Bilan du mois d'août :
Je n'avais pas lu autant depuis janvier où j'étais au chômage ! Ça aide de rester à la maison pendant que tous les potes sont partis en vacances
Le Prieuré de l'oranger, de Samatha Shannon : 7 - Un livre SFFF écrit par une femme.
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent voir ce contenu.
Yellowface, de R. F. Kuang : 8 - Un livre dont le personnage principal est détestable, mais finalement on le comprend.
Lu pour le club de lecture d'août, et plutôt une bonne découverte ! On n'excuse vraiment pas la personnage principale, mais elle passe tout le roman à essayer de se justifier et se trouver des excuses, donc il rentre quand même bien dans le thème.
Les coquillages ne s'ouvrent qu'en été, de Clara Héraut : 40 - Un roman bienveillant et qui redonne foi en l'humanité.
Lu pour le club de lecture estival ! Bon, la catégorie est peut-être un peu trop enthousiaste, mais comme souvent, Clara Héraut porte vraiment un regard très compréhensif sur ses deux personnages principales. J'ai vraiment aimé suivre ces deux sœurs qui n'arrivent plus à se comprendre parce qu'elles sont toutes les deux enfoncées dans leurs préoccupations.
Jacaranda, de Gaël Faye : 55 - Un livre écrit par un auteur connu pour autre chose.
On suit Milan, franco-rwandais, qui essaie de comprendre son histoire familiale alors que sa mère refuse de lui parler du génocide du Rwanda. J'ai adoré !
La librairie des livres interdits, de Marc Levy : 63 - Un livre avec un titre qui claque.
Lu parce qu'on me l'a offert, et franchement à part le titre...
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent voir ce contenu.
Maus, d'Art Spiegelman : 75 - Un livre sur ma PAL depuis longtemps.
On me l'a recommandé comme un des chefs-d’œuvre de la bande-dessinée depuis bien 10 ans, mais je n'avais jamais eu l'occasion de le lire.
J'ai beaucoup aimé l'écriture, mais je suis moins fan des dessins... Le trait est parfois trop stylisé pour moi : ça ne me dérange pas pour les moments les plus difficiles, notamment dans les camps, parce que ce serait trop dur à voir autrement, mais partout ailleurs dans la BD, ça coince... À cause de ça, j'avais souvent du mal à différencier les personnages par exemple.
Où vont les larmes quand elles sèchent, de Baptiste Beaulieu : 80 - Sciences ou technologie.
Carnet de bord d'un médecin généraliste, il est souvent confronté aux limites de ce que la médecine peut faire et soigner : c'est très émouvant !
J'ai maintenant coché 47 catégories, et je me rends compte que j'aurais sûrement pu viser plus loin que mon objectif de 50
