Challenge lecture 2025

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Clémentiine
Bébétincelle
Bébétincelle

@Gingerbraid je l'ai en epub, si tu veux demain je le mets dans la boîte à livres :fleur:
Tu vas voir les scènes défiler au fur et à mesure c'est vraiment plaisant, j'espère que ça te plaira !

Edit : mis dans "livres hors liste"
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Cooky

C'est l'heure du bilan de juillet ! En trame de fond, il y avait Le prieuré de l'oranger avec le club de lecture, qui m'a bien occupé. Ça s'est joué de peu que je réussisse à le finir sur le mois, mais je me suis laissée distraire par des BDs et des mangas que je lisais à côté, et qui ne rentrent pas tous dans des catégories du challenge.  :coiffe:

L'arabe du futur, T.4 - Riad Sattouf : 11 - Un livre avec un twist final de folie.
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Moi, ce que j'aime, c'est les monstres, volume 2 - Emil Ferris : 47 - Un livre avec une femme louve-garou.
J'avais adoré le premier, et j'avais hâte de découvrir celui-ci, encore une fois les illustrations sont des chefs-d’œuvre !  :puppyeyes: J'ai entendu dire que l'autrice met en moyenne deux jours de travail acharné pour dessiner une seule page, alors quand on voit les pavés de plus de 400 pages qu'elle réussit à créer, ça force l'admiration.
Dès le premier tome, l'héroïne, Karen, s'imagine sous les traits d'un loup-garou détective, mais c'est dans ce deuxième volume que cette idée prend le plus d'ampleur, avec des scènes de transformation et de destruction vraiment effrayantes !

Bowie - Fran Ruiz & Maria Hesse : 51 - Musique.
Un livre entre la BD et la biographie illustrée, j'adore le style de Maria Hesse, l'illustratrice, et ça m'a permis de mieux connaitre un artiste dont finalement, je ne connaissais que les plus grands tubes.

La langue des choses cachées - Cécile Coulon : 82 - L'intrigue se déroule la nuit.
Première découverte de cette autrice dont j'ai beaucoup entendu parler, j'ai été bluffée par sa plume !

The Promised Neverland - Kaiu Shirai & Posuka Demizu : 95 - Manga.
J'avais commencé la série il y a plusieurs années et j'avais adoré. J'ai repris du début et j'ai du me forcer à m'arrêter après le tome 8 pour faire une pause et reprendre Le prieuré de l'oranger, parce que j'en étais à un tome par jour  :lol:
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triste-songe

bilan de Juillet (4)
70. Un livre dont tu as d'abord aimé l'adaptation en film/série
Kaamelott livre VI partie 1, Alexandre Astier
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54. un roman young adult
Les coquillages ne s’ouvrent qu’en été, Clara héraut
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74. Livre que tu voulais lire l'année dernière (dans la catégorie Jeux de société)
Humans and offices, Roope Eronen
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22. Un livre où l’auteur a inventé une langue
Zazie dans le métro, Raymond Queneau
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Et la mandoline jase
Parmi les frissons de brise...
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Gingerbraid

Oh merci beaucoup @Clémentiine !! :cupidon:
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triste-songe

BILAN DU MOIS D’AOÛT (+5)
Kaamelott Livre 6 Livre avec un twist final de folie
Ce livre ponctue la fin de la série télé de kaamelott. Il s’agissait de la toute fin de la série télé. Il y a un préquel et la toute fin se passe dans le présent. On comprend tout, ça fait vraiment plaisir de tout revoir.
 
Chacun son chat de Phillipe Geluck 83. Livre dans lequel les animaux sont importants 
Des planche humoristiques. Vite lu, pas spécialement mémorable. Néammoins ce livre m’a permis de faire connaissance avec l’univers de Phillipe Geluck
 
Zaï Zaï Zaï de Fabcaro Un classique de bd
BD humoristique qui traite du traitement par les média d’un fait divers inventé ; ça m’a beaucoup plu et je regarderais plus les infos de la même façon.
 
T’inquiète de Fabcaro et al. 51. Musique
BD humoristique sur un groupe de musicien farfelue qui décide de se réunir à nouveau après plusieurs années.
 
Femme Vie Liberté de Majiane Satrapi et coll. 27. Un roman essai iranien sous forme de roman graphique
Un collectif de spécialistes de l’Iran et de dessinateurs ont décider de signer cet ouvrage en soutien au mouvement « Femme Vie Liberté » né suite au décès de Mahsa Amini sous les mains de la police des mœurs.
Ce livre traite de la révolte, de la vie des iraniennes dans leur pays mais aussi de ceux et celles qui ont fuit, « la diaspora », présente les victimes . Pour moi c’était un geste politique de lire cet ouvrage.
Malgré quelques passages un peu longs et dificile à suivre, j’ai aimé apprendre des choses sur l’Iran.


Des mois chargés arrivent et je vais lire un peu moins. J'ai déjà programmé 2 lectures pour les mois à venir. On verra.
Modifié en dernier par triste-songe le 02 sept. 2025, 09:12, modifié 2 fois.
Et la mandoline jase
Parmi les frissons de brise...
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Cooky

Bilan du mois d'août :
Je n'avais pas lu autant depuis janvier où j'étais au chômage ! Ça aide de rester à la maison pendant que tous les potes sont partis en vacances  :coiffe:
Le Prieuré de l'oranger, de Samatha Shannon : 7 - Un livre SFFF écrit par une femme.
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Yellowface, de R. F. Kuang : 8 - Un livre dont le personnage principal est détestable, mais finalement on le comprend.
Lu pour le club de lecture d'août, et plutôt une bonne découverte ! On n'excuse vraiment pas la personnage principale, mais elle passe tout le roman à essayer de se justifier et se trouver des excuses, donc il rentre quand même bien dans le thème.
Les coquillages ne s'ouvrent qu'en été, de Clara Héraut : 40 - Un roman bienveillant et qui redonne foi en l'humanité.
Lu pour le club de lecture estival ! Bon, la catégorie est peut-être un peu trop enthousiaste, mais comme souvent, Clara Héraut porte vraiment un regard très compréhensif sur ses deux personnages principales. J'ai vraiment aimé suivre ces deux sœurs qui n'arrivent plus à se comprendre parce qu'elles sont toutes les deux enfoncées dans leurs préoccupations.
Jacaranda, de Gaël Faye : 55 - Un livre écrit par un auteur connu pour autre chose.
On suit Milan, franco-rwandais, qui essaie de comprendre son histoire familiale alors que sa mère refuse de lui parler du génocide du Rwanda. J'ai adoré !
La librairie des livres interdits, de Marc Levy : 63 - Un livre avec un titre qui claque.
Lu parce qu'on me l'a offert, et franchement à part le titre... :lol:
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Maus, d'Art Spiegelman : 75 - Un livre sur ma PAL depuis longtemps.
On me l'a recommandé comme un des chefs-d’œuvre de la bande-dessinée depuis bien 10 ans, mais je n'avais jamais eu l'occasion de le lire.
J'ai beaucoup aimé l'écriture, mais je suis moins fan des dessins... Le trait est parfois trop stylisé pour moi : ça ne me dérange pas pour les moments les plus difficiles, notamment dans les camps, parce que ce serait trop dur à voir autrement, mais partout ailleurs dans la BD, ça coince... À cause de ça, j'avais souvent du mal à différencier les personnages par exemple.
Où vont les larmes quand elles sèchent, de Baptiste Beaulieu : 80 - Sciences ou technologie.
Carnet de bord d'un médecin généraliste, il est souvent confronté aux limites de ce que la médecine peut faire et soigner : c'est très émouvant !

J'ai maintenant coché 47 catégories, et je me rends compte que j'aurais sûrement pu viser plus loin que mon objectif de 50  :sweatdrop:
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Octavienne

Le bilan du mois d'août et dernière ligne droite pour le challenge ! J'ai lu 31 titres dans ma thématique depuis janvier, pas sûr que j'atteigne les 50...

Michiko Aoyama - La Bibliothèque des rêves secrets (31. Un livre feel-good) : Les individus qui poussent la porte d'une discrète bibliothèque dans un centre social de quartier ne s'attendent pas à ce que toute leur existence en soit bouleversée… Sur le principe de Chats sur ordonnance et beaucoup d'autres romans du même acabit, de simples employés ont besoin d'un coup de pouce pour se diriger vers une existence plus satisfaisante. Je me suis bien identifiée à tous les personnages, je ne m'attendais pas à un discours aussi féministe avec la jeune mère de famille obligée de sacrifier sa carrière, ou l'allusion bienveillante à un handicap invisible qui rend inapte à un travail "normal". A chaque fois, j'ai été surprise par la tournure des événements et finalement touchée.

RF Kuang - Babel (52. Dark académia) : Robin est sauvé d'une épidémie en Chine par un mystérieux protecteur. Direction l'Angleterre, où son talent pour les langues est vivement recherché. Lorsqu'il intègre l'Institut Royal de traduction à Oxford, on comprend que c'est Babel qui tire les ficelles de la société et dicte l'équilibre des relations internationales. Mais bon, c'est long, les personnages pas assez développés et le système de magie tout de même fort tiré par les cheveux...

Mo Xiang Tong Xiu - Le grand maître de la cultivation démoniaque (63. Un livre avec un titre qui claque) : Nécromancie et romance gay. Premier tome d'une série sympa à lire mais impossible de me souvenir de tous les noms des personnages, sauf les deux principaux. J'ai l'impression qu'ils s'appellent tous Jean-Claude ou Jean-Pierre, version chinoise…

Durian Sukegawa - Les délices de Tokyo (61. Un livre sans romance) : Sentarô n'est pas passionné par son boulot de vendeur de dorayaki, une pâtisserie à base de haricots rouges. Il accepte d'embaucher Tokue, une vieille dame étrange, qui relève aussitôt le niveau de la boutique. Le passé de chacun ressurgit et on découvre un épisode peu glorieux du Japon dans sa façon de traiter une catégorie de population.

 
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mimouche
Pronoms : Elle

Bilan du mois d'août par ici aussi :hello:

67. Une pièce de théâtre : Le songe d’une nuit d’été, car j'ai eu très envie de le relire après Station Eleven et je trouve que ça va bien avec l'ambiance du mois d'août.

17. Un livre qui parle de parfums : Greta et Marguerite, Kalindi Ramphul
J’ai bien aimé la manière dont c’est écrit, c’est assez organique avec plein de références à des odeurs (ou des parfums), des couleurs, des sensations physiques. Mais pas entièrement convaincue par l’intrigue, j’ai régulièrement l’impression de petites incohérences (anachronismes, etc).

60. Un livre qui se passe dans un café, un bar ou un restaurant : Arrête avec tes mensonges, Philippe Besson
J'ai passé un bon moment, l'écriture était très fluide et agréable.

71. Un livre que tu relis après un premier abandon : Les Maîtres enlumineurs (tome 1), Robert Jackson Beckett
Je l'ai commencé en début d'année, puis abandonné, puis repris, ré-abandonné, re-repris... Sur le papier ça avait tout pour me plaire, avec un système magique bien construit et de chouettes personnages féminins, mais je n'ai pas entièrement accroché. Peut-être l'ambiance trop "urbaine", ou le fait qu'il y ait beaucoup d'action mais peu de description. J'ai vraiment galéré à le terminer même si je suis contente de l'avoir lue ; je ne continuerai pas la saga.

87. Livre/roman jeunesse : Les coquillages ne s’ouvrent qu’en été, Clara Hérault
Lu dans le cadre du HS saisonnier.

Bilan global
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Clémentiine
Bébétincelle
Bébétincelle

57. États de conscience modifiés Des fleurs pour Algernon - D. KEYES
Lu dans le cadre du club de lecture. J’ai eu beaucoup de mal à entrer dedans mais je trouve que le sujet traité est super intéressant et pas évident à mettre par écrit.

17. Un livre qui parle de parfums Avril enchanté - E. VON ARNIM
Lu dans le cadre du club de lecture « HS printemps ».


79. Livre dans lequel l’heure est importante Formica - FABCARO
 Un repas de famille avec l’humour de Fabcaro. Une régalade !


25. Un roman qu'on a envie de lire à la plage Tu mourras moins bête, T3 - M. MONTAIGNE
Typiquement le genre de livre que j’aime lire en vacances : c’est léger et on peut s’interrompre toutes les 2 pages pour discuter avec sa famille, manger du melon, chasser un moustique, ou mieux, partager sa lecture et rire ensemble sur les dessins ou les textes.


16. Un livre qui fait pleurer Les coquillages ne s’ouvrent qu’en été - C. HERAUT
Lu dans le cadre du club de lecture. Une très belle histoire.


78. Croyances Les hommes et le féminisme - F. DUPUIS-DERI
Lu pour le club de lecture « essai ». Mis là parce que j’aimerais y croire mais en pratique ça semble tellement utopique...

Mémo : 62%
ABC : 19/26
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Octavienne

Et voici la fournée de septembre :

Team Banmikas - Le Capital ( 4. Un roman graphique d'une oeuvre classique) : La fameuse adaptation en deux tomes du Capital de Marx ! Romancée à fond mais l'analyse de l'exploitation de la force de travail est bien là. Je n'ai pas l'habitude de lire des mangas alors j'ai apprécié de le lire dans le sens occidental.

Ch'ôn Myônggan - Une famille à l'ancienne (64. Un livre au titre trompeur) : Trois quinquas paumés retournent vivre chez maman pour continuer cahin-caha leur vie de râtés. Ce roman aurait pu être assez réjouissant, je l'ai d'abord trouvé vulgaire et consternant, puis assez déprimant car raconté du point de vue d'un personnage dépressif, admirateur d'Hemingway.

Chitra Banerjee Divakaruni - Maîtresse des épices (17. Un livre qui parle de parfums) : Tula est une magicienne d'un genre particulier : vissée à sa petite boutique, elle propose des épices adaptées aux soucis des personnes qui viennent la voir. Elle a du renoncer à son apparence de jeune femme et s'est engagée à ne pas s'impliquer outre mesure dans la vie des gens, un contrat peu tenable sur le long terme. Je me suis forcée à le finir, le début était poétique mais alors l'histoire avec le gars mystérieux qui débarque pour raconter sa vie...


Kim Dong-Ri - La chamane (78. Croyances ou religions) : Un jeune homme retourne chez sa mère, chamane réputée, après dix ans d'éducation dans un temple bouddhique dont il revient converti au christianisme. Incompréhension mutuelle ! J'ai beaucoup aimé ce livre, entre roman social et observations ethnologiques précises, même si ça tourne au procès du chamanisme…

Bulbul Sharma - Maintenant que j'ai cinquante ans (5. Un livre dont la protagoniste principale est une femme de plus de 50 ans qui n'en a plus rien à foutre) : Recueil de nouvelles indiennes explorant différents profils de femmes arrivées à la cinquantaine, un passage délicat dans un pays où leur valeur repose sur leurs qualités d'épouses et de mères. J'ai aimé qu'il n'y ait aucun jugement, certaines aiment vieillir, recherchent l'indépendance, et d'autres non.

 
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mimouche
Pronoms : Elle

Petit bilan de septembre (et du 1er octobre !) pour 35 livres lus cette année

10. Un huis clos : Dans la mansarde, Marlen Haushofer - Dans le cadre du club de lecture

20. Un livre afrofuturiste : La cinquième saison, NK Jemisin
C'était super, j'ai adoré l'univers, les personnages, le système magique et je prévois de continuer la saga une fois les lectures que j'ai planifiées (le dernier RF Kuang, le thème de septembre, le HS saisonnier et les deux derniers livres de la saga des éléments de John Boyne) seront terminées.

28. Un livre où la ville (où se situe l'action) est centrale : La vie mensongère des adultes, Elena Ferrante, où Naples est effectivement centrale
Je suis plus facilement entrée dans ce livre que dans L'amie prodigieuse, avec des thématiques que j'aime : la transition de l'adolescence à l'âge adulte, l'émancipation familiale, la découverte de soi en tant que femme... Mais la fin m'a déçue (pour être exacte : elle m'a ENERVEE :mur: ) : j'espérais lire une histoire d'émancipation féministe et tout est tristement ramené au regard des hommes.

47. Un roman avec une femme louve-garou : La passagère des neiges, Ayfer Tunç
Classé ici parce que c'est probablement ma seule chance de cocher ce thème et franchement, close enough. C'est un recueil de nouvelles. Dans la nouvelle éponyme, une femme échappe à un homme qui veut la garder auprès d’elle car il se fait attaquer par des loups. Je n'en garde pas du tout un souvenir impérissable.

96. Le.a héro.ïne part dans un autre pays : Earth, John Boyne
Le héros quitte l’Irlande pour l’Angleterre. Beaucoup de thèmes forts : vivre l’homosexualité dans un domaine aux codes très « masculins » et l’homophobie ; la misogynie et la culture du viol ; la justice (et surtout ses manquements). Des personnages très bien construits qui traversent des émotions complexes et nuancées : la honte, la déception, la frustration, la culpabilité... Le tout avec une narration efficace et qui tient en haleine puisque sa structure permet de découvrir petit à petit le passif des personnages et les évènements qui se sont réellement déroulés. Là aussi, je prévois de continuer la saga.
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Cooky

Je n'ai lu que 3 livres qui rentraient dans des catégories du challenge ce mois-ci.
Par contre, ça y est ! J'ai coché ma cinquantième catégorie, l'objectif de l'année est atteint !  :paillettes:
Du coup, je ne me mets plus trop la pression, et je pense que pour la fin de l'année, je vais moins chercher à faire absolument rentrer des livres dans des catégories, et rattraper ceux qui m'attendent dans ma bibliothèque depuis trop longtemps  :coiffe:

Bref, pour ce mois-ci :
Les hommes manquent de courage, de Mathieu Palain - 13 : Un livre sur la maternité. 
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The last murder at the end of the world, de Stuart Turton - 79 : Un livre dans lequel l'heure est importante. 
Lu en anglais, j'ai été un peu perplexe par moment à cause de la narration et de la barrière de la langue, mais une fois que j'ai compris ce qu'il se passait, je me suis laissée porter et ça allait bien mieux.
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Le harem du roi, de Djaïli Amadou Amal - 91 : Une autrice francophone.
Vrai coup de coeur, ça m'a donné envie de découvrir d'autres romans de cette autrice ! J'ai été surprise par la nuance donnée à tous les personnages, vu le résumé, j'avais peur que ça soit beaucoup plus manichéen.
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Amaretto

Amaretto a écrit : 06 juil. 2025, 14:26
Amaretto a écrit : 01 juin 2025, 14:12
Amaretto a écrit : 08 mai 2025, 14:31 Bilan depuis le début de l'année :

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J'ai pas mal de retard, je n'ai pas fait le point depuis juin ! J'ai ajouté : 

8. Un livre dont le personnage principal est détestable mais finalement on le comprend : Yellowface de R.F. Kuang
13. Un livre sur la maternité : Pleurer au supermarché de Michelle Zauner
54. Un livre catégorisé Young Adult : Lemon de Kwon Yeo-sun
75. Livre sur la PAL depuis longtemps : Brooklyn de Colm Toibin
87. Livre/roman jeunesse : Dans le bleu de Joyce Carol Oates



 
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triste-songe

BILAN DU MOIS DE SEPTEMBRE (+3)
- Vaïana en album - lu à mon petit garçon en rentrant de l’école - 33. Un livre qui donne l'impression d'être au soleil
Je ne connaissais pas du du tout l’histoire. C’est une histoire sympa pour les enfants. Les dessins sont jolis.
- Mission Hygge 31. Un livre feel-good
Le livre détente par excellence. Une grande reporter proche du burn-out qui se voit forcer de faire une pause. Pas de grands enjeux, j’ai adoré cette lecture.
- Station Eleven, Emily st John Mandel 7. Un livre SFFF écrit par une femme
Un livre qui me faisait de l’oeil lu en partie, pour échapper aux soucis de la réalité. Je n’ai pas été angoissé par l’aspect confinement parce que je me tenais à distance, mais aussi parce que l’expérience était vécu dans un groupe.
Et la mandoline jase
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No1

Le challenge ces derniers mois : 
JUILLET
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AOÛT
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SEPTEMBRE
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Octavienne

Rong Jiang - Le totem du loup (49. Un roman qui donne des frissons) : Un étudiant chinois est envoyé en Mongolie pour se frotter à la vie à la dure. Intrigué par le mode de vie des tribus nomades, il est bientôt fasciné par les véritables rois de la steppe : les loups. Je n’ai pas pu finir, j’ai autant frissonné d’exaltation face aux descriptions de paysages, que de dégoût face aux scènes de massacres.

Sanaka Hiiragi - Le gardien des souvenirs (76. Solitude ou nostalgie) : Hirasaka, homme discret, tient un studio photo dans la zone nébuleuse entre la mort et l'au-delà. Chaque défunt arrive pour feuilleter les clichés représentant les souvenirs de sa vie, en choisir un par an et admirer la dernière projection de son existence avant de s'effacer. On suit trois histoires, la première assez classique et charmante, la deuxième un peu moins et la troisième à briser le cœur.

Keisuke Hada - La vie du bon côté (8. Un livre dont le personnage principal est détestable mais finalement on le comprend) : Je m'attendais à du feel good, avec ce personnage de jeune homme au chômage qui "reprend goût à la vie" grâce à son grand-père. Mais pas du tout, on a un narrateur geignard qui énumère toutes les misères de son grand-père, un sinistre octogénaire qui trouve le temps un peu long. C'est en se demandant comment l'aider à abréger son existence que Kento applique les méthodes inverses sur lui et ressent un regain d'énergie, mais avec un côté masculiniste, purement biologique et méprisant envers les autres. On finit par comprendre qu'il ne pouvait qu'être déprimé en restant dans sa famille, au contact de ce vieux qu'on devine très manipulateur.

Makoto Shinkai et Naruki Nagakawa - Elle et son chat (12. Un livre avec un.e narrateur.trice peu fiable) : Des tranches de vie racontées du point de vue de chats et de leur esclave humaine. J'ai beaucoup aimé ce roman, ayant le bon dosage de douceur et d'amertume.

Mu Ming - Le bracelet de jade (7. Un livre SFFF écrit par une femme) : Une jeune fille se voit offrir un bijou aux formes fascinantes. Un parallèle est fait avec les préoccupations botaniques de son père, qui s’est coupé du monde suite au chaos politique qui agite la Chine de l’époque. Un roman un peu trop court pour aller au bout des choses, qui sont… plus compliquées qu’il ne semble.

Mo Xiang Tong Xiu - Le grand maître de la cultivation démoniaque, t. 2 (77. Un tome 2) : La suite directe du tome 1, où nos héros suivent toujours un bras expressif en direction d'une ville au très mauvais feng shui… Entre flashback poignants, combats magiques et scènes d'ivresse romantiques, on reste dans une ambiance sombre avec des personnages facétieux.

Abha Dawesar - Sensorium (80. Sciences ou technologie ) : Les réflexions d'une artiste sur ses installations, ses origines indiennes, les sciences cognitives, les souris et les éléphants, agrémentées de plein de petits schémas comme on en dessine vite fait sur un calepin. Difficile de s’attacher à la narratrice, qui évite soigneusement les sujets trop personnels, à l’image de son projet artistique.

Yangsze Choo - The Ghost Bride (48. Un roman gothique) : Li Lan devrait normalement recevoir plein de propositions de mariage mais, quelque peu négligée par un père lunatique, elle n’en reçoit qu’une, et c’est pour se marier avec un jeune homme mort récemment ! Pas très chaude, elle accepte néanmoins l’invitation de la famille histoire de sortir de chez elle et rencontre un jeune homme bien vivant, puis un mystère, puis des ennuis à cause d’un fantôme. Sa curiosité va l’amener à parcourir le monde des morts, sorte d’univers parallèle obéissant à des lois différentes. J’ai adoré ce roman !

 
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Léti

@No1
Désolée de m'incruster, mais j'aime beaucoup lire vos avis même sans participer au challenge, et là
HS Harry Quebert
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Clémentiine
Bébétincelle
Bébétincelle

8. Un livre dont le personnage principal est détestable mais finalement on le comprend Yellowface - R. YOUNG
Lu dans le cadre du club de lecture.

9. Un livre dans lequel l'héroïne n'a pas d'enfant, n'en veut pas et ne tombe pas enceinte Le train de 16h50 - A. CHRISTIE
Lu dans le cadre du club de lecture.

10. Un huis clos Huis clos - JP. SARTRE
Lu dans le cadre du club de lecture.

28. Un livre où la ville (où se situe l'action) est centrale Norferville - F. THILLIEZ
TW agressions sexuelles
Deux enqueteurices tentent d’élucider le meurtre d’une jeune femme, et ce n’est que la partie immergée de l’iceberg. L’histoire se déroule à Norferville dans le grand nord québécois, presque en huis clos, entre des autochtones et une compagnie minière. J’ai bien aimé, ça se lit bien et le livre permet de dénoncer les violences subies sans tomber dans les clichés.

Mémo : 67%.
ABC : 20/26.

 
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No1

@Léti J'ai l'impression que soit ceux qui n'ont pas aimé Harry Quebert n'ont jamais poursuivi avec d'autres romans de Dicker, soit ceux qui ont aimé ont tout aimé !  :lol: Pour ma part, il est certain que si je l'avais lu avant les autres, je n'aurais JAMAIS lu cet auteur un nouvelle fois, celui-ci est vraiment trop mauvais pour moi... Honnêtement j'ai pensé à arrêter ma lecture 20 fois, (parce que c'est long en plus !), mais outre le fait que c'est un polar et ça donne quand même envie d'avoir le fin mot de l'histoire, ça me frustrait d'avoir lu autant de pages pour ne même pas le finir...

(Dans une moindre mesure, ça me rappelle Tracy Chevalier : J'en ai lu beaucoup, un peu dans le désordre par rapport à leur parution, et j'ai lu un de ses premiers succès après en avoir lu (et adoré) bien d'autres. C'était "La Vierge en bleu". Comme Harry Quebert, je me suis un peu demandé ce qu'avait fichu l'éditeur pour publier le roman en l'état ! Alors que vraiment, ses romans postérieurs sont bien mieux écrits, construits, plus fins et intelligents que ce ramassis de clichés. Je n'aurais probablement pas retenté l'expérience si je l'avais lu en premier ! Pardon pour la parenthèse)

Mon classement des Dicker que j'ai lus
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Ses romans ont à mon sens des similitudes, un style assez défini, et des tics d'écriture qui peuvent vraiment lasser et si on n'accroche pas, pas sûre qu'aucun des romans ne trouve grâce à nos yeux dans ce cas. Si on prend ça pour ce que c'est, des enquêtes sympas dans des beaux cadres, et qu'on n'est pas trop agacé par la plume, franchement ça se lit bien. (Je les garde systématiquement comme lecture de plage)
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Léti

Merci beaucoup pour ta réponse, @No1 !

Je te rejoins absolument pour Tracy Chevalier, que je trouve très inégale. J'évite de lire des romans les plus anciens et je lis avec plaisir ses plus récents (enfin, pas tous, car la dame est assez prolifique, mais j'ai aimé ceux que j'ai lus, du moins. Voire même, j'en garde des souvenirs précis et agréables)

Merci aussi pour ton développement sur les livres de Dicker. Honnêtement, j'ai tellement de trucs à lire qui me font vraiment envie que je pense que je vais passer mon tour. Mais si je suis bloquée un jour avec seulement ses romans à disposition, je sais pas lequel je commencerai :lol:
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