec lui. Ses crises durent pas 45min, t'as pas envie de claquer la porte et de ne plus jamais revenir, t'as envie de rentrer chez toi quoi.

Bref, mon grand grandit, j'espère qu'il va être plus "ouvert" un peu à tout ça. Il a énormément de qualité, à côté de ça c'est un ange mais pfiou...

J'en peux plus non plus de ma fille. Elle ne voit que le négatif, parle en geignant sans arrêt, ou de façon agressive notamment à son frère.

Sa phrase fétiche c'est "mais le problème c'est que..." (j'exagère à peine mais quasi 50% du temps quand elle s'adresse à nous ça commence comme ça).

Et c'est à la fois anodin et très pesant. A savoir, je n'arrive pas avoir des conversations "normales" avec elle. Je rêvais peut-être trop, mais par exemple elle n'a jamais eu de phase des pourquoi, qui peut être soulante mais permet d'aborder plein de sujets. Je n'arrive pas à aborder des sujets variés, savoir ce qu'elle pense etc. Elle ne montre aucune curiosité. Si je lance un sujet soit elle ne répond rien soit ça dévie très vite sur un problème... Elle a quand même 6 ans, j'imaginais qu'à cet âge on pourrait parler de plein de choses, mais pas du tout. Je n'arrive pas à trouver la bonne façon...

Exemple ce soir : comme elle nous avait encore une fois raconté un truc qu'elle avait subi à l'école hier, je lui avais demandé ce matin de retenir 2 belles choses de sa journée. Ce soir je la récupère. Je lui demande si elle a eu 2 bons moments aujourd'hui.
Réponse : 10 secondes top chrono : j'ai parlé avec X de la soirée pyjama + j'ai joué avec Y.
Puis pendant 15 minutes "mais le problème c'est que... Y avait apporté un gâteau (pour l'anniversaire) mais il était trop mou et la maîtresse n'a pas pu le couper et on n'en a pas mangé etc. Et Z m'a dit ça et ça et j'ai pas pu jouer avec eux, et elle s'est moquée etc.
J'ai essayé en vain de la remettre sur les sujets agréables, impossible. J'ai fini par lui expliquer qu'à force de ressasser ça entretient la tristesse et que ça lui ferait du bien de parler aussi de ce qui va bien, ou de sujets divers.

Par ailleurs, elle papillonne énormément, et sans que ce soit de la mauvaise volonté, toute demande du quotidien est un combat. Elle est très peu attentive aux autres, à ce qu'on lui dit, à notre présence.
Et tout refus de ma part est négocié avec des trémolos (alors qu'on n'a pas l'habitude de céder)

Et en fait c'est trop, je n'arrive plus. Je lui parle de façon énervée beaucoup trop souvent. Je n'arrive pas à redescendre en pression et à prendre les choses avec du recul.
J'avais en tête qu'il fallait beaucoup répéter pour que les enfants intègrent les choses. Mais au bout d'un moment j'ai l'impression que c'est presque contre-productif. Par exemple je la reprends chaque fois qu'elle prend sa voix geignarde. Mais je suis de plus en plus agacée donc au final je la houspille sans arrêt. Et ça ne marche pas mais je n'arrive plus à faire autrement. Et je n'arrive pas à laisser passer non plus. Donc c'est le cercle vicieux.
Je me demande même si ça ne participe pas à ses déboires à l'école, à force d'être dans un climat d'énervement constant, est-ce qu'elle accepte des choses de ses copines qu'elle ne devrait pas ? Ou est-ce qu'elle-même est vite énervée et "faiseuse de leçon" comme nous, et que ça impact ses relations avec elles ?

Bref, je n'arrive pas à redescendre ni à trouver le bon angle, la bonne façon pour renouer vraiment avec ma fille. Et comme ça dure depuis longtemps, j'ai peur que ça nous éloigne, qu'on n'arrive pas à avoir une relation sereine plus tard...

@Sylvie
Je compatis, mes aînés ont très longtemps, vraiment très longtemps, eu cette tendance à faire leur Calimero Donc, je compatis.
Ici, j'ai intégré dans le rituel du soir de dire une chose qui les a contrarié et deux choses positives.
Avec l'ergothérapeute de LutinCoquin, on a commencé un carnet des victoires et fiertés, chaque soir, il fallait trois choses.

Peut être que le formaliser comme ça avec ta fille, dans un joli journal, vous permettrez à toute les deux de prendre du recul.
Sinon, je suis en train de lire un essai de psychologie sur le mal-être, et il y a un paragraphe sur les neurones miroirs, peut être que ça pourrait être une piste à creuser
Bref, bon courage, 6 ans, c'est jeune encore, moi aussi, je pensais avoir plus de discussion avec mes enfants à cet âge

@Sylvie ce que je fais avec mon fils quand il est dans ses moments geignard je l'ignore. Je ne lui réponds pas tant qu'il me parle comme ça.

Je lui dis tant que tu parleras comme ça moi je ne t'écouterai pas. Parce que pareil sinon on passe son temps à être énervé contre lui.

Bon courage.