Cet été, j'ai lu Une sirène à Paris de Mathieu Malzieu.

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Jacaranda de Gaël Faye, et j'arrive à relire, wouhou !

J'ai lu Le destin d'Anjali de Hema Macherla.

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Je viens de terminer 2 livres

Le goûter du lion, de Ito Ogawa
Shizuku a 33 ans et elle a un cancer incurable. Elle décide de passer ses derniers jours à la maison du Lion, sur l'île aux citrons. Dans ce roman plein de vie et d'entrain, on fait la connaissance des autres pensionnaires de la maison. Cette résidence est destinée aux personnes en fin de vie, mais c'est très loin d'être un hôpital ou une maison de retraite. C'est plutôt une résidence tout confort où les pensionnaires vivent au mieux leurs derniers instants. L'accent est mis sur le bien être, la nourriture succulente et l'accompagnement très humain. La mort est traitée avec douceur et poésie. C'est un roman touchant sans être larmoyant. C'est aussi un livre plein de gourmandise !

Méditerranée de Aurel
La Méditerranée ou les Méditerranées ? Quelle est donc cette région, ses frontières, sa culture, son histoire ? Dans cette bande dessinée, l'auteur s'interroge et interroge des spécialistes sur la richesse de cette région qui rassemble 3 continents, des langues et religions diverses, des histoires et une cuisine commune. J'ai appris beaucoup de choses, c'est très dense et je pense que je la relirai pour assimiler encore plus de choses. J'ai adoré voyager dans cette culture aux multiples facettes

J'ai fini Le harem du roi, de Djaïli Amadou Amal, et j'ai adoré !
L'histoire se passe au Cameroun et suit un couple perçu par tout le monde comme très moderne : le mari est médecin, sa femme est enseignante, et surtout, ils ont un mariage monogame (ce que les amis du mari ont du mal à comprendre). Sauf que Seini, le mari, vient d'une famille un peu particulière : son père, puis son oncle, ont été lamido, les rois de chefferies locales traditionnelles. Quand son oncle meurt, Seini décide d'être candidat pour le remplacer, parce qu'il souhaite amener le lamidat dans la modernité.
C'est un roman qui explore le poids des traditions, qui pèsent sur tous les personnages, même ceux qui ont envie d'être les plus modernes. Je l'ai lu en très peu de temps, et j'ai beaucoup aimé que les personnages ne soient pas complètement manichéens : on suit essentiellement le point de vue de Boussoura, l'épouse de Seini, mais pas que, et en plus d'être intéressant, c'était très émouvant.

Là, je démarre Les hommes manquent de courage, de Mathieu Palain, sur la relation d'une mère et son fils adolescent qui n'arrivent plus à se comprendre. Ils partent ensemble sur un coup de tête, et c'est l'occasion pour Jessie, la mère, de faire une vraie introspection sur sa jeunesse et son éducation, bref : tout ce qui les a amenés tous les deux à un point de non-retour. J'en suis à peu près à la moitié, et je trouve ça plutôt bien écrit !

J'ai lu La famille de Naomi Krupitsky.

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Je commence novecento : pianiste de Alessandro Barrico

L'histoire d'un pianiste qui n'a connu que la traversée de l'Atlantique. Il ne joue que sur un bateau. Il n'a jamais mis pied à terre.

Pour l'instant c'est captivant.

J'ai lu Les simples de Yannick Grannec.

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J'ai repris mon intégrale de Balzac entre deux romans pour le challenge, pour terminer La muse du département qui attendait depuis longtemps, puis enchaîner avec Le lys dans la vallée, un roman que je crois avoir lu plusieurs fois mais dont je ne me souviens jamais.

Et ben, il y va fort avec "la femme de province" ! C'est presque une espèce à part entière sous sa plume. Les deux textes sont fort bien écrits, j'ai même appris un mot : immarcessible, mais l'histoire n'a rien d'original.

À part ça, je suis ravie d'avoir trouvé un titre pour la catégorie " Une femme de plus de 50 ans qui n'en à plus rien à foutre".

Après une file de lectures plates ou décevantes, j'ai fini hier Les mangeurs de nuit de Marie Charrel, que j'ai beaucoup apprécié. 
La langue est soignée, avec quelques beaux passages que j'ai relus. On suit le destin croisé d'un homme blanc (un creekwalker, fils d'un blanc et beau-fils d'une autochtone) et d'une femme fille d'immigrés japonais, au Canada, dans l'avant et après seconde guerre mondiale. Chacun d'eux porte les légendes soufflées par leurs parents lors de leur enfance. 
J'ai découvert l'histoire des immigrés japonais au Canada dans ce contexte (racisme et mise en camp d'internement) que j'ignorais absolument. 
https://www.babelio.com/livres/Charrel- ... it/1468845

@triste-songe J'avais bien aimé aussi Elles n'avaient jamais vu la mer.