J'ai enfin regardé le film Gladiator 1 ce week-end, et je ne l'ai pas trouvé si fou que ça. 
J'ai trouvé cela très long et un peu cliché/prévisible.
Et les valeurs véhiculées ne m'ont pas parlé plus que ça.
Attention spoil :

Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent voir ce contenu.

@Yooni ah bah alors je te recommande pas de voir le 2 ... 

Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent voir ce contenu.

je suis sortie en disant a mon mari que heureusement que Pedro et Paul étaient le sinon je serai partie du ciné... (j'ai passé le film a dire "respect robustesse" comme dans Asterix Mission Cléopatre a mon mec)
Mais bon je suis pas du tout receptive a ce genre de film bourree de testostérone, guerrier et "pour l'honneur" (Avatar, Gladiator)

@Asteraceae Merci pour la non-recommandation, je ne regarderai pas alors, et je consacrerai ces 2h30 à autre chose. 

Mais pareil que toi, je ne me sens pas du tout réceptive à ce genre de film !  Avatar j'ai bien aimé pour l'aspect visuel mais c'est tout.

Un film ultra-testo que j'ai adoré par contre c'est 300 de Zack Snyder (plaisir coupable).   Mais je crois que je l'aime plus pour le visuel et les valeurs de type courage, résistance, liberté et pour la camaraderie qu'on ressent entre les soldats.

@Nuageuse Musso et Lévy je comprends, après j'avoue que voir Annie Ernaux accolée à eux ça me fait bizarre parce qu'il s'agit quand même de vraie littérature, avec un propos, même si on n'aime pas ses œuvres ou certaines de ses œuvres.

Je suis d’accord avec @kaliémis @Nuageuse . D’un côté, on a de la littérature de gare assumée comme telle. De l’autre, on a une écrivaine qui a obtenu un prix Nobel. La loyauté envers ses parents tout au long de sa vie n’est pas une obligation. Annie Ernaux, comme Edouard Louis d’ailleurs, ont dû passer par ce rejet et cette violence à leur égard pour se débarrasser d’une forme de ressentiment et expurger aussi une violence symbolique ou réelle qu’ils ont subi de par leurs origines, dans leur milieu familiale et dans leur la difficulté à s’insérer socialement dans leur enfance.
Après, je comprends que ça puisse heurter, qu’on puisse trouver que le travail autobiographique tourne au nombrilisme parfois.