J'apporte un léger contrepoids : enfant, j'adorais aller au restaurant ! Bon j'étais une enfant "sage", tout à fait capable de rester à table quand on était au restaurant en vacances, c'était souvent là où on y allait sans autre enfant que moi ou mon frère, et j'adorais déjà découvrir des nouvelles saveurs que celles préparées par ma maman. Quand il s'agissait de grande tablée entre amis, j'avoue que c'était plus long, plus difficile à endurer... Et donc, que faisions-nous ? On sortait de table évidemment
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Mais du même avis que
@Agnies , il y a bon nombre de soirées où les adultes nous ignoraient, qu'on s'ennuyait, qu'ils ne voulaient pas rentrer parce qu'il fallait rentabiliser la soirée, et c'était plus proche de l'enfer que de la soirée amusante avec des nouveaux amis temporaires. Il y a des soirées que j'aurais aimé ne jamais avoir connu, pas parce que c'était TW, mais parce que
c'était nul. J'aurais préféré être ailleurs comme dans mon lit, parce que je n'y avais pas ma place. Nous étions les satellites obligatoires de mes parents, et c'était souvent soit d'un ennui mortel, soit d'un enfer pur et simple.
Par conséquent, questionner la légitimité d'imposer les uns aux autres, je pense que c'est un pas en avant. Sujet clivant, certes, je pense que si un enfant s'amuse, un adulte meurt intérieurement. Si un adulte s'amuse, un enfant meurt intérieurement. Que les soirées entredeux ne sont pas si courantes que ça.